*16*

145 22 0
                                    

Debout près de la fenêtre de ce qui ne sera plus jamais son bureau,Caroline laissa son regard érrer la rue sans même la voir.Elle éssayait de se rappeler de son rencontre avec son défunt patron.

**********Flashback************

《Le temps était nuageux,il allait sans doute pleuvoir.Caroline commençait à perdre espoir de pouvoir trouver une voiture,Kervens à côté d'elle piaffait d'un pied à un autre.

-Maman,Maman mes pieds,Ils me font mal.
Ses pieds à elle aussi la faissait mal Néanmoins elle le prit dans ses bras, la main d'une mère est toujours prête à relever son enfant.Une mère se doit d'être la force dans la fragilité de son enfant, sa sécurité dans le doute, son épée et son bouclier car il n'a pas choisi d'être un enfant, mais elle avait choisi d'être une maman.Kervens semblait se relaxer dans les bras de sa mère.Un bus vint se poser dans la station et fût aussitôt remplit avant même que Caroline n'ait  le temps d'y approcher.Et vu le nombre de gens qui attendait à côté d'elle,C'est sûr que sa chance de monter à bord avec Kervens dans les bras est très minime.Dejà plus de 30 minutes depuis que seulement 2 bus on visité les lieux,Caroline se maudit d'avoir apporté avec elle Kervens mais bon ce matin elle n'avait pas le temps de réfléchir le petit ne voulait pas rester seul à la maison et elle devait être à l'Heure à son rendez vous pour savoir si elle avait été employé ou non dans ce boulot qui était son seul espoir mais bon on l'avait pas employé .Dire qu'elle s'est donné tant de mal pour venir décrocher ce refus.
La pluie commença à tomber elle dût mettre le petit à terre pour trouver un endroit où s'abriter.Elle regarda la montre attaché à son poignée:5h45.Balayant la rue de ses yeux éffrayés,Elle vit une voiture de luxe passé son instinct lui dit de l'arrêter.Elle obéït sans s'attendre à ce que le conducteur s'arrête,Mais étrangement celui ci s'arrêta à sa hauteur,La portière s'ouvrit sur un homme agé d'une quarentaine d'année:

-Montez lui dit celui-ci.

Elle prit place dans la banquette arrière sérrant son plus grand trésor dans ses bras:Son fils.
Kervens S'exprima le premier tout en tremblant,Il murmurra:

-Merci monsieur.

Caroline s'apperçoit alors qu'elle n'avait pas penser à remercier son bon samaritain Car  rare sont les conducteurs s'arrêtent pour prendre des inconnus dans leur voiture d'ailleurs on ne peut les en vouloir vu l'insécurité grandissant régnant.

Elle sourit puis articula en claquant les dents:

-Merci beaucoup monsieur.

-Ne vous inquiétez pas.J'ai juste agis en tant que citoyen.

-Vraiment Merci.

L'inconnu lui sourit puis demanda dans un accent fort distingué:

-Vous vous rendez où?

-Thomassin 30.

-Vous avez de la chance.j'habite à Thomassin  32 je pourrais vous déposez sans trop de mal.

Caroline ne dit rien elle était occupé à ranger dans son sac son curriculum Vitae.

-À la recherche d'un travail?questionne l'inconnu ayant à travers le rétroviseur remarquer le dossier.

-Oui,mais j'ai pas décroché celui-Ci.

-Hmm.Vous avez fait des études?

-Oui,J'ai étudié la Comptabilité à FUFHAPH.

-La Fondation de l'Unité de la Famille Haïtienne pour la Paix en Haïti.J'ai toujours eu un faible pour la formation qu'on offre aux Jeunes là-Bas.

-Je valide.Vraiment c'est du bon travail.

Caroline n'avait pas vu le temps passé Trop occupé à discuter sujet divers rôdant autour de cet Organisation réputé qu'était la FUFHAPH,Ils aidaient les jeunes démunis,Créaient pour eux des écoles subvenant aussi à leurs besoin primaires.Ils étaient déjà à Thomassin 30.La  voiture s'arrêta exactement devant le carrefour.

-Merci monsieur!Merci beaucoup!dit-elle avant d'ouvrir la porte et sortir.

