Snapchat ↠ Olivio Ordonez

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- Je n'arrive pas à croire que tu nous ai fais lever à sept heures du matin pour venir dans cette file. Soupire Oli. Sérieux Lana regarde nous on dirait des putains de SDF.

Je roule des yeux avant de remonter un peu plus le plaid que j'avais apporter sur moi. J'ai décidé de réveiller les garçons extrêmement tôt pour que nos places dans la fosse soit mieux car bien évidemment Oli a choisi des places debout et non assise.

- Si tu avais choisi des places assises on aurait pu arriver plus tard. Je rétorque.

- Mais ça change quoi ? Dans tout les cas tu auras tu seras dans la salle.

- Ça change que si j'ai le malheur de me retrouver derrière une grande courgette je n'arriverai jamais à matter les abdos d'Ashton.

- Mais on s'en fout, Flo pourra te porter sur ses épaules !

J'arque un sourcil avant de tourner la tête vers Flo qui est accoudé à la barrière en métal entrain d'écouter de la musique depuis toute à l'heure.

- C'est un squelette Oli, je vais le casser. De toute manière tu es déjà lever donc arrête de râler.

- Tu es encore plus chiante que par message, roule des yeux l'argentin.

- Et toi tu es encore plus con.

- Bon ça suffit vous deux, lâche alors Flo qui a retirer ses écouteurs de ses oreilles, on dirait un putain de vieux couple au bord du divorce merde, arrêtez de vous insulter et taisez vous sinon on rentre direct sur Toulouse.

C'est fou comme l'autorité ne lui va absolument pas, sa tête bougeait comme celle d'une poule durant son discours rendant la situation plus drôle que terrifiante.

Quoi que j'étais peut être un peu terrifiée étant donner que je n'aime pas les poules.

- Moi je m'en fous, la seule chose que j'ai envie c'est d'un chocolat chaud et d'un lit chaud. Dit Oli en attirant mon regard noir.

- Eh bien allez-y, cassez vous.

- On a le droit ? Demande Flo sans aucune autorité.

- Bah oui de toute manière c'est moi qui est les places de concert, les clés des chambres, les billets d'avion pour le retour et j'ai aussi vos papiers d'identité dans mon sac donc autant vous dire que vous n'irez pas très loin.

Les deux frères me regardent alors en soupirant, je pense que je suis la seule figure d'autorité ici.

- C'est quel heure ? Demande Olivio.

- Treize heures, je réponds en jetant un coup d'oeil à mon portable, plus que sept heures avant de voir les amours de ma vie.