Vendredi 13

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Ils s'appelaient Lola, Aurélien ou Inès

Ils s'appelaient Humain, ils s'appelaient Jeunesse

Ils voulaient vivre fort, chanter – se déhancher

Au rythme des accords qui les faisaient vibrer


Ils écumaient les bars dans lesquels j'ai dansé

Pour mater les nibards des jeunes filles élancées

Vivaient de tout leur saoul sur les tables en terrasse

Car ici quand on s'aime, on n'a pas de cuirasse


Ils avaient le sourire qu'ont les jeunes de vingt ans

Chaque jour à écrire un beau monde bienveillant

Ils dansaient sur des braises, mais comment le savoir ?

Même un Vendredi 13 Paris n'est pas si noir


Ils voulaient vivre fort, chanter – se déhancher

Au rythme des accords qui les faisaient vibrer

Ils s'appelaient Lola, Aurélien ou Inès

Ils s'appelaient Humain, ils s'appelaient Jeunesse

Chanson pour NaïaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant