La décision de ma vie

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Je fus réveillé par ma mère qui frapper à ma porte. Je regarda l'heure  il était déjà 9h et je devais essayé ma robe à 10h. Mais je n'en avait aucune envie la seul idée de la voir me rappelle ce qui va bientôt ce passer.

Quand j'était petite ont me lissait des histoires de princes et de princesses ou l'amour gagne toujours. Mais les livres n'ont rien de la réalité ou les mariages arrangés ont encore le droit de se faire, ou ton prince charmant ne vient jamais te sauver sur son cheval blanc non la réalité et beaucoup plus triste que ca. Enfin c'est ce que je croyais jusqu'à ce que je rencontre Georgio. Je ressent quelque chose que je n'ai jamais encore ressenti quelque chose de fort et de puissant en moi. J'aimerer en parler avec ma mère mais elle ne comprendra pas surtout à une semaine de mon mariage.
Je mis ma tête dans mon oreiller avec un peu de chance je pourrais m'étouffer entre deux sanglots j'entendis ma mère qui frapper toujours.
Je me décida à enfin ouvrir la porte en fessant bien attention de baisser la tête pour qu'elle ne voie pas mon visage rougis par les larmes.
Quand j'eu dévérouillé ma porte, elle entra en furie dans ma chambre m'insultant de tout les noms pour l'avoir laisse aussi longtemps dehors.
-"Mais que faiser tu ne me dit pas que tu dormait encore. Je te rappelle que dans 30 min tu dois essaye pour la dernière fois ta robe".
-"Oui, je le sais" lui dis-je en la repoussant dehors."je m'habille et on pars".

Une fois rentré à l'hôtel je pris mon repas à toute vitesse, et monta dans ma chambre en prétextant un mal de tête et qu'il ne fallait surtout pas me déranger.
Une fois là haut, je mit ma plus belle robe, me coiffa et me maquilla.
Et je l'aperçu qui attendait déjà en bas. Je répèta les même gestes que hier. J'ouvri la fenêtre, passa ma jambe à travers et je sauta. Mais aujourd'hui je ne suis pas tomber sur le sol au contraire Georgio ma rattrapé dans ces bras. Et nous sommes parti main dans la main.

Après avoir était à la Tour Eiffel, visiter le Sacré Coeur et toutes les autres magnifique choses à voir dans Paris, ont à décidé d'aller un peu sur les bords de la Seine.
Nous marchions côte a côté, il avait une main sur mon dos et moi j'avais posé ma tête sur son épaule, le soleil commencé à se couché et cela faiser apparaître de magnifique reflet oranger sur l'eau, quand il m'avoua quelque chose...
-"Joy il faut que je te dise quelque chose de très important... voilà ici à Paris je n'est plus aucune famille n'y ami chez qui habite... Je... je n'est que mon frère mais il n'habite n'y a Paris n'y même en France. Mais en Norvège et je voulais te demander quelque chose je sais que tu va me prendre pour un fou mais voilà... esque tu voudrai m'accompagner ?"
-"Comment ça en Norvège, mais ce n'est pas possible j'ai ma famille et mon mariage"
-" justement la tu ne serait plus obligé de te marier et on pourrais vivre... ensemble"
-" Oui, je sais ce que m'est parents me force à faire mes ils restent mes parents et je ne pourrait pas les laisser tu comprend"
Georgio se retourna vers moi, me souri et m'embrassa gentiment sur la joue.
-" je comprend oui "
A mon tour je lui souri, prit son visage entre mes mains, et après l'avoir longuement regarder je l'embrassa. Je sentais ses lèvres sur les miennes, j'entendais sa respirations et son coeur s'accélérer. Il sentais le miels et la pêche. Je me sentais en cette instant totalement comblée,en sécurité, heureuse, et je me demandai comment j'allais pouvoir me marié avec ce baisser qui allait sûrement laisser longtemps dans ma mémoire...

Il me raconpagna jusqu'à mon hôtel ou après de multiple baisser je me dirigea vers la porte. Et c'est là que j'entendis les cris de ma mère, elle devait s'être rendu compte de ma sortie. Elle était furieuse hurlé, criaient sur tout les gens de l'hôtel j'entender mon père qui essayé de la calmer en vain. Je me décida à entre et je me retrouva nez à nez avec elle. Le fait d'être à c'est côté la rendu encore plus rouge qu'elle ne l'était déjà. Et elle me giffla d'une telle violence que j'ai cru que ma mâchoire aller casser. C'est alors que je vis derrière moi Georgio qui voulait me défendre.
Ma mère s'arrêta net et son regard passa de moi à Georgio et son sang ne fit qu'un tour, elle me dit en me crachant au visage:
-" Sale gamine, c'est pour lui que tu est sorti de ta chambre pour LUI alors que tu est fiancés. Mais tu est folle. Tu ma désobéit je ne peut même plus te regarder en face tellement tu me fait honte!"
Elle me poussa violement sur le côté et attrape Georgio pour lui aussi lui mettre une giffla qui lui fit saigner du nez.
Sans était trop je me releva pris Georgio par la main est sans un mot de plus claque la porte de l'hôtel.

Je Vous Aiment Quand Même Où les histoires vivent. Découvrez maintenant