chapitre 4

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Je me réveilla par ma maman, il devait être 6-7h du matin. Je n'en suis pas sûr, breff elle me leva pour aller lui mettre du font de teint car elle devait cacher son oeil pour ne pas que le reste de la petite ville voit le mauve qu'il y avait. Pour moi cetais rendu qu'une simple habitude, je me disais que dans toute les familles il y avais de la violence et que cetais comme sa que l'on éducais ces enfants. Mais bon quand je fini de maquiller ma maman je préparais le petit déjeuner pour mes frère et soeur. Pour ensuite  me préparer et aller à l'école. Mon frère dans la même chambre que moi ne demanda:

Grand frère: tu a encore dormi dans la petite cabane?

Moi: ouin... mais ça va t'inquiète pas.

Grand frère: je dois m'inquiéter, c'est juste que je sais pas quoi faire.

Moi: on va trouver. On va s'en sortir... enfin j'espère.

C'est seulement après cette courte discussion que mon père rentra dans la chambre et nous disa

Père: vous voulez partir d'ici, jamais sa n'arrivera bande de bâtard. En revenant de l'école je vous conseil de vous préparer en avoir une punition pour se que vous venez de dire toi et ton criss de gros cave de frère.

Moi: mais papa...

Il me mis une claque au visage pour me faire comprend que je n'avais aucun droit de parole et que je ne pouvais rien faire pour épargner mon frère des conséquences qui allais venir. Il sorti de la chambre et mon frère me disa:

Grand frère: on n'a tous les 2 parlés je te laisserait pas tous seul dans se qui va arriver

Moi: merci. Tu sais je t'aime.

2 minute plus tard nous sortions de la maison et remarquons tous les 2 dans l'autobus vers l'école sachant que se soir nous allions avoir de gros ennuie.

3h15, la sonnerie de fin de classe retenti. J'aurai préféré qu'elle ne sonne jamais! Mais bon je me dirige jusqu'à mon autobus jaune pour retourner chez moi, même si l'envie ni est pas. Arriver chez moi avec mon frère nous attendons sur le perron car la peur prenait l'emprise de notre corps. Je fais le premier pas, j'en n'ai vraiment pas envie mais bon il faut que je le fasse, j'ouvri la porte avec beaucoup d'hésitation et en rentrant je constate que mon père n'est pas la. Quel soulagement ! Je pouvais lire dans le visage de mon frère que le stresse sur ces épaules venait de disparaître. Vite fais nous mangeons un petit quelque chose et parti dans nos chambres se coucher pour demain et éviter de se faire tapper dessus.

Moi, seulement moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant