Chapitre 1

36.4K 243 24
                                    

(Coucou toi ! ❤️ C'est la première histoire que j'écris alors sois indulgent(e) s'il te plais 😅 je m'excuse d'avance si j'ai laissé passé des fautes d'orthographe, j'avoue que c'est pas mon fort... ^^ )

PDV JULIETTE
Vendredi 8 avril 2017, 7h48
« Merde j'suis en retard ! » m'écriais-je en regardant ma montre alors que je déjeunais en trainant sur Instagram.
Je me maquilla légèrement et essaye de discipliner mes longues boucles blondes en un chinions que je voulu stricte. Je dévale les marches de l'immeuble sans ascenseur où j'habite et me précipite dans une rame du métro New-yorkais juste à temps avant la fermeture des portes. J'était collée contre un homme assez âgé qui regardais fixement ma poitrine ; soudain je remarque que dans la hâte j'avais oublié de boutonner le bouton qui se trouve entre mes seins. Gênée, je me détourne pour réparer mon erreur. Heureusement le métro arrive sur le quai et je pus sortir avant de devoir me retourner vers le pervers.

Je sort des souterrains et regarde l'heure sur mon téléphone « 8h14 », si je me dépêche, j'arriverai à pointer ma carte avant 8h30. En entrant dans le building, je salue du regard Katy ma collège qui travaille à la réception. Je marche dans un long couloir avant de pousser la porte de la salle de pause réservée aux employés des étages vingt à trente. En tout, l'immeuble était haut de  trente trois étages, les trente premiers étant des bureaux, cafétérias ou des salles de réunions, les trois derniers sont les appartements du nouveau patron. Le fils de Todd Smith, l'un des hommes le plus riche du monde ; son fils doit être pourrit gâté. Il est arrivé il y a quelque jours seulement, je ne l'ai jamais croisés mais il avait promis de faire le tour des étages les jours suivants sont installations.

Sortant de mes pensées, je passe devant deux hommes en costumes qui prennent un café, ils ont arrêté de parler quand je suis entrée. Je sent le regard oppressant d'un d'eux sur mes fesses bien moulées dans ma jupe noire. Certes elle mettait bien en valeurs mon joli cul rebondit mais je n'aime pas être reluquée de cette façon. Je pointe ma carte d'employer et me presse de quitter la salle, entendant la remarque gênante qu'un homme fit a l'autre sur mon physique.

Je me dirige vers les ascenseurs, il y en avait 4, tous identiques. Je presse le bouton d'appel et les portes s'ouvrirent presque instantanément. Je suis à chaque foi subjugué par la beauté de cet espaces très grand pour un ascenseur, des miroirs recouvrais 3 murs et une rampe couleur or faisais le tour de la petite pièce. J'entre et presse le bouton numéro 30, je travaille en tant que secrétaire personnelle du PDG dans les meilleurs bureaux en haut de la tour, je suis chargée d'affecter les différentes affaires aux bonnes équipes, l'un des job les mieux payés ; encore quelques mois de paye et je pourrai louer un meilleur appartement que celui où je loge actuellement.

En sortant de l'ascenseur je vais m'acheter un café au distributeur que j'emporte dans son bureau. Je le pose près de mon ordinateur.    Je l'alluma et entrepris de consulter mes mails ; un premier sur l'organisation d'un gala de charité, je redirigea le mail vers une équipe spécialisée ; un deuxième sur une demande d'augmentation du budget pour la fête d'un millionnaire, cet affaire été plus importante. J'envoie alors un message à une collègue qui travaille à l'imprimante pour lui demander de m'apporter le dossier. Quelques minutes plus tard, deux coups timides retentirent contre la porte du bureau.

« - Entrez ! »

La porte s'ouvrit sur une jeune stagiaire, blonde et fine qui porte des lunettes rondes qui la vieillissait un peu. Elle déposa la pille de dossier sur le bureau et repartit sans rien dire. J'eu à peine le temps de la remercier avant que la porte ne se referme.
Je tend le bras pour saisir le dossier en haut de la pille mais je percute mon gobelet de café qui se renverse. Heureusement le liquide n'atteint pas les papiers. Je sort une boîte de mouchoir d'un des tiroirs du bureau et commença à éponger le sol. Dos à la porte je ne vis pas qui venais d'entrer dans le bureau sans prévenir...

Charmant patron Où les histoires vivent. Découvrez maintenant