-Attendez!

-Oui dit elle se retournant vers son interlocuteur.

-Votre recherche d'emploi ça tient toujours?

-Oui Monsieur.

-Tenez dit il en lui tendant une petite carte.Vous avez ici le numéro de ma sécretaire et l'adresse de mon entreprise.Demain 7 heures je vous attends.

-Oh merci monsieur

-Surtout vous inquiétez pas,Soyez à l'heure.

Caroline fût tellement heureuse qu'elle resta clouée sous la pluie.

-M'man rentrons dit Kervens au bord de larmes.
Elle se reprit à temps prit les mains de son fils et ils se rendirent à la maison....》

Pourquoi lui?Il n'avait que 61 ans.Il avait encore la vie devant lui.
La porte s'ouvrit brusquement et elle se surprit entrain de pleurer d'un geste vif elle essuya ses yeux de sa main.Puis se retourna en direction de la porte,La porte s'ouvrit sur Un jeune homme agée d'Une vingtaine d'années au traits durcis mais fort attirant.

-Vous pleurez votre amant,Oh la pauvre dit-il dans ses dents.

Elle se tourna vers celui qui  visiblement était L'héritier des lieux,C'était Georgie pensat-elle,Elle ne l'avait rencontré que 2 ou 3 fois.Il vivait pratiquement sa vie dans les avions, voyagent par ci par là.Son père se plaignait souvent de son manque de Labeur.

-Mon père avait du goût dit il en se laissant tomber sur une chaise.vous êtes d'une beauté.Extraordinaire moi qui m'attendais à retrouver ici une de ses anciennes maitresses maigrichonnes.Vous êtes bien le top des top.

Caroline les yeux braqués sur lui ne dit rien le mot Haïtien résumant tout ce qu'elle avait à dire n'était pas approprié au lieu .Elle se sentait pas d'Humeur bagarreuse aujourd'Hui.

-Et en plus du carractère....réctifiat il guettant une réaction de sa part.

Caroline ne scilla pas, elle avait d'ailleurs l'habitude de cotôyer la mère et croyez moi.Elle est bien  pire que son fils.

La porte s'ouvrit à nouveau sur la sécretaire qui déclara:

-Monsieur Georgio,Votre mère Vous demande à l'appareil.

-J'arrive dit il en sortant avec élégance.

Caroline le regarda un moment remarquant pour la première fois combien Georges ètait différent de sa famille.Il était visiblement le seul inconnu parmis eux à ce moment précis Caroline se rendit compte que plus jamais l'entreprise ne sera la même le futur héritier n'avait  ni  la sagesse,ni la diplomatie, ni l'élégance de son père...Il était arrogant

Caroline prit son sac ainsi que ses quelques dossiers demain après le funérail ,Elle viendrait prendre tout ses affaires.

*********************************

-Grand-père,Grand-Père.

-Ma Nymphe.

-Je t'ai apporté un cadeau.

-Ah oui?

-Oui ferme les yeux!Je vais te montrer!

Le viel homme assied souriait Kettly  passa dèrrière lui et plaça ses doigts sur ses yeux,Ouvrit les Mains avant de libérer les yeux du Viel homme,Y avait dedans Un petit collier fait de coquillage.Le viel homme rit, ouvrit ses mains tremblantes vers  Celles de la petite.

-Attends grand-Père,Je vais te l'attacher dit elle en montant sur les pieds flapi et Flasque du viel homme.

-Tu vois? Ça te va à merveille! s'exclamat-elle.

Le viel homme ne pût que pleurer de joie face à la gentillesse de sa petite fille.La gentillesse devrait être perçu comme la qualité primordiale  de l'être humain. C'est comme une douce pluie qui mouille tout. La gentillesse ne juge pas, n'exclut pas. Elle va droit au coeur. Il nous permet de grandir, d'avoir confiance en soi et dans les autres. Elle console, elle guérit. Elle rend doux, ouvre l'esprit, même quand ça va mal et qu'on est triste .....
Le viel homme rejoint ses doigts au collier attaché à son cou,Fermant les yeux savourant ce plaisir,Se laissant guider par son cœur.

Union[En Réecriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant