PDV LUCAS
Après avoir raccompagné Juliette jusqu'à l'entrée de métro, je remonte dans mes appartement en haut de la tour de la Smith Corporation. J'aimerai qu'elle emménage chez moi pour lui éviter le métro et les marches mais il est trop tôt. Je ne veut pas l'effrayer en aillant l'air pressé de m'engager. Le reste de la soirée je réfléchie à une solution quand je la trouve soudainement ; dans mes trois étages privés je n'en utilise qu'un alors pourquoi pas lui proposer d'emménager dans un étage ? Je tourne et retourne cette possibilité dans mon esprit et je ne vois que des côtés positifs.
Vendredi 29 avril 2017, 07h13
Cette nuit j'ai fais un rêve où j'était avec Juliette dans un chalet et on ne faisait que baiser. Je me réveil et sueur et les draps sont mouillés, génial ! J'ai l'impression de revenir à l'adolescence, l'époque des éjaculations nocturnes. Mais ce rêve me laisse un arrière goût agréable et me donne une idée.
Je déjeune en cherchant sur internet des chalets en location et j'en trouve à la frontière avec la Canada. Je réserve le pack romance et prend deux billet de train. Je me rend compte qu'après que je ne sais même pas si Juliette est libre le week-end du 13 au 14 mai. Je lui demanderai tout à l'heure.
Je toque à son bureau vers 7h40 mais je n'ai pas de réponse, normal, elle ne commence qu'à 8h mais il lui arrive parfois d'arriver en avance.
Je m'installe à mon bureau et environ une demi heure après quelqu'un toque à la porte. Je suis déçu de voir que ce n'est que la femme de ménage qui viens chercher un balais oublier. Mais peut après que celle ci soit partit, on toque à nouveau à la porte.
Ma secrétaire préférée entre et je la prend dans mes bras puis l'embrasse tendrement.
« - Tu es libre du 13 au 14 mai ? » lui murmurais-je à l'oreille.
« - Je pense que oui, c'est pour quoi ? » demanda Juliette et s'écartant pour me regarder dans les yeux.
« - C'est une surprise mon cœur. »
Après un long baiser, elle repart et j'essaye tant bien que mal de me mettre au travail.
Je fini la journée sans pouvoir retirer ma charmante secrétaire de mes pensées. Je passe d'ailleurs lui dire au revoir quand c'est l'heure pour elle de partir. Je fini deux trois trucs pour des affaires en cour. Puis je prend l'ascenseur et insère la clé dans la serrure du petit renfoncement qui cache les boutons de mes trois étages privés. Je presse le 31ème et me recoiffe dans un des miroirs en attendant l'ouverture des portes.
L'ascenseur débouche directement dans mon salon où un très grand canapé trône au centre de la pièce, en face il y a une magnifique cheminée en pierre surmontée d'une télé écran plat. Toute la pièce respire le luxe, les meubles mais aussi la déco. Mais tout ce luxe ne m'a jamais vraiment satisfait, allez savoir pourquoi. Je me dirige dans la cuisine et me prépare un thé vert en consultant mon téléphone.
J'ai un message de Tanya.
Encore elle.
C'est une ancienne collègue avec qui je couchais régulièrement, une sorte de plan cul, mais je n'est jamais voulu me lancer dans une relation, elle est beaucoup trop ennuyante. Je voulais seulement pouvoir l'avoir sous la main pour soulager mes pulsions au bureau de temps en temps.
J'étais con.
En attendant, ma pauvre collègue pensais que je l'aimais ; jusqu'au jour où je suis partit sans la prévenir quand j'ai été muté pour remplacer mon père. Depuis elle m'envoie régulièrement des messages pour me demander des explications que j'ai jusque là ignorés. Je décide de l'inviter dans un café pour m'excuser.
Je monte dans ma chambre sans attendre de réponse et me couche en pensant à Juliette, à son sourire et à sa voie puis à son corps...
Je passe une main sous la couette et attrape ma queue déjà durcie. Jamais une femme ne m'a autant exciter simplement en pensant à elle.
Je commence des vas et viens avec ma main et une vague de plaisir me submerge bien que je n'aime pas beaucoup me masturber, je préfère de loin les vraies relations sexuelles mais je dois me contenter de ça pendant les deux semaines à venir. Je pourrai très bien coucher avec une inconnue en attendant comme je l'aurai fait avant ; mais Juliette est la première femme que je me refuse de tromper.
Je suis amoureux d'elle.
