The Life We Dreamed

l'an 5132

Nous sommes le 52ème jour de l'année 5132, la planète compte 1 000 256 347 habitants humains. L'homme n'est désormais, qu'une espèce inoffensive sur la planète bleue. Les 210 survivants se sont reproduits, leurs enfants ont fait de même, ainsi de suite jusqu'à repeupler la Terre.

Les survivants on crée une puce électronique autosuffisante, qui permet d'avoir en temps réel toutes les statistiques, physiques et mentales des personnes. Elles apparaissent sous forme de jauge et calculent tout pour qu'ils soient en bonne santé. Elles calculent aussi leurs aptitudes telles que leur rapidité, agilité, précision, force et beaucoup d'autres.
Ces puces sont implantées le jour de leurs 4 ans, il serait dangereux de les implantées plus tôt. Elles sont directement reliées au système nerveux, synchronisées avec un bracelet doté d'intelligence artificielle elles permettent de communiquer avec n'importe qui n'importe où sans bouger le petit doigt ni même parler. Les yeux sont les nouvelles caméras, la puce peut enregistrer en temps réel ce que la personne vois, pour ensuite le publier ié sur les réseaux ou l'envoyer à un ami. Ces puces ont été une révolution et on permis la survie de la race humaine.
Elles permettent entre autre de se téléporter vers des points particuliers ou se trouve des "portails de téléportation". Ça ressemble à un très gros clou, implanté dans un sol ou un mur, il suffit des coordonnées pour se téléporter dessus à tout moment.

Les survivants ont pris soins de ne pas répéter les erreurs du passé en créant ces puces. Les puces sont aussi la base de l'apprentissage, les cours tel qu'on les connais n'existent plus, toutes les données sont insérées au fur et à mesure dans le puces, ce qui évite toute inégalité de savoir entre les personnes. Les professeurs sont des ingénieurs et psychologues qui apprennent aux enfants à se servir de leurs puces. Ils ont récupéré toutes les données basiques à l'âge de 14 ans, ils passent alors en classe préparatoire à leur métier. Ayant de multiples connaissances, dans tous les domaines, ils sont capable de choisir le métier qui leurs conviendra le mieux.
Les enfants passent beaucoup moins de temps dans des salles de classes, en conséquences, ils sont formés à diverses activités manuelles, ne pouvant être apprisent par le biais de la puce qui n'est utile que pour la théorie. Ils pratiquent aussi beaucoup de sports.

L'humanité a perduré grâce à sa soumission, elle s'est soumise à la nature. Ce n'est plus l'homme le plus grand prédateur, l'homme est beaucoup plus bas dans la chaîne alimentaire. Le plus grand prédateur est le drogos, un animal pesant près de 6 tonnes à l'âge adulte, d'une envergure de 16m les ailes déployées. C'est un carnivore avec un corps robuste, 4 ailes puissantes et une gueule pouvant avaler un homme sans le croquer. Il s'attaque pourtant rarement aux hommes, de trop petites proies pour lui. Il préfère des animaux tel que les loups géant pouvant mesurer plus de 4m ou le tigres royal qui fait la même taille que le drogos mais sans les ailes.
Beaucoup d'espèces ont disparu lors de la nouvelle ère, ou alors elles se ressemblent mais en bien plus imposantes. Toutes les espèces domestiques se sont éteintes. L'être humain ne cultive plus la terre et n'élève plus de bétail non plus, il se nourrit d'une boisson contenant tous les ingrédients nécessaires à la vie.

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Un soir d'été, en haut de la falaise Haji, Cali et son grand frère Théo, observent les trois lunes se lever et prendre la place du soleil. Ils ont pour habitude de venir ici faire un vœux, chaque jour, pour que leur mère se rétablisse. Elle est atteinte de l'inada, c'est une maladie de plus en plus répandu et qui cause de plus en plus de mort, les symptômes sont : une pâleur extrême, le bout des doigts qui noircissent, des vomissements et augmentation anormale du pouls.
Ce soir la, sous la chaleur intense ils ont assisté à une pluie d'étoile. C'était magnifique des milliers de lumières parcourant le ciel, les deux enfants étaient obnubilé par cette beauté. Lorsque le soleil disparu complètement un écran pourpre traversa le ciel. Théo se relève et prend sa sœur sur son dos, ils marchent jusqu'à chez eux quand ils entendirent des cris au loin, ça venait de la ville, Théo se mit à courir tandis que Cali le tenait fermement.
Ils arrivèrent chez eux, leur voisin Claude tente de leur empêcher d'entrer mais Théo le pousse et pénètre dans le salon, où il vois leur mère, étalée, entre le sol et le canapé. Elle avait succombé à cette maladie et leur père, s'était suicidé, suite au décès de sa mort en s'égorgeant, à l'aide d'un couteau de cuisine. Il est là étendu, gisant au sol. Il tient la main de sa femme, de la mère de ses enfants, maintenant orphelins.
Cette vision d'horreur fit crier Cali, elle se décroche de son frère et tente de rejoindre ses parents mais leurs voisins l'en empêche et la sort de la pièce. Théo reste statique devant la scène, il n'a aucune réaction, il ne comprend pas, pourquoi ?
Les autres sortent de la pièce pour le laisser se recueillir, avant d'embarquer les corps. Une larme dévale sa joue, il se met à crier, crier plus fort qu'il ne l'ai jamais fait. De rage, de peur, de tristesse.
Il tombe à genoux et tient sa tête dans ses mains.
Il pleur, toujours plus.

Quand il se calme et relève la tête il vois une fille debout à côté de ses parents. Elle a de longs cheveux noirs et porte une robe qui se prend au vent. Elle se retourne et le regarde dans les yeux, ses iris sont rouges sang. Théo est comme paralysé devant elle, une telle beauté, mélangée avec quelque chose de si effrayant.
- Qui es-tu ? lui demande-t-il
- Je ne suis personne, dit-elle en sautant par la fenêtre et disparaissant dans la nuit.