Acrostiche IV

10 1 0
                                    

Arquant ces lignes mi-courbées sur mes poignets
Lorsque tes doigts aux miens se mêlent et s'en mêlent
Ecourtant sans gêne les paroles sensées
Si vite submergées par nos yeux qui s'emmêlent
Sacrifice de raison par coeur entêté
Attention, cet organe chaque fois se fêle
Naître encore et croire que tout peut arriver
Drastiques montagnes qui tordent mes appels
Rarement timides et pourtant éloignés
A l'aube embrouillée de nos lèvres qui se scellent.

PoèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant