Foutu carnet noir, tu renfermes toutes mes hontes, toutes mes peur, tout mes mensonges...
Tu es comme moi, un air si innocent sans aucun problème, mais quand on regarde à l'intérieur on a qu'une envie c'est de fuir.
Je t'utilisais pour me défouler.
Je te détestais mais t'aimais tellement à la fois, une fois je me suis même surprise à te parler.
Je l'avoue, quand j'écrivais mon anxiété partait. Alors j'ai écris encore et encore, c'était devenu plus qu'une passion. Quand je n'avais plus d'inspiration je me mettais à pleurer car mon inutilité revenait.
J'ai commencé à écouter les paroles des chansons et non leurs mélodies. Je m'imaginais que le chanteur ou la chanteuse avait écrit ces paroles pour moi.
Je devenais folle.