Une simple histoire d'appartement

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 J'ai toujours vécu en appartement au beau milieux des villes où j'ai vécu. Cela ne m'a jamais dérangé. Au contraire j'ai beaucoup de mal à m'imaginer dans une maison de campagne. En effet les bruit des gens saoul qui sortent des bars et les dérapages de voitures font partie de mon quotidien et j'aurais du mal a m'endormir sans. La campagne me fais peur pour ça. Le silence a odieux où des petit bruit strident deviennent enorme me la font détester. Il y aussi cette impretion de petite vie rangée dans ses maisons un peu éloigné du centre où nous retrouvons deux parents marié aimant leur deux où trois enfants. Même lorsque j'avais cinq ou six ans je les détesté. Aujourd'hui bien sûr que je me rend compte que c'est un beau tableau pour cachée les plus sombre des secrets. 

 J'aime la ville. La ville d'une taille moyenne avec tout ce dont on a besoin: un supermarché, quelques lycée et surtout ne pas prendre un maudit bus (je déteste les bus) et pouvoir allées où on veux quand on veux. Les tramways sont le moyens de transport le plus pratique passant très régulièrement, plusieurs fois par heure au moins. Mais le mieux est de tout pouvoir faire en marchant. La ville où j'habitais avec ma mère était ainsi faite. Je mettais quatre minutes pour aller au lycée tout au plus.  Enfait nous y avons ue deux appartement 


Le premier j'était petite et . Il était un peu excentrée près de la gare. J'y suis arrivé vers mes un an et repartie vers mes trois ans. Pourtant j'arriverai encore à en faire un plan détaillé. Ma chambre était jaune et mon lit a barreau me semblait énorme. Mes cauchemars précédemment énoncer devait être du au grincement sinistre de se lit de bébé. Je me souvient de la chambre de mes sœurs avec l'ordinateur qui parait maintenant très obsolète. Je me souvient de la cuisine et son velux, Du salon par laquelle on voyait le jardin publique. Je me souviens même de mon troisième anniversaire là bas. Mes souvenir sont très précis et pourtant ne m'appartienne pas entièrement. J'ai cette impression étrange de ne pas y avoir vécu. Mes souvenir viennent de rêve de photo d'objet me le rappelant ou des petite scénette me revenant avant de dormir. Des fois je passe devant cette porte qui me parait  plus petite qu'étant enfant. J'ai envie de sonner à mon ancienne appartement. De le redécouvrir sous un autre jours. Que des souvenir me reviennent. Que tous mes souvenirs me reviennent.


Nous avons ensuite déménager au centre de la vieille ville. Nous étions au sommet d'un bâtiment avec un escalier en colimaçon vieux , en pierre plus ou moins haute, froid et humide. A quatre ans je ne voulais pas y monter seule ni descendre seule. Un jour Alice voulu m'emmener à l'école. Elle avait oublié quelques choses et voulu que je me tienne a la rampe. Pour une quelconque raison je glissa et roula les quatre étage arrivant sur le dos au milieu de la cours adjacente. J'étais paralysée de peur mais n'avais pas eu mal. Elle m'emmena inquiète a l'école ou il me donnèrent les petite granule d'arnica homéopathique. Plus de peur que de mal. Mais passons à l'appartement. Autrefois il était plein de vie avec mes sœurs qui passer maman qui cuisiné (très bien au passage). Il y avait une de ses odeur incomparable que je ne retrouverai jamais. Aujourd'hui il est sans vie et quand j'y vais je me demande quels nouveaux insectes vont faire leur apparition ou quels autre désastres a-t-il pue avoir lieu. J'aime cette appartement et c'est triste de dire que j'ai presque plus pleuré pour lui que pour ma mère. Bien sûr les deux étaient étroitement liées. En fait ce sont plus les moments passé à l'intérieur que je regrette. Je dois laissé plus de dix ans de ma vie la bas et je n'ai égoïstement pas envie qu'elle appartiennent a quelqu'un d'autre que ma maman. C'est un espèce de champs protecteur pour moi. Tout mon primaire et tout mon collège. Cette appartement m'a vu dans les meilleure et pire état. Il a vu ma mère souffrir et rire. Il a vu tout les secret de famille. Nous découvrirons surement beaucoup en le vidant. Mais je n'ai pas l'envi de tout savoir. Je veux rester là bas. Je veux y revivre pour toujours et à jamais. C'est ma seule maison.

Après qu'il ne soit trop tardWhere stories live. Discover now