À ma grande tristesse, j'ai appris, ce matin en me levant, une mauvaise nouvelle de la part d'IrinaJedusor. Je préférerais ne pas en dire plus, vous irez voir dans son RantBook pour plus d'informations.
Je lui dédie cette histoire car elle était mal...
Tu étais maintenant couchée sur le ventre avec ton prétendant sur le bord d'un ravin peu profond. Vous regardiez tout deux au loin. Un magnifique couché de soleil s'offrait à vous. Tu n'avais jamais vu un paysage aussi beau.
Le soleil se couchait entre deux montagnes qui semblaient presque noires à cause du manque de clarté. La lumière créait un fondu parfait dans le ciel, passant du jaune au violet. Tu voyais plusieurs tons de rouges et de roses différents. Tu aurais voulu rester là pendant des heures, même si une telle beauté n'est qu'éphémère.
Tout à coup, Kouha se redressa sur ses coudes. Il se rapprocha. Ses hanches étaient maintenant collées aux tiennes. Tu rougis et hocha la tête. Il passa son bras par dessus toi et vint placer sa main sur le côté de ta cuisse. Il remonta et saisit ton bassin.
Il te retourna sur le dos et te plaqua au sol. Il souriait. Il paraissait profiter du moment. Il se pencha vers ton visage et t'embrassa. Puis, il descendit dans ton cou. Tu devins écarlate. Tu étais très gênée et refusais d'aller plus loin.
- Kouha...je vous en prie! Arrêtez!
- Mais voyons, (T/P). Je ne mords pas...enfin pas trop fort.
Tu te débattus et parvins à le pousser à côté de toi. Il se cogna la tête au sol et se massa la zone endolorie. Il ne semblait plus du tout heureux, mais plutôt en colère.
- (T/P)...pourquoi...
- Je suis désolée, Kouha, mais je ne peux pas. Je ne suis pas prête à faire ce genre de chose avec vous...
Il te dévisagea.
- Vous ne m'aimez pas?
- Bien sûr que oui, mais cela va trop vite pour moi.
- Je vois.
Il se leva et repartit. Il gardait le dos tourné sans jamais regarder dans ta direction à nouveau. Il retourna au palais, te laissant seule.
Tu l'aimais beaucoup, effectivement, mais tu ne l'aimais peut-être pas autant qu'il le croyait, enfin pas encore. Il voulait te rendre heureuse mais visiblement, ça n'avait pas marché et il en était très déçu.
Tu te relevas aussi et te dirigeas vers le palais à ton tour. C'était sans doute une mauvaise idée puisqu'il devait être furieux, mais tu ne pouvais pas te rendre à ton village. Il était beaucoup trop loin et il faisait presque nuit.
En pénétrant le palais, tu demandas à une bonne où tu allais dormir. Elle t'indiqua une chambre aménagée à ton attention. Tu allas vers le lit, te couchas sous les couvertures et fermas les yeux.
Cette nuit là, tu repensas à ce qui c'était passé plus tôt. S'il avait réagi comme ça, s'il s'était fâché à ce point, ne serait-ce pas de ta faute? Aurais-tu dû le laisser faire? Aurais-tu dû faire ce qu'il désirait? Tu sentis une larme couler sur ta joue et une douleur à ta poitrine juste avant de t'endormir. Était-ce ce sentiment merveilleux que l'on appelle...l'amour?
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