Attachés depuis déjà une bonne 15 de minutes, j'attendais mon père qui a dis qu'il allais revenir. Je me demandais que faisait-il car la douleur commençais à se faire sentir. Quelque seconde plus tard il rentra avec 2 personnes que je ne connaissais pas je me demande se qu'il font la mais ils ne m'ont pas laisser vraiment le temps de leurs posées la question qu'une main me frappes de plein fouet au visage. Toujours suspendu la douleur étais atroce je sentais le derrière de mes assaille se déchiré c'est un grand mots déchiré mais ils etais quand même ouvert et le sang coulais le long du corps. Après cette claque que mon père venait de m'infliger les 2 inconnue dans la pièce se sont mis à me tapper dessus comme une simple sac de box. La douleur est atroce je ne peux pas croire que mon père les laisses me faire sa et pourquoi ces personnes me frappait. Seulement que quelque minute plus tard le sang à la bouche et le corps endolorie, ils s'arrêta et parti de la cabane. Mon père me regarda avec une tel noirceur que j'ai uriner dans mon pantalons. Il pris la parole en commencent par:
- père: tu te pisse dessus maintenant! Esti que tes degueulasse le vrai portrait de ta mère un bon à rien.
- moi(plaignants): fais moi descendre papa je t'en supplie... j'ai mal papa.
- père: tu crois descendre maintenant tu te fou de moi! Tu resteras la jusqu'à se que ta mère arrive et paye d'être parti sans mon approbations.
Et il parti sans rien me dire et me laissant souffrire et apeurée. Je ne savais pas dans combien temps il reviendra. Je ne savais plus quoi faire.
Quelques heures plus tard, je ne savais pas depuis quand ni si j'allais sortir de cette cabane de merde. Je souffrais la douleurs était atroce. J'entendis des pats proche de la porte. J'avais tellement peur que je me suis mis à pleuré. Mais quand la porte s'ouvri j'ai vue que c'était ma maman j'étais tellement content. Son visage par contre... j'ai vite compris quel avais vécu la douleur que me moi. Avec l'oeil mauve comme une prune et le sang qui coulais de la blessure qu'elle avait au front. Elle me détachat et regarda mes blessure ensuite elle me disa:
- maman: désolé de t'avoir fais attendre 3h mon coco.
- moi: se n'est pas de ta faute.-maman: cette nuit ton père ne veux pas que l'ont rentre... on dort ici.
- moi: ah... d'accord.
Ensuite elle sorti sa petite couverture ensuite elle la posa sur le sol et on se coucha coller. Je m'endormis avec la douleurs que mes blessures me procurait.
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Moi, seulement moi
Randomjeune, insolente, stupide et pourquoi pas aussi bon à rien. Ces mots la je les entendaient tous les jours mais plus maintenant. Aujourd'hui, à ce moment précis je ne le laisserais plus me dénigrer ni lever la main sur moi! Mon nom à moi est Mathéo e...