Isaac.

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J'avais vue ses yeux brillaient devant le sourire du Roi. Malheureusement, je ne pouvais rien lui reprocher. Le Roi était encore plus beau et majestueux que sur les peintures. Cependant, j'avais quand même eu un pincement au coeur en la voyant autant souriante devant lui. Maintenant Elizabeth et moi étions séparés, moi j'étais avec le Comte d'Ambert et des amis les plus proche du Roi tandis qu'Elizabeth était avec la femme du Roi. Le Comte d'Ambert était un homme charmant, il a pu me prêter de beaux habits. J'étais maintenant habillé tel un homme du XVIIème siècle : une veste rouge avec des boutons or, une chemise blanche et un pantalon noir et des bas blanc. Oui, j'avais des bas et bien maintenant il y a au moins une chose que je trouve dérangeant à cet époque.

« Comte d'Alais ? Vous m'écoutez ? »

Non, évidement, je n'avais écouté aucun des mots que le Comte d'Ambert avait prononcé.

« Bien sûr, excusez-moi le voyage a été dur et long.

- J'entends bien, vous aimeriez peut-être vous asseoir sur un banc ? Nous promenait dans les jardins était peut-être une mauvaise idée.

- Non, continuons, l'air frais me fait un grand bien.

- D'ailleurs, j'y pense ! s'exclame le Comte, le Roi vous a-t-il convié au dîner ?

- Absolument pas malheureusement.

- Oh ! Autant pour moi, voyez-vous seul quelques personnes ont le droit de manger à ses côté ou bien d'assister. Mais c'est vrai que vous êtes nouveaux ici avec vôtre dame, nous devrions nous retrouvez plus tard alors ? Dans la salle des jeux ?

- J'en serais ravie. »

Alors le Comte d'Ambert me laissa seul. N'était-il pas censé rester avec moi ? Décidement, ce Comte était une personne bien étrange pour ne pas obéir aux demandes du Roi. J'étais maintenant seul. De plus, je n'ai aucune idée de où se trouve Elizabeth.

A chaque pas que je faisais les gardes me regardait, m'observer. Même en ayant le titre de Comte, ils ne devaient pas être assurer de mon identités et si ils ne l'étaient pas alors le Roi non plus. Au même moment, je sentie une main touchée mon épaule.

« Vous voici. »

C'était le Roi.

« Je vous cherchais, où est le Comte, mon ami ?

- Partis, Monsieur le Roi.

- Oh, très bien. Tout se passe bien ? Les jardins vous plaît-il ?

- Oui, ils sont encore plus beau que je ne le pensais.

- Bien, très bien. »

Nous avions arrêtés de marcher et le Roi me regardait droit dans les yeux. J'ai cru un instant que j'allais m'écrouler. C'était tellement... horrible. On aurait dit qu'il pouvait lire dans mes pensés, que ses yeux étaient devenue des lasers avec rayon x. J'ai du réprimée un rire rien qu'a cette pensée.

« Et si nous continuons cette ballade ? Proposa le Roi.

- Volontiers ! »

Je n'aurais pas pu rêver mieux, ce silence commençait à être lourd et oppressant.

« Nous sommes bien d'accord que vous n'êtes pas seulement venue pour voir votre Roi ? »

Alors là, je panique. Elizabeth aurait du être là.

« Et bien, nous sommes en grande partis ici pour vous Majesté mais je vous avoue que le château de Versailles m'intrigue énormément.

- C'est à dire ?

- Vous êtes entrain de construire l'un des plus beaux, des plus grand châteaux de France et je voulais voir ceci au moins une fois dans ma vie. Voyez-vous partout en France chaque Français rêvent de pouvoir assister à cet exploit merveilleux qu'est vôtre demeure. »

Je vis au coin de l'oeil, le sourire du Roi. Je pense avoir réussie à me donner l'air innocent.

« Je comprend. Je suis bien heureux d'entendre cela. Comme je vous l'ai dit plus tôt, vous êtes conviée aux jeux, ce soir. Les femmes sont normalement dans une autre pièce ou bien restent dehors pour profiter des eaux. Cependant votre femme sera la bienvenue aux jeux.

- Évidemment, je serais présent. »

Ma femme. C'était tellement bizarre d'entendre Elizabeth être appelé comme ça.

« Excusez mon impolitesse mais je suis appelé ailleurs, dit le Roi.

- Attendez ! J'ai une demande à vous faire. »

Je veux qu'Elizabeth soit fière de moi. Mais qu'est-ce que je suis entrain de faire, merde.

Le Roi parût extrêmement surpris de ma réaction.

« J'écoute.

- Si cela est possible, j'aime m'occuper des archives. Cela fait partie des raisons pour lesquelles je suis ici, j'aimerais faire des recherches. Évidement, je conçois que sa Majesté n'a peut-être pas envie que l'on fouille dans ses affaires... Mais si jamais, vous aviez besoin d'aide ou simplement si vous m'autorisez... Je serais ravie de pouvoir m'intéressez de plus près aux histoires de votre familles ou de la France.

- Voici une bien étrange requêtes...Voyez-vous, les archives sont déjà tenues par un de mes ministres et elles sont importantes. Je tâcherai d''y réfléchir. »

Le Roi tourna alors les talons et s'éloigna aussi vite. Mon cœur battait la chamade. Si il refusait, j'allais peut-être ruiner la seule chance qu'on avait de se faire un peu accepter par le Roi.

****

Il était vingt-deux heures. Je regardais les hommes jouaient à un jeux assez proche du poker. Je n'avais pas vu Elizabeth de la journée et elle ne s'était pas montrée à l'endroit du rendez-vous. Mais on m'avais montrée notre chambres et ses affaires y étaient.

Depuis la ballade dans les jardins, le Roi ne m'avait plus adressé la parole. Il était maintenant à une table proche de moi.

Ma tête tournait, le vin que l'on m'avait servie était vraiment bon et j'ai bien peur d'en avoir un peu abusé. Un des hommes assis à la table de jeux me proposa de m'y asseoir. J'ai refusé.

« Vous devriez allés dans votre chambre ! Vous avez une de ces mines ! Me dit un autre homme.

- Oui, excusez-moi j'y vais. »

Je sortis aussi vite de la grande salle. Au moment ou je regarde derrière moi, je vis le Roi me regardait m'en aller d'un air suspicieux. Me voici encore plus suspect.

Pendant que je traversais les couloirs pour rejoindre ma chambre, j'entendis un gémissement. Pourtant, je ne voyais personne. Au moment de tournée et que les gémissement se faisait un peu plus fort. Je tombe nez à nez avec deux hommes. Presque nus. Au même moment, les deux hommes me virent et s'arrêtèrent instantanément.

« Excusez-nous beau garçon, Monsieur, était entrain de penser à quel point il enculer les nobles de la cour ! Malheureusement, il se défoulait sur moi. »

Je ne savais absolument pas quoi dire. Aucun mot ne sortait de ma bouche.

« Oh ! Vous êtes le petit nouveaux ? Continua l'homme. Je vous présente alors, Monsieur, le frère du Roi. Tout le monde ici connaît la passion qu'il a pour les hommes, il va falloir vous y faire. »

Alors je me trouvais face au frère du roi et l'homme qui me parlait était le Chevalier de Lorraine. Évidemment, il n'y avait que eux pour faire ça dans un couloir. Le frère du Roi s'avança vers moi tout en remettant bien son bas.

« Vous m'excuserez, pour des raisons évidentes je ne vais pas vous serrez la main mais je suis heureux de vous connaître.

- Moi aussi, répondis-je. »

Les deux hommes s'en allèrent aussi vite tout en rigolant pendant que j'étais incapable de bouger ou de penser à autre chose que de rentrer vite dans ma chambre. J'en suis sûr, c'était maintenant le deuxième détails que je trouve dérangeant à cet époque.  

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 02, 2017 ⏰

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