Chapitre 2-2

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Chapitre 2-2:

Un mois plus tard, il est environ 19h, nous sommes accompagné de trois personnes que nous avions rencontre deux semaines après le début de ce chaos...le premier est un homme d'une trentaine d'années du nom de Jean, habillé comme l'un de ces gars bossant dans des bureau, pour tout avouer je n'avais jamais vue une personne aussi peureux et trouillard, même Aeris est plus courageuse que lui, quand le danger survient, il est le meilleur pour ce qu'il s'agit de fuir, ce qui, je le reconnais, nous a pas mal sauver la vie quand il nous trouvait des bonnes planques, par-contre ne jamais lui laisser d'arme, se con serait capable de descendre l'un de nous par erreur...ensuite il y a cette jeune femme d'une vingtaine d'année du nom de Marion, elle n'est pas très grande en ce qui concerne la taille mais je n'ai pas grand chose en particulier à dire a sont sujet a part le fait qu'elle sait ce défendre et n'as pas peur de mourir, j'ai également remarquer qu'elle s'entendait bien avec Aeris, ce qui est une bonne chose, je sais que je peux la laisser entre de bonnes mains en cas de besoin...pour ce qui est de la dernière personne, il s'agit d'un vieil homme d'une soixantaine d'années se faisant appelé Bob, plutôt gros et lent mais super utile pour ralentir les infectés, une vrai machine de guerre le vieux, il te sort des cartouches de je ne sais où, le laisser couvrir les arrières est la meilleure chose à faire....de sont côté Aeris m'a l'air de s'être remise de la mort de sont frère et de sa mère, même si je vois bien qu'elle est encore triste et qu'elle voudrait que tout s'arrête rapidement, pour le moment elle n'a pas eu besoin de ce servir a nouveau de sont arme, ce qui est une bonne chose, même si je sais que sa pourrais être a nouveau le cas a tout moment, en ce qui me concerne, les griffures sur le visage m'ont laisser des cicatrices, un souvenir laisser par mon fils, pour qu'à chaque fois que je me regarderais dans un miroir, je puisse me rappeler de cette nuit d'horreur, un souvenir douloureux mais précieux, pour ce qui est des morsures au bras, a chaque fois que je retirais le bandage pour pouvoir le changer et soigner mes plaies, je me retrouvais comme paralyser tout le long du bras tandis que des sortes de décharges électrique traversait mon corps, mais tout s'arrêtait dès que les morsures étaient recouvertes, j'en ai conclut que sa se manifestait a chaque fois qu'une blessure entre en contact avec l'air libre, mais je n'en suis pas vraiment sûr, car si c'était vraiment le cas, pourquoi sa ne provoque pas la même chose avec mes plaies au visage...quoi qu'il en soit, sa fait un mal de chien.

Nous marchions au milieux d'une autoroute, pas un mot ne se fait entendre, seul nos pas résonne parmi se silence, ce qui est étrange c'est que nous n'avons pas croiser le moindre infectés sur les routes, les seuls moments où nous sommes tomber sur eux, ce sont dans les différents villages ou villes où nous nous sommes rendu, je suppose qu'ils protègent leur territoire et attaque tout survivants osant y pénétrer, bien entendu tout cela n'est que supposition, rien ne nous dit qu'ils ne quitterons pas les villes quand ils commenceront a être guider par la faim, si ce jour arrive, le chaos deviendra un vrai enfer, il n'y aura plus le moindre endroit sûr sur Terre...

Après une vingtaine de minutes de marche nous nous sommes arrêter a l'entrée d'une ville, j'ai fait le premier pas a l'intérieur tout en prenant mon couteau en main et en m'accroupissant derrière l'une des voitures se trouvant dans la zone, j'ai jeter un oeil au-dessus de celle-ci et j'ai aperçu deux d'entre-eux, en regardant un peu partout autours de moi, les rues étaient vide de toute vie, hormis ces deux connards et mon groupe, certains bâtiments étaient en ruine, des voitures étaient retourner, détruite ou arrêter au milieu des rues, du sang séché se trouvait un peu partout que ce soit sur les murs, le sol ou bien les véhicules...ensuite j'ai fait signe aux autres de venir vers-moi, une fois à mes côtés je me suis appuyer de dos contre le véhicule tout en restant accroupis:

- alors que fais t'on? me demande Bob

- pour commencer, avec Marion nous allons nous glisser dans le dos de ces deux-là pour les éliminer, cela nous évitera d'avoir des obstacles sur notre route au cas où nous serions amener a ressortir de ce côté-ci...de ton côté tu va nous couvrir, Jean tu garderas un oeil sur les environs

Loup de la MortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant