Souvenirs. Rêves. Réalités.( nouvelles)

Adams

Les êtres normaux rêves de choses fatastiques comme les licorne et la magie ... Et bien cette histoire va porter sur une famille qui n'est pas du tout comme les autres. Je parle bien sur de la famille Adams . Cela vous dirais de passer un moment à être l' un d'entre eux. En particulier Mercredie Adams.
( Pour ce qui ne connaissent la famille Adams, révisée vos classiques.)
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J'entend la musique de la marche funèbre près de mon oreille . Je me lève ,à côté de moi se trouve mon ancienne poupée décapitée me représentant. Je ne l'ai  plus touchés depuis que je suis entrer dans cette prison , que tout le monde nomme collège. Là-bas toutes les filles et tous les garçons  sont  habillés de couleurs vivent.
Je descends  par l'escalier grinçant de notre magnifique demeure, lugubre disent les gens dans notre dos , quand ils pensent qu'on ne les entend pas. Ils n'ont aucun goût, c'est sur !
J'arrive dans notre cuisine , ma grand-mère est penchée sur son immense chaudron. Mes frères sont déjà à table. Puberté plante son couteau dans la cuisse de Pugsley tandis qu'avec sa fourchette, il joue  avec sa nourriture . Soudain je sens quelque chose sur mon épaule. Je ne regarde même pas  se que c'est et dit:
"Bonjour la chose."
Comme pour me répondre , elle me presse doucement l'épaule. Je prends place au côté de mon frère Puberté. Ma mère arrive avec mon assiette; elle avance avec grâce dans sa moulante robe noire.

Arrivé à l'affreuse prison nommé COLLÈGE.

J'attends devant cet abominable bâtiment. Il est de couleur vive, tout comme les élèves qui m'entoure. Je suis seule mais j'ai l'habitude. Celà ne m'atriste pas car j'imagine des plans pour leur faire de grosses frayeurs.
Je regarde  une " jolie" blonde en me demandant ce qui lui fait le plus peur.

Cour de maths.

Nous rentrons enfin dans la salle de cour. Tout le monde chuchote , certains essayent de se mettre une rumeur croustillante sous la dent qu'ils écriraient dans le journal du collège. La prof essaye par tout les moyens de faire taire les élèves. Malheureusement elle ni arrive  pas. Alors elle commença son cour, dans le bruit. Ma mère m'a dit d'écouter en cour. Mais c'est impossible d'écouter dans un brouhaha pareil. Alors je me  lève  d'un coup en tapant fort sur ma table. Tout le monde s'arrête  de parler. Ils ont tous peur de moi pensais-je en rigolant. Je me dirige vers le tableau pris une des rares craie qui reste , puis me dirige vers le fond de la classe où se trouve  le dernier tableau noir. Je mets  la craie dessus et commence  à la faire grincer . Ils se bouchent tous les oreilles, ferment fort les yeux. Pendant que moi je rigole silencieusement. Je retourne à ma place sous les yeux horrifiés de mes camarades. Le reste du cour est silencieux, ils ont trop peur de se que je pourrai encore leur faire.

Pause du midi.

Pendant le repas je mange toute seule, il faut dire que ça ne m'étonne pas. Je fait très peur à mes camarades et j'en suis heureuse et fière. Un garçon m'insulte sans que j'en sache la raison. Je lève le yeux. A ce que je vois ce crétin n'a même pas eu le courage de venir m'insulter tous seul , puisqu'il est accompagné de deux gros chiens de gardes. Je lui fait remarquer et je vois à son regard, qu'il ne s'attendait pas à ça comme réponse de ma part. Mais sa surprise passe vite et il recommence à m'insulter, avec cette fois-ci une lueur de confiance en lui, dans son regard. Cet air supérieur, qu'il a m'insupporte plus que ces insultes. Je me lève alors, prends mon assiette et lui la balance à la figure. Elle se brise  sur son horrible face , les morceaux coupants lui entaillaient la peau. La nourriture contenue dans l'assiette le brûle . Il souffre celà ce voit . Les surveillants accourent, ils appelent l'ambulance et l'emmènent à l'infirmerie pour patienter.  Moi on me prend  violament par le bras et on me conduit chez le directeur.

Bureau du directeur.

Il a appellé ma mère. Nous sommes maintenant toute les deux devant le principal. Il explique à ma mère,qu'il va devoir m'exclure du collège pendant trois jours.

Dans ma chambre.

Le principal ne sait pas qu'il vient de me faire un merveilleux cadeau.
Trois jours de repos mais c'est formidable!!!
Ma mère est fière de moi  tout comme mon père, pour le sale coup que j'ai fait à l'autre imbécile. J'en rigole encore d'ailleurs.

                               FIN.

Merci de lire , malgré toutes les fautes que je fais. Je m'en excuse d'ailleurs.
C'était un moment de la vie de Mercredi selon moi.

Petite info: je n'écris que quand j'ai de l'inspiration, donc c'est normal si il y a beaucoup de temps entre les différentes nouvelles.