Cette date restera surement gravé toute ma vie. Il est minuit et demis lorsque ma sœur me réveille avec ces trois mots "Maman est morte". Mes vagues souvenirs me dise que j'ai hoché la tête et mes suis rendormis presque aussitôt après l'annonce. Je m'en veux encore de ne pas m'être levé et attendu plus d'information dans le salon. Je m'en veux encore de ne pas avoir pleuré, de ne même pas avoir était ne serais-ce triste. Le lendemain en me réveillant il y avait une amie de ma mère dans le salon. Elle était jeune avec une tasse de thé dans les mains. Je l'avais rencontré de nombreuse fois. Je me souviens de son dynamisme et ce jour là elle m'a sourit désolé et m'a fait un câlin. Elle voulais je pense, à la base me consoler. Mais a mon avis elle voulait surtout se consollé et je ne peux pas lui en vouloir. Elle avait perdu une grande amie avec qui elle passait une grande partie de son temps. Elle avait été renvoyer de son emploie. Avec ma mère, qui était malade elles se comprenaient. Nous attendions mes sœurs qui était partie chez les pompes funèbre. A leur retour, je vis leur visage dépité. Elle me répété que c'était mieux si maman ne souffrais plus. Je les voyais pleurer et moi j'étais debout sans rien dire ni savoir quoi faire. Comment devais-je réagir à la mort de ma mère? Certains aurai pleuré toutes les larmes de leurs corps, d'autre aurai hurler à la mort sans que rien de sorte ou serai entré dans une colère noire. Mais moi je regarder ça avec les yeux innocent d'un enfant perdu. Je reçu de nombreux messages de soutient de mes amis et d'inconnue de mon lycée. J'était touchée mais ne savait pas quoi répondre à "toutes mes condoléance". Au bout de grand instant d'hésitation ce fut un simple "Merci" qui s'écrivit sur mon téléphone pourtant je ne me sentais pas à l'aise lorsque je répondais. Pour moi, ma maman n'était pas morte. Elle reviendrait. De toute évidence je m'inventais des chimère puisque jamais je ne la retrouva. Je ne voulais pas être plaint, qu'on me prenne en pitié. En quelques heures un lycée entier fut au courant d'une lourde partie de ma vie. Je me sentait leste et mise a nue au regard des autres. Ce fut au tour des "je suis là pour toi"d'arriver. Cette phrase est la plus hypocrite que j'ai pu lire. Le pire c'est que ce message ne venais pas d'inconnu mais de ma propre famille. A quel moment ont-il été là pour moi lorsque maman était vivante mais malade? A quel moment seront-ils là après sa mort? Jamais. Je leur en voulez de ne pas s'être manifesté avant. De ne pas être aller voir maman à l'hôpital a cause d'une heure de route qui séparé le centre médicale et leur maison. Ils étaient frère et soeurs, tantes et neuveux mais non rien fait... Et pire que tout je leur en voulez de me mentir ainsi. Nous avons reçu la visite d'un prêtre pour l'enterrement de maman et des amis de cette dernière. Tous d'une communautés de vie chrétienne. On nous demander notre avis sur tels ou tels textes j'acquiesçais sans même les regarder. Pourtant je suis croyante mais je ne pouvais m'empêcher de me le répétais sans pouvoir m'interrompre "elle n'est pas morte". J'était muette et pire je ne pouvais pas parler cela agaça Alice ,ma plus grande sœur, mais tant pis que voulait-elle que je dise? Des chose que je ne pensais pas comme le fait que j'étais triste. Non je ne l'était pas et c'est horrible mais c'est la vérité je ne ressentais pas de la tristesse. Du vide à la limite. On a du me demander cent fois comment j'allais. A votre avis? Je venais de perdre ma mère certe je n'était pas triste mais de là à aller bien il y avait un gouffre. Cette journée fut d'une lenteur épouvantable. Les questions sur mon état mentales fusées mais je sentais que ce qui me poser la questions voulais seulement avoir bonne conscience sauf rare exception. Lorsque j'alla me couché je m'endormit vite avec un vide que je ne ressentis pas tout de suite. Ce genre de journée ne vous bouffe pas forcément sur le coup mais il vous dévore au bout de quelques semaines, mois, et parfois années. Elle vous revient dés que la lucidité vient vous reveillé. Vous dire que si ta mère est morte et ne reviendra jamais. Ce fut vers deux heures du matins que je me réveilla avec cette phrase en tête "c'est ta première journée orpheline". Je me rendormit aussi vite qu'à l'annonce de mort de ma mère. Là aussi, ce n'est qu'a partir du moment ou je l'énonce que je me rend compte de la dureté de mes propos. Et je ne peux m'empêcher de m'en vouloir mais je vous est promis la transparence sur mes sentiments et la voici. /!\ histoire vrai /!\
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Après qu'il ne soit trop tard
No FicciónMa mère représenté tout pour moi et elle en représente encore plus depuis qu'elle n'est plus là Ma vie changea à jamais le 7 octobre 2016 Les chapitres sont assez court mais seront réécrit après avoir finit /!\ -Cette histoire est vrai et autobiogra...