Nouveau Lycée, nouveaux amis, nouvelle vie. J'ai quitté ma ville natale, Boca Raton, en Floride, pour réaliser mon rêve à Los Angeles. Dès mon arrivée au lycée, un mec m'approche pour me faire visiter le lycée. Et là... un truc se passe... J'en sais...
Toulouse a bien grandit, mais il est toujours aussi mignon... Mon petit bébé m'avait tellement manqué !
Après avoir terminé sa balade, je rentre dans ma chambre et je vais prendre une douche, j'ai du mal à accepter le fait que Frankie soit réapparu d'un coup...
Je met une de mes musiques préférées du moment : Perfect- Ed Sheeran
Je me met à chantonner, puis je me libère sur mes parties préférées "But darling, just kiss me slow, your heart is all I own And in your eyes, you're holding mine"
Mais chérie, embrasse-moi doucement, ton cœur est tout ce que je possède Et dans tes yeux, tu tiens le mien
Je pense à Zac et je me met à pleurer... Mais pourquoi ? Pourquoi est ce que je tiens encore à lui, après tout ce qu'il m'a fait... Mais... Est ce que c'est ma faute ? Est ce que j'ai été trop dure avec lui ? Non... Non, parce qu'il n'aurait pas dû m'engueuler comme ça puis après me faire ça...
Je me ressaisit, enroule une serviette autour de moi et sort de la salle de bain, direction ma chambre...
"- Qu'est ce que tu fous là ? - Tu m'as pas laissé le temps de me laisser m'expliquer, alors je vais le trouver... - Là ? Maintenant ? - Oui - Tu peux pas attendre que je me rhabille ? - Nan, parce que je sais que tu vas t'enfermer dans ta chambre - Je connais déjà l'histoire, j'ai pas besoin de tes informations. - Laisse moi te parler Ari, ou écoute moi au moins... - Déjà, moi c'est Ariana, pas Ari, puis j'ai pas envie de d'écouter Frankie... j'ai juste envie de pouvoir accéder à MA chambre avant de crever de froid. Merci."
Je le poussais de l'entrée de ma chambre et fermais la porte, avant de tomber en pleurs... Je verrouille la porte à clé puis je cherche un sweat confortable, j'attache mes cheveux en chignons et je tombe sur mon lit, crevée... J'ai trop pleuré, sans doute... Toulouse me rejoint, et je ferme mes yeux, gagnés par le sommeil...
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