Je reviens 73 ans après sur le drame qui marquera et transformera ma vie, mon village, le drame qui séparera ma famille, mes amis qui séparera tout le monde ce drame qui marquera la France pendant la Grande Guerre 39-45Tout commença le 9 juin 1944, la guerre toucher bientôt à sa fin, le sang avait coulé, mais la guerre se terminer presque, nous avions perdu nos amis, nos familles qui pourtant n'avait fait aucun mal n'avaient rien demandé, ils enlever les enfants, les femmes, les hommes, les vieillards, oui ils enlever tout le monde pour les emmener dans des endroits appeler camps de concentration ou camps de la mort, parfois même ils les tuer sur places parce qu'ils résister ou juste pour le plaisir de tuer des personnes, tous c'est endroits où les pires hommes étaient roi, roi de torture, de mal et, ou la mort régner en maître avec d'autres horreurs inimaginables est impensable, des horreurs faites par les Hommes pour les Hommes, c'était dur, mais cette histoire marquera nos esprits à tout jamais,
L'histoire d'Oradour-sur-Glane fait partie de l'un des plus durs, des plus atroces, des plus tragiques, on ne peut pas imaginer l'horreur que des femmes, des enfants, des hommes ont vécue dans cette petite ville de la région de Limoge, je m'en vais vous raconter son histoire, mon histoire
Oradour-Sur-Glane est une petite ville du Limousin, à 22 kilomètres au nord-ouest de Limoges, le groupe de reconnaissance qui commet, le 9 juin, le massacre de Tulle, et deux régiments de Panzergrenadier investissent la région de Limoges pour préparer le positionnement de la division dans le secteur afin de réduire les maquis. Le 1er bataillon du 4e régiment Der Führer, sous les ordres du commandant Adolf Diekmann, est cantonné autour de Saint-Junien, à 12 km d'Oradour.
Le 10 Juin 1944, vers 14h30 des soldats allemands entrèrent dans le domicile de ma mère et nous força ma mère, mon frère et moi même à rejoindre une grange située non loin de là ou déjà ce former deux groupes distingue d'un coté les femmes et les enfants ainsi que des enfants des écoles environnantes et de l'autre les hommes qui eux étaient également séparés en 2 groupes, moi qui n'étais à l'époque âgée de 17 ans, je fus alors séparé de ma mère et de mon frère qui lui en avais 14,
Vers 16 heures le premier groupe de femmes et d'enfants partis dans l'église accompagner de soldat âgé d'une vingtaine d'années seulement, des jeunes qui pourtant me ressemblais cette église était située plus bas tout ce que je sais, du moins tout ce que l'une des femmes ma raconté c'était que des soldats avais placer dans le cœur de l'église une caisse assez volumineuse dans laquelle dépassaient des cordons qu'ils laissèrent traîner sur le sol.
Nous les hommes nous étions encore enfermés dans cette grange a attendre, sans savoir ce qui nous préparer même si nous en avions une idée, c'est à ce moment que l'on repense a tout ce que l'on a fait ou non, tout ce que nous allons manquer, quelle trace laisserions-nous sur cette terre, des tonnes de questions trotter dans nos têtes, des larmes couler, des visages fermer, des sourires disparus, cette image 73 ans après le massacre me reste dans la tête, puis une explosion vint briser le silence qui pesait dans cette grange, laissant une sombre et épaisse fumée noir ce dégager de cette petite église en bas de la rue, nous savions a ce moment précis que nous avions perdu nos femmes,enfants, mère, tous allez disparaître même moi.
Après cette terrible explosion on entendit des coups de feu les Allemand avaient ouvert le feu sur les femmes et les enfants qui avais tenté de s'en sortir, mais malheureusement ils ne les laissèrent pas cette chance, pas un seul enfant ne sortit vivant de l'église et seulement 1 femme c'était échapper et avais fui les balles.
Nous qui étions dans cette grange 200 a savoir que nous allions vivre cette journée en drame, nous étions encore en vie, mais pour combien de temps, d'un coup les portes s'ouvrit laissant une image d'hommes jeunes tenant des fusils, puis une pluie de balle déferlèrent,les hommes qui était présents tomber comme des mouches, c'était horrible, je fus blessé à la jambe, je tombai sur les corps des hommes déjà présents sur le sol tant dit que d'autres tomber sur moi pour me recouvrir, cette pluie de balle j'avais l'impression qu'elle ne cesserait jamais de tomber,
Puis d'un seul coup, le silence qui pesait au début s'installa pour un instant, les Allemands étaient toujours présents dans cette triste grange, le sang couler sur ma peau, l'odeur infâme et putride,nauséabonde envahissez mes narines, je vis alors c'est personnes déverser sur nous, sur les cadavres, de l'essence et y mettre le feu, par chance si on peut le dire comme cela, je réussis à m'extirper, je jetai un dernier coup d'œil sur les hommes qui maintenant brûler, certains mêmes étais encore en vie sans pouvoir bouger, j'entendais les cries et je continue a voir les larmes de certains couler et sécher par cette chaleur des flammes de l'enfer,je sortis légèrement brûler a la jambe,
Quand je regardai autour de moi a la sorti, les Allemands avaient disparu du paysage d'Oradour-Sur-Glane, laissant un énorme brasier, ils avaient mis le feu a notre petite ville, les seuls survivants présents lors du massacre c'était réuni au centre du village, les larmes remplissez les caniveaux, des cadavres trôner sur les sols couverts de sang, des visages défigurés, nous survivants de ce drame auxquelles nous savions d'avance que ce reconstruire serait bien difficile nous nous posions des questions, pourquoi moi j'ai survécu et pas mon frère ou encore ma mère, que vais-je devenir ? Ou aller ?
Bilan de ce drame 642 personnes au total ont perdu la vie a Oradour-Sur-Glane dont
-55 enfants de moins de 5 ans,
-147 enfants de 5 à 14 ans,
-193 adultes masculins,
-240 adultes féminins,
un bilan lourd en conséquence, continuons de faire vivre la mémoire des 642 disparus le 10 juin 1944 dans la ville d'Oradour-Sur-Glane.
Lorsque j'ai écrit ce passage de l'histoire d'Oradour-Sur-Glane je me suis inspiré des témoignages de Jean-Marcel Darthout décédés le 4 octobre mais également de Robert Hébras qui avait 19 ans lorsque les nazis ont attaqué Oradour-sur-Glane et enfin celui de Mme Rouffanche qui a vu mourir sa jeune fille prés d'elle et qui à également perdu son autre fille ainsi que son mari et son garçon,
Ce massacre est l'un des plus lourds, tragique et douloureux de l'histoire de France lors de la Grande Guerre 39-45, n'oublions jamais également toutes les familles des disparus lors de cette guerre et aidons c'est mémoire de continuez a vivre par nos écrits
« Hélas ! En ce dix juin , l'homme ivre de leur sang
Brûla les habitants, Oradour et l'enfant .
On jeta dans mon sein des vivants de passage,
Et des blessés fuyant cette horde sauvage ;
Aux affres d'agonie en leurs cris douloureux
Depuis ce jour, ma source...elle appartient aux Dieux.Aux multiples des temps à chaque décennie
La voix de l'innocent dira l'ignominie.
C'est moi : » Le puits tragique » où se tarit mon eau;
Aux silences des ans, je ne suis qu'un tombeau... »Poème de L Morlieras qui a perdu une sœur à Oradour
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La terreur du massacre d'Oradour-Sur-Glane
Ficción históricaCeci est une histoire inspirée de fait réel, j'ai voulu tenter de faire vivre l'une des histoires les plus tragiques de France lors de la guerre 39-45 La diffusion, l'exploitation ou l'utilisation même partielle des textes et œuvres de l'auteur san...