Enfermée dans une maison dont le lapin a jeté la clé.
A jamais je me croyais cloîtrée.
Aidez, aidez. Moi.
Juste un peu de bonheur pourrait redonner de l'émoi,
A cette pauvre prison,
Riche telle une pension.

Après avoir chuté, chuté,
Claqué, chaqué.
Portes après portes,
Potions après potions.
S'enfuir fut la seule solution.
A force d'enfermement j'aurais fini morte.
Pauvre enfant dont on pleure la mort dans son monde.
Sous la terre, on l'immonde.
Viendras-tu me sauver ?
O Chapelier.
Je n'ai aucun souvenir de toi ni de ton chat,
Mais seulement le pressentiment d'un héroïsme peu plat.
Les seules vibrations de mon cœur,
Quand je pense à toi.
Chapelier, on me dit que jamais tu ne ment.
Je ressens juste, amour et peur.

Cheshire CatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant