Partie 1.

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Me voilà aujourd'hui âgée d'à peine cinq ans, je quitte la France, je quitte ma classe de CP, je quitte mes amis, je quitte ma famille...
Accompagnée de mes parents nous nous rendons au Mali pour une durée d'un ans, pourquoi ? Je n'en sais rien.

Je le rappelle qui était très tôt le matin peut être 4-5 heures du matin, ce qui est sur c'est qu'il ne faisait pas jour.

Encore dans les vapes, je peine à me réveiller, l'ambiance était tendus il fallait mettre toutes les valises de maman dans le coffre en moins de 10minutes...

Moi je m'occuper de rien j'étais encore trop petit pour ça, je prépare mon bol de céréales et je manges en jouant avec le jeu que j'avais eus hier au McDonald.

Ça ressembler à ça, agacé par ma musique, mon papa me dit de me dépêcher et qu'il fallait bientôt partir

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Ça ressembler à ça, agacé par ma musique, mon papa me dit de me dépêcher et qu'il fallait bientôt partir.

Je n'avais pas la notion du temps pour moi c'était de simple vacance, c'était la première fois que j'allais quitter la France, mais je n'avais pas conscience de tout ça.

Avant de partir ma maîtresse m'avait dit à bientôt, passe de bonne vacances , attention 2 semaines ça passe vite profite bien.

......

Ça y est je suis arrivée, là chaleur m'étouffe c'est pas possible il doit faire 40 degrés, j'ai chaud j'enlève ma veste, mon collant je reste en robe ballerine, l'attente a était interminable, j'étais fatiguée, j'avais faim.

Devant l'aéroport il y avait un chauffeur qui nous attendait, il nous conduit dans la maison de mon père, j'allais enfin la voir, faut savoir qu'il en parlait avec fierté, il avait même coller ses photos dans son garage, il avait fait ce que personne n'avait fait de sa famille encore, c'était la plus grande de la rue.

Le chauffeur ce gare devant une maison et la j'en croyais pas mes yeux, c'était donc vrais la maison de papa était tellement grande, qu'en la voyant j'ai poussé un crie de joie, j'étais une fille heureuse.

En entrant dans la maison je marche d'une lenteur extrême, je voulais rater aucun détail de cette maison, les cadres, le grand tapis qui prenais tout le couloir, les décorations tout étais absolument magnifique, je pensais même que j'étais dans un rêve, papa avait travailler dur il le méritait.

En entrant dans la salle, il y avait beaucoup de personne, je n'étais pas intimidé du tout bien au contraire, j'entre dans la maison et je vais serré la main de toutes ses personnes, y'en n'a que j'avais déjà vue en photo, d'autre était inconnus.

Sur la table un énorme plat d'alocco et de poison grillé nous attendez.

J'étais ravie c'était mon plat favoris, sans attendre, je mets mes deux mains dans La plat, j'entendais les rires de certain, mes parents ont vue que j'avais très faim et n'ont pas fait de remarque à part que chez nous il fallait mangé de la main ...

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J'étais ravie c'était mon plat favoris, sans attendre, je mets mes deux mains dans La plat, j'entendais les rires de certain, mes parents ont vue que j'avais très faim et n'ont pas fait de remarque à part que chez nous il fallait mangé de la main droite, j'exécute et je mange .

J'étais très épuisée de ce long trajet.
Mon maman me lave, et m'accompagne dans ma chambre.

J'avais très mal dormis, je n'étais pas habituée à autant de chaleur, tout sembler différent, j'avais l'habitude de dormir avec ma soeur mais la j'étais seule dans une chambre 3 fois plus grande.

Ma joie c'était transformé en peur.

Au réveil, une femme vêtue d'un simple pagne et un t-shirt me salua, je fis de même, je lui demande son prénom, elle s'appelait donc Aminata.

Aminata: ton petit déjeuné et sur la table, si tu veux autre chose tu me dis, je travaille pour t'es parents.

Moi: pourquoi tu me sors tout ça je sais le faire toute seule tu sais je suis une grande fille j'aurais bientôt 6 ans.

Aminata: Je sais Alina mais c'est mon travail.

Moi: il est bizarre ton travail, et il est pas marrant

Aminata: allez mange ça va refroidir.

Je mange donc en attendant le réveil de papa et maman.

1h, 2h ...
Personne.

Moi: aminata ou sont mes parents?

Aminata: ils sont patient très tôt ce matin, mais ta tante Hawa viendra te chercher tout à l'heure.

Moi: mais je ne l'as connais pas, non non je ne veux pas.

Aminata: écoute Alina, tu dois écoute quand une grande personne te parle.

Moi: bon d'accord.. pardon Aminata.

La porte sonne, Aminata va ouvrir, je cour dans ses bras et criant Maman.

La dame: je ne sais pas ta maman mais Tata Hawa, je lui ressemble beaucoup on nous appeler les jumelles.

Moi: 😨😨😨, tu ressemble à mon maman, j'aime beaucoup t'es nattes je veux les mêmes , et ton pagne aussi je le veux , et t'es bijoux, que tu es belle 😍.

Tata Hawa : ma soeur n'avait donc pas tord, tu es très bavarde, allez viens avec moi.

Je lui prend la main sans hésité, elle m'avait inspirée une confiance, pour moi c'était comme ma maman.

On ce promène un peu, j'étais surpris par ce paysage très différent de la France.

On s'arrête devant un magasin de vêtement, et la une robe ornée de perle argentée elle était rose elle était si belle, je la voulais .

Moi: Tata Hawa je la veux, je la veux, stp

Tata Hawa: moi je ne peux pas t'offrir ce cadeau, je n'ai pas assez de sous.

Je boude mais elle ne pouvait pas c'était pas de sa faute, j'avais l'habitude d'avoir tout ce que je demandais et le fait qu'on me dise non m'avait pas plu.

De retour à la maison Tata Hawa détache mes cheveux, c'était mon pire cauchemars , j'avais les cheveux très très long, très crépus, et j'en n'avais beaucoup.

A peine mon chouchou détacher que j'hurle.

Moi: Tata Hawa, non non ne touche pas à mes cheveux, j'ai mal.

Tata Hawa: Alina calme toi, je vais te rendre belle, j'ai une surprise pour toi, mais pour ça il faut être très jolie

Malgré les pleures Tata Hawa me coiffa.

Sûrement fatiguée d'avoir pleuré je m'endormis.

EXCISION.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant