Chapitre I

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Il est 9h02 et je suis encore entrain de sécher les cours. Ma maman ne le sait probablement pas encore mais cela ne vas pas tarder quand l'école va encore envoyer leur fiche d'absence pourri à la maison ou leurs SMS. J'y croix pas, à quoi sa sert l'école ? Non franchement. Tout est nul là bas que sa soit les gens, la nourriture et le planning. Moi j'appelle ça l'invention du diable. Encore une journée à se fourrer devant Netflix avec des chips, ou toutes ces cochonneries possible.
Il est 14h48 quand je reçois un appel masqué:
- Allô
- t'es qu'une pute, disent-ils, puis des " ha ha ha "
- d'accord mais encore ?
- va te suicider vieille meuf.
Et, raccrochèrent. Je commençais à avoir l'habitude. Pourquoi m'insultaient-ils ? Moi-même je ne le savais pas, pourtant d'après eux, j'aurai fais des choses dont même moi ne sachant pas quoi. C'est quand même dingue, vous restez discrète, seule à la pause de 10h00, 12h00, mais les gens arrivent quand même à t'inventer une vie. Bien-sur qu'ils gagnent, cela me blesse énormément... je n'ai que ma famille. Mais leur expliquer tout cela serait compliquer. Alors je décide d'essayer de penser à autre chose puis je repris ma série. Que le temps passe vite lorsque l'on est sur nos écrans, épisodes après épisodes. Heures après heures, mes parents ne vont pas tarder. Il est déjà 19h21 il rentre dans pas moins de 5 minutes. J'éteigna la télé, ranga les paquets de mal bouffes puis monta de ma chambre l'aire de rien.
- Alexia ?
C'est ma mère qui m'appelle, je ne réponds pas car je n'en ai pas envie.
- Alexia, je sais que tu es la haut descend!
Elle a l'aire fâché, mauvais signe.
- J'arrive. Répondis-je.
Je descends les marches, ma mère me fixa d'un aire très méchant, comme si ses yeux allaient sortir de sa tête pour m'arracher les miens. Voyez-vous quel regard c'est maintenant ?
- J'ai reçu un message de la scolarité.
Wow, sans blague ? Je mis attendais pas...
- Si tu n'arrêtes pas de sécher, nous t'emmènerons dans un foyer, quelqu'un part loin de chez nous.
Dois-je vraiment le prendre au sérieux ? Et même, bon débarras.
Je regardais ma mère avec des yeux qui contenait du dégoût. Si seulement elle savait ce qui se passait à mon collège... vous savez, ce n'est pas si simple de parler de ces harcèlements...
Je monta dans ma chambre, claqua la porte derrière moi, la ferma à clef, me mis sous ma couette, ordinateur à la main, puis Netflix toute la nuit.
Je ne vous dis pas la galère que c'est pour enlever sa couette et prendre une bonne respiration. Car oui, dans la couette on manque d'aire et il fait chaud, très chaud !

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