À ma grande tristesse, j'ai appris, ce matin en me levant, une mauvaise nouvelle de la part d'IrinaJedusor. Je préférerais ne pas en dire plus, vous irez voir dans son RantBook pour plus d'informations.
Je lui dédie cette histoire car elle était mal...
Tout à coup, le carrosse s'arrêta net. Tu sortis de tes pensées et te relevas. Kouha s'empressa de t'arrêter.
- (T/P)! Attendez!
- Qui a-t-il?
- Je veux vous accompagner.
Tu souris et lui tendis la main.
- Alors suivez-moi!
Tu courus hors du carrosse en tirant derrière toi le jeune prince qui arrivait à peine à suivre ta vitesse.
- Du calme, mademoiselle! Vous êtes trop rapide!
Tu ralentis et lui jetas un coup d'œil.
- Comme vous voudrez, votre majesté.
- Je vous en prie, appelez-moi Kouha.
- Alors appelez-moi par mon prénom aussi.
Tu décidas d'arrêter de courir pour permettre à ton compagnon de suivre ton rythme. Vous vous dirigeâtes vers la porte du palais et entrèrent ensemble. En se promenant dans un long couloir, vous croisâtes un autre jeune homme qui avait des cheveux noirs liés en tresse. Il te fixait d'un œil mauvais avec ses deux yeux rouges.
- Tu peux pas t'empêcher de remmener toutes les filles que tu croises dans la forêt. En plus, tu la traites déjà comme ta petite amie.
Tu écarquillas les yeux et remarquas que tu tenais toujours la main du prince, qui ne semblait pas vouloir la lâcher pour autant.
- C'est bon, pousse-toi Judal. C'est pas de tes affaires de toutes façons alors laisse-moi donc emmener qui je veux ici.
Le dénommé Judal continuait de te dévisager.
- Bah. Fait comme tu veux. Je m'en fiche royalement.
Puis, il s'éloigna pour entrer dans une autre pièce. Lorsque vous fûtes seuls, Kouha te rassura:
- Ne vous occupez pas de lui. Il agit comme un imbecile parfois. Il n'est pas aussi méchant normalement.
Tu hochas la tête.
- D'accord, si vous le dites...
Il sourit et vous poursuivîtes votre route. Le garçon t'emmena dans une bibliothèque incroyablement remplie. Il y avait aussi des tables pour s'installer et lire. Tu mourrais d'envie de passer le reste de la journée dans cette pièce. En effet, la lecture était l'une de tes plus grandes passions. Comme tu adorais explorer de nouveaux endroits, tu adorais faire voyager ton esprit au travers d'histoires incroyables. Tu passas ta main sur l'une des tables en bois. Kouha te regardait faire.
- Je vous ai emmenée ici pour vous présenter mon frère qui est aussi l'empereur de Kō, mais il est en rencontre en ce moment avec une de mes belles sœurs. J'ignore dans combien de temps il aura fini alors vous pouvez lire un de ces livres en attendant si vous le désirez.
Tu rougis.
- V-Vraiment?!
- Oui.
Tu lui fis un grand sourire, te dirigeas vers lui et le serras dans tes bras. C'est alors que tu entendis une voix derrière toi.
- N'aurait-elle pas appris comment se comporter en présence d'un prince?
Tu te retournas. Devant vous se trouvait un homme qui te regardait sur un ton impassible. Il semblait vouloir jouer les durs, mais ses taches de rousseur le rendaient beaucoup trop adorable. Ton prince te caressa les cheveux. Il s'interposa entre l'inconnu et toi.
- Komei...C'est bon, ça ne me dérange pas.
- À quoi pensais-tu en apportant une civile ici. J'imagine que tu la trouves magnifique parce qu'elle est assez jolie, mais tu ne peux pas te permettre de rapporter n'importe qui dans le palais.
Kouha roula les yeux.
- Judal m'en a glissé un mot aussi.
- Et tu devrais l'écouter.
Le jeune homme soupira. Il allait rétorquer lorsque une porte dont tu ignorais l'existence s'ouvrit derrière toi. Tu te retournas et aperçus deux personnes, un homme et une femme, dans le cadre de porte. Ton compagnon dit aussitôt:
- Kouen. Hakuei.
L'homme s'avança.
- Kouha. Komei. Pouvez-vous m'expliquer pourquoi vous faites autant de bruit? Hakuei et moi voulons discuter.
Ton petit prince répondit:
- J'ai emmenée cette charmante jeune fille pour lui offrir la plus belle soirée de sa vie!
Son interlocuteur soupira.
- Je n'ai pas besoin que tu me racontes ce que tu vas faire avec elle.
- Ça te dérange si elle reste quelques jours? Je vais m'en occuper, ne t'inquiète pas.
Kouen réfléchit un instant.
- Je te laisse la garder quelques jours, mais elle est sous ta responsabilité. Si elle fait quelconque bêtise, ça va te retomber dessus.
- Oui, oui.
Puis, les trois étrangers quittèrent la bibliothèque, vous laissant seuls. Kouha se tourna vers toi et plongea son regard dans le tien. Il mit sa main derrière ta tête et passa ses doigts dans tes cheveux. Il posa l'autre sur ta hanche et te colla contre lui. Il murmura à ton oreille:
- J'ai un petit truc à te montrer.
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