Chapitre 2 : Bouleversement

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Quand cette porte claqua, je me demandais si je n'avais pas été trop loin, pourquoi m'étais-je allé à cette pulsion ? Je savais que cela ne m'aiderai aucunement, alors pourquoi avoir plongé dans la toute puissance de cette émotion ?! J'avançais petit à petit dans le couloir sombre de l'aile n°3 du lycée, tout en débattant intérieurement avec ma conscience, je ne vis pas les 3 personnes cachées dans un recoins du mur, et je ne les vis pas non plus me suivre avec un stilleto, j'étais dans mon monde, en train de combattre les démons de ma conscience...........
- Et toi là-bas qu'est ce que tu fous là ?, dit une voix anonyme, râpeuse et rugueuse.
Je continuais d'avancer comme si je n'avais rien entendu, la peur commençais à monter en moi, cette pernicieuse émotion s'infiltrait dans la moindre faille de la muraille que j'avais érigé avec ma conscience.
- Je vais répéter la question, dit la voix plus plus proche de moi, que fais tu là ?! Réponds sinon je sens que ton petit corps de dégénéré et monstrueux ne résistera pas Sean. Ces dernier mot crachés avec violence , je compris enfin qui c'était et je compris que je n'en réchapperai pas si c'était à celui que je pensais... Lui, ce mec que tout le monde redoutait ici, même les profs, c'était Greg. Ce monstre, aucun autre nom ne pouvait le qualifier, m'avait pris comme bouc émissaire dès le collège, et comme les autres avaient peur de lui et ne me supportaient pas non plus, ils n'avaient rien fais, rien tenté pour m'aider et ceux qui avais osé le contredire sur mon traitement, n'en étais pas sortis indemnes.
Je me retournais et dit d'une voix que j'espérais​ paraîtrait forte :
- Qu'est ce que tu veux Greg.
Rater ! Seul un misérable borborygme sortis de ma bouche.
- De quoi je n'ai pas entendu ?, dit-il amusé par ma peur.
Je commençais à éclaircir la voix quand je vis ce qu'il tenait à la main... Maintenant je ne doutais plus de ces intentions, je savais ce qu'il voulait faire et je ne me laisserais pas faire. Je me dis cri ! Mais personne ne viendrait ou même si quelqu'un venait, il ne ferait rien avec lui et ses acolytes. Alors cours ! Tous aussi impossible avec ces trois sportif à mes trousses... Alors un souvenir s'imprima sur ma rétine, quelque chose que je pensais avoir oublié, quelque chose qui normalement m'aurait été impossible de m'en souvenir, une vision de moi plus jeune... Beaucoup plus jeune... Beaucoup trop jeune... Je me concentrais sur ce souvenir de ma mère qui venait d'apparaître et qui me me rendait ce courage que je n'avais jamais eu... Je le regarda droit dans les yeux et lui dis courageusement.
- Tu sais quoi ? Vas te faire foutre.
Je lisais l'incompréhension sur leur visage et je n'en revenais pas de mon culot non plus, mais peut être étais-je allé trop loin car il plaqua le stilleto contre ma gorge et dit d'une voix mielleuse et remplie de sarcasme :
- Alors comme ça on se rebelle ?
Le contact du métal froid me fit frissonner mais je tins bon.
- Tu sais que tu n'as pas été sage, je vais devoir t'enseigner la discipline...
- Vas te faire foutre Greg, dis-je en suffocant... Le métal froid commença à déchiré mes chairs, je le sentais inciser ma peau d'enfant, écorcher mon innocence...
La fureur me prit je ne pouvais pas mourir ! Je ne devais pas mourir, pas encore, pas à cet âge là ! Il fallait que je me batte ! Alors un bourdonnement, que dis-je un murmure​ se fit entendre dans ma tête... Il enflait petit à petit... Il se transforma en cris, et là, je laissais se déverser toute ma souffrance retenue depuis tant année, toute ma haine contre eux, dans un cris horrible. Au début rien ne se passa puis quelque seconde après, je vis ces deux acolytes se tordre de douleur en tombant au sol, et pour Greg ? Cela survint un peu plus tard, mais tout d'abord le stilleto tomba à terre, il amena ces mains à ses tempes et se coucha à terre. Comprenant que ce cris représentait mon unique salut, je le fis redoubler de puissance... Une aura dorée ce propageant autour de ma poitrine. Je n'avais jamais rien entendu ni ressenti de semblable... Petit à petit que les ondes assourdissantes de mon cris partaient de mes lèvres, je me sentais libre.... Libre de toute souffrance et surtout... Puissant. Je n'avais jamais rien ressentir de tel. Je dirigea ensuite le cris sur Greg et vis ces veines battre de plus en plus vite, du sang couler de ses oreilles et de ses yeux, je savais que si je continuais comme cela il mourrait mais je m'en fichais, il allait enfin payer !! Une douleur sous la  côte me ramena à la réalité. Pendant que j'avais concentré mon cris sur Greg j'en avais oublié ses deux acolytes et ils s'étaient relevés près à en découdre. Je regardais l'endroit d'où venait cette souffrance et vit le stilleto planter entre mes côtes... L'un des deux dit :
- La mort est trop douce pour un monstre tel que toi...
Il retourna le stilleto dans la plaie et la douleur fut tel que je m'évanouis... Sans voir l'ombre qui venait à ma rescousse...

 Sans voir l'ombre qui venait à ma rescousse

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Voilà le stilleto


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Salut les gens ! Alors qu'avez vous pensez du second chapitre ? Que vas t'il ce passer et surtout que c'est-il passé ?
Bon d'abord je voulais dire désolé pour le retard, je pensais le publier avant mais j'ai un peux eu la flemme (Toujours la flemme hein 😂)... Je vais aussi mettre en place un rythme pour me laisser le temps d'écrire, alors je publierais le mercredi et le vendredi soir, et de temps en temps le dimanche ! Et aussi temps que j'y pense vous pensé quoi de la nouvelle couverture ?
Voili j'espère que la rentré c'est bien passé pour vous et que vous allez bien ! Après avec la rentré je peux comprendre que vous soyez déprimer ! Bon aussi je vais vous dire que d'ici trois au quatre semaine je risque de changer de rythme car bah il y a le brevet blanc.... SUPER !!! 😫😂😂
Bye !!!

PS : L'habituelle désolé pour les fautes d'orthographe 😂😂

LUX UMBRAM Tome 1 : Vitae Où les histoires vivent. Découvrez maintenant