chapitre 7

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- Mais, non! Quelle est une femme de chambre triple idiote. 

- Quel parfait exemple, une none qui passe sa journée à jurer.

Vexer Marie me pince le bras.

- Tu te tés !

Je n'ai même pas le temps, de la questionner sur son comportement étrange, qu'elle claque la porte de ma chambre.

- Mais dans quel monde vit-on ?

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Je regarde la robe, une nouvelle fois. Ce qu'elle peut être jolie, cependant, on m'a habitué à porter, des toilettes si simples, malgré que mes lingues soient de meilleure qualité, que ceux des autres. J'ai sus à mes 12 ans, que c'était « mon Oncle », qui choisissait, mes tissus, très minutieusement. « Mais pourquoi ? Pourquoi n'ai-je pas le même tissu que tout le monde ? Ce n'est pas juste, je veux le même ! » Avais-je demandé, « Mon enfant, tu n'as guère fait veux de pauvreté, et puis ce tissu est bien plus confortable ! aller arrête de bouder, petite princesse, tu peux aller demander à Marie des gâteaux. » Avait-t-il répondu. Et moi plaine d'enthousiasme, je lui avais demander, si je pouvais les partager avec les autres enfants, mais il me la formellement interdit.

Oui, je n'ai jamais eu le droit de m'approcher d'autre enfants. Ils m'ont toujours dit qu'il en valait mieux pour ma sécurité, et maintenant que j'y pense... tout le petit monde qui se sont occuper de moi, ne s'approche que très rarement, d'autre gens, même durant les messes. De plus, je suis la seul, a qui, on accorde tant de privilégie, je n'ai jamais réellement compris pourquoi ? Après tout, pour mieux me cacher, ne faudrait-il pas, me fondre davantage dans la masse... non ???

Enfin...

- Mademoiselle ?

- Tu es une femme de chambre, n'est-ce pas ? Une nonne, ne se tient, n'y ne parle, comme tu le fais. Et surtout je n'ai jamais vu une viking pratiquer réellement le catholicisme, sens oublier, que tu ne semblais pas certaine de ton nom.

- Comment-vous ...

- Comment je sais que tu ais une viking ? Ta poudre, recouvre mal, tes taches de rousseurs.

Confuse, elle touche ses petites joues rondes, et s'empourprât.

- Je n'ai jamais cherché à les cacher-moi !

Elle s'arrête, subitement, constatent son erreur, puis reprend confuse

- Je suis deso...

- Ça ne sera pas la peine !

Par tous les dieux, pourquoi ai-je la désagréable sensation, d'être une maitresse, en face de son esclave. Malgré ma perte de mémoire, je sais qui je suis ! je suis une viking !!! Je sais qui sont mes dieux, mais cela ne m'empêche pas de respecter, la croyance des autres. Et j'estime, à ne pas avoir à me justifier !!!

La viking s'approche de moi, pour commencer son travaille, s'en doute, mais ne vouent pas qu'elle me touche, je recule d'un pat.

- Je suis sûr que ton maître, t'attend. Va donc le rejoindre.

- Mais, je dois vous...

- Que nenni !

- Bien mademoiselle. Me dit-elle en me faisant la révérence, avant de prendre la porte.

Je regarde la robe avec appréhension, pourquoi tant de changement brusque. Et pourquoi tant de question demeure sens raiponce.

Bon, quand il faut y aller, il faut y aller ! Par chance, la robe n'a pas l'air d'être si compliquer à mettre, et le corsage s'attache pas devant, ce qui me facilite la tâche.

Une fois la robe mise et bien ajuster, je m'assoie devant ma coiffeuse, et me brosse les cheveux. Un chignon en hauteur, c'est simple à faire, distinguer et surtouts c'est la seule coiffure que je sache faire. Je suppose que ce n'est pas la peine que je me mette de la poudre. Enfin, il ne me manque plus que mes chaussures, et je suis prête à descendre. Je ne sais pas pourquoi je redoute tant cette rencontre. Après tout, il était déjà prévu, que je m'en aille, mais... je ne veux pas partir. Mais, si je pars avec ces viking, qui sont les miens, ou irais-je exactement, et que ferais-je ?Bon et bien, je crois qu'il est temps que je descende, à la salle à manger, même-ci, j'ai déjà manger. Fantastique, je vais m'amuser.

Je descends lentement les escaliers, dans l'espoir de ne pas tomber. Ce serais bête de déchirer cette magnifique robe, mais surtout, éviter l'humiliation. Je m'en passerais avec joie !!!

- Hé bien, hé bien, mais qui voie là ?

- Thormod, qu'elle surprise.

- J'ose espérer, que ces vêtements vous plaisent. J'ai pris du temps à les choisir après tous, j'ignorais qu'elle couleur vous irai le mieux. Et par chance le bleu vous a merveille, princesse.

Je me suis raidi, j'ai une sensation étrange, des sueur froides dans le dos, ma respiration s'accélère. Est-ce de la panique, je l'ignore.

Par tous les dieux, j'ai des vertiges. Je ne même pas, si je suis encore debout.

Puis, me viens des images : Une petite fille rousse aux yeux, verts émeraudes, (c'est surement, moi, tient) vêtu, d'habille aussi doré, que le soleil. Elle est accompagnée d'un garçon, plus âgé qu'elle. Des rires !!! oui j'entends des rires.

- ...ssa, ...lissa....VALISSA !!! Respire, respire bon sens.

Je le regarde dans les yeux. Il s'était rapprocher. Enfin...rapprocher, rapprocher, j'ai la tête sur son torse quand même. 

la princesse Viking disparutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant