Alera et le viking

Chapitre 30

Bovaar regardait l’homme qui s’était adressé à eux, il n’aimait pas la façon dont ce dernier avait regardé Alera, il lui avait bien fait comprendre en tenant sa futur épouse par les hanches et lançants à ce vieux porcs des regards noirs . Sa gauloise avait par la suite ouvert la bouche afin de traduire qui était l’homme qui leur parlait et aussi la raison de l'absence du roi. Durant le trajet, les jeunes femmes avaient conservées , Alera expliquait à la femme de Thorolf les coutumes , croyances mais aussi culture pratiqué ici . Cette dernière était très enthousiaste, elle avait hâte de goûter au repas typiquement anglais,les saveurs de ce pays si distingué afin de pouvoir avoir en goût les autres saveurs gustatives des autres pays.

Le frère cadet de Thorolf quant à lui avait le regard posé sur les hommes qui se trouvaient dans le même moyen de locomotion que lui . Il n’aimait pas le regard du capitaine anglais sur Alera , sa façon de la regarder l’énervait . La jeune femme sentit une tension dans la pièce, en levant le regard, elle vit son maître , les poings serré la machoir tendu , il paraissait en colère et essayait de se contrôler . La jeune femme aux cheveux orangé décida de le calmer, elle mit donc sa main sur la sienne puis commença à enlacer leur doigt .

Il paraissait plus serein, plus calme, ce geste avait été pour lui un calmant .

Dafne qui se trouvait à côté de la jeune femme se rata pas le rapprochement des deux tourtereaux puis elle lança un regard à son époux qui se trouvait sur la banquette opposé à elle , entre les deux anglais . Imposant , la carrure droite, Thorolf ressemblait à une montagne infranchissable , il cachait le corps des deux hommes qui semblaient être mal à l’aise . Silencieux, aucun son ne sortait de sa bouche depuis qu’ils étaient partis dans la charrette de ce fameux Vikens .

Les petites fenêtres mise à disposition laissait  aux passagers l’occasion d’admirer la capitale anglaise avec toutes ses turbulences , entre les vendeurs de poissons, les femmes habillés de façon très luxueuses pour certaines et d’autres modestes mais aussi les bâtisses de plus en plus imposante, les viking se sentirent perdus. Thorolf n’avait pas aimé toute cette agitation et voulait bien trancher quelques têtes tandis que Bovaar , son regard était plus perdu sur les doigts de la jeune femme, la sienne . Il lançait quelque regard par la fenêtre situé à sa gauche  afin de voir le paysage mais contemplait plus sa maîtresse,celle qui lui tourmentait l’esprit .

Le paysage citadin laissa place à la verdure, à l’absence d’habitations,les routes étaient plus sinueuses, la charrette bougeait, les chevaux continuaient leur lancé . Bovaar  contemplait le paysage puis le visage de sa futur femme, elle était radieuse le sourire au lèvre , le regard remplis de malice, elle avait l’air comblé et impatiente .

Les femmes avaient finis par s’endormir lorsque la charrette s’arrêta pour de bon , un homme était venu ouvrir le portail au comte Vikens . Ce dernier s’était également assoupi sur lui même puis apr-s avoir penché la tête trop en avant, il avait finit par tomber sur Bovaar  Ce dernier avait retenu le corps de cet homme par une main car l’autre caressait le visage de la jeune gauloise qui avait fini par poser sa tête sur le viking puis s’était endormie.

Perceval s’était levé comme un automate puis après avoir grommelé des excuses, ce dernier s’était levé et avait ouvert la porte de la charrette . Thorolf  avait rit de bon coeur sous le regard noir de son frère .

Les deux viking avaient à leur tour porter les maîtresse de leur coeur puis avaient essayé de comprendre ce que l’homme leur indiquait  . Alera s’était réveillé en sursaut puis avait regardé autour d’elle, elle se sentait si bien , son corps volait.

En réalisant ça, la jeune femme fut prise de panique elle commença à gigoter puis lorsqu’elle avait vu le visage du viking qui chaque jour lui donnait de l’amour , elle avait cessé de bouger puis s’était cvalmé. Ce dernier l’avait déposé à terre puis attendit qu’elle traduise pour eux ce que les hommes étaient en train de leur expliquer . Dafne quant à elle épuisée par le voyage se triyvaiut toujours endormis dans les bras de son époux.