Oh mon dieu, que ses yeux bruns sont envoutants, ils ont su me percer à jour.
Que puis-je dire de la beauté incomparable de ses cheveux, rien qu'au regard j'ai pu y déceler toute sa douceur.
Ses formes divines ont réussi à me rendre dingue d'elle.
Chaque parcelles de son corps me coupent tout simplement le souffle, je ne peux détourner le regard face à cette beauté infinie.Comment pourrais-je faire du mal à cette œuvre d'art, si pure, si sensible, si fragile, jamais je n'oserais l'effleurer de mes mains par peur de l'égratigner. Jamais. Oh non jamais je ne pourrais me pardonner.
Pouvoir l'admirer est déjà un grand honneur pour moi !
Que demander de plus, si je peux déjà faire ce que d'autres sont incapables ?Pourtant au fond de moi je veux qu'elle m'appartienne. Impossible, me dit ma conscience. Je me contenterai de ce que j'ai déjà.
Je me retiens depuis déjà des décennies, hélas j'ai peur de défaillir face à la vue qui m'est proposée. J'en ai peur, je m'en éloigne. Jamais. Jamais, si je m'entends. Je n'oserai pointer le bout de mon doigt sur cette femme tombé du ciel.
Je n'ai jamais souffert pour une femme auparavant, mais sa venue dans ma vie à remis en cause toute mon existence.
Mon âme ainsi que mes paroles se sont tournés vers elle. En aucun cas je ne regrette, j'en suis même honorée. Souffrir et écrire pour la femme de mes rêves.
Comment ignorer cette appel plus que flagrant ?
Je n'ai fais qu'ignorer le fait.Elle m'a eu comme un chasseur ayant attraper sa proie. Elle a été lente pour que je me sente faible entre ses mains. Elle a eu raison de mon impassibilité. Elle m'aura tué.
Elle n'a pas abrégé mes souffrances comme je le souhaitais. Non, elle n'a pas fait ce que j'attendais.
Elle m'a capturé pour que je puisse lui écrire.Pour son cœur aussi détruit que le mien, pour son âme aussi sombre que la mienne. Nous étions destinées.
Elle a trouvé le bonheur. Sans moi.
Cette phrase a eu l'effet de tous les poignard sur mon cœur.Je n'ai pas assez tenté.
Je me retrouve à écrire dans le vide. Celui qu'elle a laissé, avant de partir. Elle a joué de ma fragilité.Je la hais tant, mais je l'aime tout autant.
Pour cette amour je me hais.
Si malgré moi elle me demandait d'être son pantin, sans même réfléchir j'accepterai.Elle a un cœur si dur à atteindre.
Si dur à oublier.
Pour vous, ce matin j'écris.
Pour elle chaque soir je me tue.
Chaque lettres qui forment ses mots empli de tristesse et d'amour sont adressés à cette ange.
Que jamais je n'aurais.
Elle m'aura joué le plus beau tour de ma vie. Celui avec mon cœur que j'ai perdu.
À l'instant où son regard m'a traversé.
Ma fin s'est approchée, je l'ai senti.
Elle m'effleure, sans m'avoir.Dans mon existence je n'aurai aimé qu'elle.
Mais cette amour était à unique sens.
J'ai trouvé l'âme sœur, elle non.
Un honneur, voilà ce que c'est de l'aimer."Ver de terre amoureux d'une étoile"
Victor HugoVoilà ce que j'étais à cette instant précis.
Je vis sans vivre.
Je souris sans être heureuse.
Nous faisons tous des choses insensées, pourtant l'aimer ne l'était pas.En plein milieu de la nuit et lorsque le soleil se levait ce texte à été écrit.
Ivre de voir de l'amour partout où je posais les yeux, j'eu l'envie de décrire la femme parfaite.
Pourtant si banale aux yeux de tous, à mes yeux elle sera la plus belle femme.Pour ne faire de jaloux et d'envieux. Un jour, un texte sur l'homme parfait sortira, pour vos égos à assouvir.
Il n'aura pas tant d'intensité que celui-ci, certes. Mais comprenez moi, la femme est un diamant.
L'homme un bourrin.
Ce n'est que mon avis.PS : La plupart d'entre vous ont lu ce texte sur Twitter. Pas de panique j'avais juste envie de le partager !