Union[En Réecriture]

*24*✅

L'alarme sonna Caroline se leva du coup et se dirigea vers la douche pour chauffer l'eau avant de revenir choisir sa tenue.Suite au petit déjeuner elle se rendit à l'école de Kervens puis au bureau où arrivé elle fît le total de l'économat et l'achat des livres puis rédigea un chèque global.Elle aurait se dit-elle beaucoup trop à faire dans les jours à venir pour y ajouter les soucis de paiement.Par la suite elle reçoit ses jeunes candidats,Employa ceux que Stanley et elle avaient choisit la veille.Une fois ce problème régler elle se dirigea dans les lieux de fabrication du Rhum Antonie,Elle fît la vérification du travail qui s'y faisait Tout roulait à merveille.Elle consulta sa montre, il était 13 heures.Donc,elle se rendit à l'école de musique,chercher Kervens pour l'emmener acheter des fournitures Scolaires.

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Isabella se leva ce matin avec une terrible migraine,Elle passa la matinée dans son grand lit.Elle ne voulait pas y ajouter les regards curieux de sa famille à son mal.

Toc Toc on frappa à sa porte.

-Vous pouvez rentrer.

-Vos parents sont partis Isabella,Sortez respirer un peu d'air le soleil est doux dehors.

Isabella s'étira pareusseusement du lit,Sourit à celle qu'Elle considérait comme une mère qui avait toujours été là pour elle depuis sa tendre enfance;Kathie.
Kathie est gouvernante de cette maison depuis 22 ans.Elle a été employé pour s'occuper principalement du bébé Isabella qui n'en faisait qu'à sa tête tant elle était pleurnicheuse à l'époque.

-D'accord,Je vais me doucher.

Comme promis,malgré sa fatigue un peu étrange elle sortit du lit et alla se doucher,Choisit un ensemble simple et sombre comme son état d'âme et son tel en main déscendit dans la grande cour.Elle prit place sur un banc sous un abricotier.Tout en essayant d'appeler Georgio pour la 30ème fois sans réponse .Appuyé contre le banc,ses cheveux libres au vent doux et chatouilleux.Elle pensait à leur rencontre.Elle avait tout juste 16 ans,Elle avait été invité à une fête chez l'une de ces amies:Berlinda qui aujourd'hui vit à l'étranger.La fille coincée qu'elle était ne buvait ni ne fumait,d'ailleurs elle était Stréssée de savoir ce qu'elle était venu donner ce soir.Elle parcourait la salle nerveusement en quête de celui en qui elle pouvait avoir confiance.Après avoir regarder la salle elle decida de ne plus donner sa virginité pas à ces mecs là qu'elle avait devant elle.Alors, à ces risques et perils elle choisit de faire le chemin de Pétion-Ville à chez elle à pied.Elle tremblait sous le froid quand soudain un groupe de trois homme l'appela elle tourna les yeux éffrayés partout au tour d'elle et constata qu'elle était seule dans la rue.Elle ne put donc rien faire.Elle resta planté là où elle était les voyant s'approcher d'elle.
L'un deux dit qu'elle était une belle petite《Grimèl》L'autre répondit qu'Il fallait pas rater l'occasion,que cela faisait déjà quelques jours qu'il ne s'était pas vidé.L'autre qui paraissait le plus censé dit qu'il fallait pas se vider en elle.Elle suivait la scène,On parlait d'elle comme si elle n'avait pas été présente.Il dit avoir des préservatifs mais qu'Il fallait bien qu'il se sert le premier.Elle tremblait elle voulut s'enfuir mais on la retenait,Elle voulut crier mais aucun cris n'en sortit elle était térorisé de ce que ce soir lui réservait.Celui qui devait être le premier s'approchait d'elle quand soudain Une voiture vint se placer non loin.

Quelqu'un intervint:

-Hé les mecs faut pas la faire ça ici.

-On le fait ou?

-On le fait dans ma voiture.

L'Un rigola puis dit:

-Je te conseille de partir si tu veux pas qu'On te le fasse à toi aussi.

-On fait un juste pari je vous donne ma Voiture Et c'est moi qui passe avant ensuite vous à tour de rôle.Et les mecs on la laisse là on file boire une bierre.

-D'accord alors déscends à terre,Intervint un.

Il obéït puis dit:
-Vous me l'envoyez,Ensuite quand j'aurais finis, je vous la passe.

L'Un avançait vers lui avec Isabella et les autres attendaient.Une fois à la hauteur de Georgie,Georgie ramassa une pierre de loin la cogna contre la tête de celui qui la retenait.Puis l'ordonna de rentrer il n'avait rien à craindre une fois rentrer il prit place dèrrière le volant et démarra la voiture tout en regardant les autres courir dèrrière sa voiture,Il éclata de rire.Isabelle,encore sous le choc eut du mal à retrouver son bon sens.Quand,Georgio s'arrêta enfin Isabella couvrit ses yeux de ses mains et pleura.Elle avait honte d'elle.Il était passé en arrière sur la banquette où elle était assise,l'avait tenu dans ses bras lui disant de se calmer avec des mots doux.Blottit dans ses bras,elle finit par se taire.Lentement ,Il prit sa bouche dans la sienne et ils s'embrassèrent,Elle se laissa aller finit par se calmer dans ses bras et avait choisi d'y rester pour toujours.Elle ouvrit brusquement les yeux faisant face à ce qu'est devenu leur relation.Toujours aucun message elle se leva et se dirigea à l'Intérieur et y trouva son meilleur ami:Oliver.Elle courut dans ses bras il l'accueillit en souriant,qu'Il était beau il portait un tailleur Noir magnifiquement entretenu,Il était le fils chéri de des parents d'Isabella.Amis dès sa tendre enfance leurs parents faisaient tout pour qu'Ils soient liés.Dès son adolescense sa mère lui demandait ce qu'elle pensait d'Oliver,On s'arrangeait souvent pour qu'Ils soient ensemble.En somme elle savait qu'Un jour,Elle aurait été la femme d'Oliver si Georgio n'éxistait pas.

Oliver et elle discutèrent de tout et de rien commémorant divers souvenir d'enfance vraiment,les souvenirs il n'en manquait pas ils se connaissaient depuis le berceau.D'ailleurs la mère d'Oliver était la meilleure amie de la sienne.Nul besoin de vous dire comment la situation s'avérait difficile et émouvante.Après,ils jouèrent à PSP comme d'habitude il la laissait gagner.Lase, elle se laissa tomber dans ses bras.Sa mère elle venait tout juste de pénétrer le salon nul besoin de vous dire comme ce tableau la plût on aurait dire qu'Elle admirrait le tableau le plus chers de Léonard de Vinci,tant son sourire était ravissant.
Son complice et elle échangèrent un regard,Ils éclatèrent de rire ne faisant que rendre le tableau plus magnifique.