Je vais lui dédié le II.
Alors parlons de lui.
Lui.
Lui n'est pas important en sois.
Mais ce qu'il me fait ressentir oui.
C'est n'est pas la personne, ni les mots, ni bien même la forme, c'est le coeur.
La passion amoureuse.
L'âge des première fois.
Le premier amour.
Le seul vrai amour.
C'est plus grand que la première cuite, plus douloureux que le premier réveil d'une cuite.
Et surtout c'est inoubliable.
J'aurais dut le voir venir.
Ce qu'on oublie pas, c'est ce qui blesse.
Je comprends pourquoi même cinquante ans après les images reste net.
Ça passe pas.
Ça reste là.
C'est bien plus que des sentiments, partagé ou non, c'est le premier vrai contact avec la réalité.
Notre première vrai déception.
La vie n'est pas un compte de fée et ça on l'apprend vraiment une fois avoir eu le coeur émietter.
Ça fait mal.
Dire que ça fait mal n'est pas pas assez.
Ça fait vraiment mal.
J'écris ça avec la douleur, alors comprenez le..
Ça fait mal.
Mais ça fait du bien aussi.
Alors je continue car ça fait du bien de ressentir cette douleur.
Je continue, car je ne sais plus faire autrement.
Je suis dans un cul de sac, pas moyen d'avancer, arriver trop loin pour reculé.
Y a un mur, j'essaie d'escalader.
Mais plus j'avance, plus il grandis.
Je persévère et tout se met en place pour que je tombe.
Parfois j'ai tellement mal que je peux plus avancer, alors je reste sur place pendant des heures, non des jours.
Je reste sur place, je bouge pas, et je me laisse transpercé par la douleur.
Y a l'envie d'abandonner qui nourris juste plus ma détermination à continuer.
L'aimer a rendue ma vision du monde paradoxal.
C'est bien, mais ça l'est pas.
Je ne savais pas que je pouvais me montrer aussi borner.
Je savais pas que je pouvais autant piétiner ma fierté, faire passé quelqu'un avant ma personne égoïste.
Je savais pas que je pouvais moi aussi ressentir ça.
L'amour ça arrive qu'aux autres.
J'en parlais mais de façon vague, de loin, je m'y aventurait pas trop.
Je savais pas c'était quoi mais j'en possédait une conception toute faite.
Je savais que ça tuais mais moi j'étais toujours en vie.
C'était comme une maladie que je découvrait.
Qui aurait cru que pour comprendre toute mes analyses j'aurais dût être contaminé.
Mais j'ai pas eu assez de temps, mes recherches sont pas fini et l'antidote loin d'être prête.
Alors je fais quoi ?
Cette question, je crois qu'elle ne quitte plus ma tête depuis 4 mois.
Je fais quoi ?
Y a rien a faire mais même ne rien faire c'est faire quelques chose.
Et si je dois faire quelques choses autant que ça aient des résultats.
Alors je fais quoi à part rien ?
Je fais quoi à part patienté ?
Je fais quoi à part lui dédier des mots.
Ça me rend malade cette impuissance.
Ça bouffe.
Ça tue.
Je meurs.
Je meurs d'amour.
N'est ce pas la plus belle manière de s'éteindre ?
Mourir d'amour.
C'est beau, c'est vrai, ça à quelques chose de joliment morbide.
Mourir d'amour.
Puis vous savez, le silence brûle bien plus que les mots.
Je crie, je me déchaîne et le silence me répond.
Trop fortement.
Que puis je lui répondre ?
Je ne veux pas ne rien faire mais que faire quand il n'y a plus rien à faire ?
Ça m'amuse de voir tout ses gens se plaindre de l'amour.
Je ne m'en plaint pas.
Au contraire, je voulais aimer de toute les manière possible.
Et l'amour fait mal, alors je veux avoir mal d'amour.
Je veux ressentir mon coeur qui se serre, ma poitrine qui se soulève, mon corps qui tremble.
Pouvoir dire un jour, j'ai aimer pour de vrai.
J'ai aimé aimer, j'ai aimé souffrir.
Je l'ai aimé en m'en faire mal.
À aimé m'en faire mal.
Si tu veux un chose, désire là sous toute ses formes, ne prend pas que celles qui te plaisent et ne rejette pas celles qui te blesse.
On se crache dessus, sur quelques défaut qui dérange quand les qualités se font absente.
Comment donc en vouloir à L'Homme.
Il ne s'accepte lui même pas, comment donc accepté des choses qui le dépassent ?
Ça nous dépassent.
C'est trop pour nous.
Alors on préfère ne plus aimer, on stimule.
Puis on dit que ça blesse.
Ça blesse d'essayer de jouer ce qui est bien trop loin de sois.
Une fois blesser par cet amour surfait, on se ferme, on se bloque et on l'emboite.
L'amour fait mal.
C'est comme ça qu'il devient mal.
Ensuite on se méfie et on n'arrive plus à aimer, convaincu que ce qu'on avais vécu jadis se reproduira.
Convaincu qu'on aime que d'une seule manière et qu'une seule fois.
La vérité est là, peu de gens aime.
Peu de gens savent aimer.
Le reste n'est que paillettes et artifices.
On bâtit mondes et merveilles puis on détruit le monde émerveillé.
On nous dis que ça passe, que y a pire.
Pourquoi me parlé de pire quand y a moi.
Y a pire mais y a moi.
Y a moi et ça me suffis comme ça.
Laisser moi me morfondre sur ma propre peine.
J'ai pas les larmes pour pleurer le pire.
J'ai même plus assez de larmes pour me pleurer moi.
Mais j'ai assez de rage pour envié le meilleur.
Le meilleur qui est toujours trop loin.
Nos coeur sont trop noir.
Aimer les nettoie.
Je ne suis peut être pas contaminé.
Et si les malades était ceux qui n'aiment pas.
L'amour serais donc l'antidote à nos âmes perdue.
Se faire soigner fait mal.
Alors laisser moi avoir mal, laissé moi me morfondre sur mon mal, laissé moi écrire des textes illogiques qui n'ont ni début ni fin.
Ne me lisez pas, je ne me lis pas.
Je me vis.
Alors vivez moi au gré de mes envies.----------------
Jour 2.
Le patient semble pris d'une lueur folle.
Il se croit tout savoir.
Tout ce qu'il dit est faux.
Les seules vrai paroles sont les miennes.
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Autopsia
RandomÇa manque de spectaculaire. C'est fade. C'est moyennement correct.. Comment dire ça.. Ah oui, c'est banal. Ne vous méprenez pas, ici vous ne trouverez rien de bien à vous mettre sous la dent.. À tout ses gens qui veulent pas être eux même.