Chapitre 17
Je vais vous dire la vérité Imane est en pleine dépression. Elle s'est vraiment rendu compte de la mort de son père a son accouchement. Elle n'a pas pris son bébé dans ses bras tout de suite il a fallut 3 jours pour qu'elle le touche enfin.
Ça m'a fais mal de la voir ainsi. On avait vraiment peur pour elle mais aussi pour son enfant. Le lait maternelle est vital pour le bébé enfin pas vraiment le lait mais la proximité avec sa mère. Et quand Iamne a "rejetter" sa fille. Alors la petite Rayhane a refusé de s'alimenter. Elle maigrissait a vu d'oeil. Le discours de Luqman Maman ou même sa maman n'y ont rien changé.
Flash back
Tata Ami : prends la au moins. Tu ne l'a même pas regardé depuis sa naissance.
Imane : j'ai pas envie maman
Maman : Imane tu as accouché tu le sais? Si tu continue à nier ta fille elle se laissera mourir sans contact avec toi. Je ne penses pas que tu sois prête a faire le deuil de ton père et de ta fille. Prends la
A ce moment la elle a pleurer pour la première fois depuis la mort de son père deux semaines plus tôt.
Maman lui tend la petite qu'elle prends de suite. Elle l'a serré dans ses bras fort longtemps avant de lui faire pleins de bisous dans les cheveux
Imane : je suis désolée.... j'ai pas le droit de te condamner ma chérie... je t'aime
Elle rassurer sa fille qui d'après le medecin ressent bien la joie ou la tristesse de sa mère. Au bout de 30 minutes Rayhane accepte enfin de téter. Un soulagement pour tous.
Fin du flash back
Maintenant elle refuse de rester seule. Elle passe son temps avec sa fille. Maman ou moi. Des fois je m'inquiète pour elle car elle se comporte vraiment bizarrement mais maman dit que c'est sa manière de faire son deuil. Quand je pouvais encore on allait au cours sur la religion mercredi et vendredi.
Mais la je ne peux plus. Enfin que si You m'y amène.
Younous : madamou tu m'écoute pas
- pardon. Tu disais?
Lui : je te demandais si tu venais prier avec moi
- oui. Mais je le ferrai étant assise. Mes pieds me font mal
Lui : tu veux que je te soulève ?
- non je suis bien trop lourdes.
Lui : raconte pas de betises.
Il me prends déjà et m'amène à la salle de bain. Je fais mon ablutions puis il me temps mon gilbab. Puis il fait ses ablutions on va prier.
Puis je m'allonge sur le lit pendant qu'il fait la lecture du Coran.
Il finit et s'attaque a mon gros ventre.Lui : ils te font pas mal?
- pour l'instant ça va... tu as pensé au nom?
Lui : ça sera la surprise à la naissance.
- je me charge de la deco de la chambre. Je m'ennuie trop. Peinture Samedi ça ira vite. Ma mère m'appelle dictatrice c'est pas pour rien
Lui : mdrrr
- tu montera les berceau ou l'entreprise ?
Lui : je les ferai t'inquiète.
- ok
Il m'embrasse ensuite et la nuit se finit ainsi 🔞
Samedi, frères, cousins ils sont tous la. La peinture finit en à peine trente minutes je les renvoit chez eux
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《Sawfa et Younous : Deux Chemins Un Destin 》
Ficción Generalune lettre, une deuxième puis une troisième... jamais de réponse enfin jusqu'à ce qu'on lui annonce une nouvelle bouleversante alors qu'il est en prison. les lettres s'enchaîneront. apprendre à aimer là vie, à aimer au delà des apparences, au delà d...