Chapitre 7 - noname -

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Bon voilà ça fait un bout que vous voulez la suite, je m'en excuse. Toutefois, au lieu de vous faire patienter comme tel, je vais vous envoyer tous de suite la suite du roman, désoler je ne me suis pas relu, je l'avais écrit il y a un bout de cela . Cependant, j'espere que vous allez aimer.

- point de vue de Jack -

En entrant dans le manoir, je l'installai préconscieusement sur le divan en forme de "L" qui se trouvait dans le salon principal. Elle occupait une infime partit de celui-ci menu comme elle, on aurait pu facilement l'oublier. En plus, Joey lui avait apporté plusieurs couverture pour la couvrir alors en un rien de temps elle était completement rendu ensevelis sous ceux-ci après ça c'était quasi impossible de la remarquer, c'étais comme si elle n'était pas là.

Je jette un oeil à mon iphone, putain ça fessait 20 minutes que je l'avais appelé celui là et il n'était toujours pas arrivé ( le docteur). J'ai l'impression d'exploser à l'intérieur de moi-même. Je ne suis plus capable de supporter cette interminable attente qui me pourrît.

La rage remplissait son corps de puissant spasme violent. Il serrait ses jointures d'une grand férociter si il aurait eu un quelquonque objet entre ses mains, il en serrait réduit à néant. Ses énormes poings en roc pourrait en faire fuir plus d'un juste à les regarder, elle émane une telle puissance que ça donnait la chair de pouls. Dans un temps records ses poings ne fût plus de la couleur initialement basané mais blanc comme neige. Un seul faux mouvement et ce serait la goûte d'eau qui ferrait déborder le vase.

Merde, si ce connard là ne ce pointe pas bientôt elle va crever, bon sang!

- Putain je ne suis plus capable d'attendre après ce foutu médecin, moi j'me barre.

Peter regardait Jack d'un drôle d'oeil.

- Hey mec j'dit quoi si Mark viens me questionner la dessus?

- j'men bats les couilles invente quelque chose n'importe quoi lâche-je plus énerver que lasse.

Je quitte la pièce dans un coup de vent en m'assurant de bien claquer la porte. Rendu à l'extérieur je fuma une clope pour décompresser mais il me fallait plus, plus qu'une foutu clope à la con.
j'enfourcha ma moto et part faire un tour en ville.

- point de vue d'Amy -

J'attendais une voix d'homme plusieurs en faite, plus grave l'une que l'autre et toute aussi étrangère à mes souvenirs. Qui pouvait-ils être ? J'essai de les voir mais le noir percista à m'entourer de son grand voile obscure.

Elle s'en sort comment ?

- Nous avons eux bien des chances, jeune homme. Son cas étais du moins catastrophique à mon arriver. Cependant, elle a un bon métabolisme donc elle guérira très vite. Elle se stabilise tranquillement. Je repasserais dans deux jours pour vérifier son états entre temps il faudra qu'elle prenne quelques analtelgiques puis elle devras bien nettoyez ses plait et changer ses bandages. Pour l'instant un peu de repos lui serait grandement bénéfique.

Bien.

qu'est ce qui m'étais arrivée pour que mon état soit si grave ? D'ailleur je ne sais toujours pas où j'avais attérit.

**Flashback **

Aujourdh'ui, j'avais dû le supplier de mille façons pour qu'il accepte de venir chez moi ça été un dur combat mais je me suis acharné sur son cas. Il avait accepté au lieu d'aller voir cette pouffiasse.

J'étais exité pour notre soirée cinématographie, ça faisait un sacré moment qu'on ne savait pas fait de soirée ensemble.

** je fixai l'heure de mon ilico, tic tac tic tac **
19:02, 19:18, 19:45, 00:30, 1:00

Je n'y croyait pas, il m'avait poser un lapin.

Il y avait in attrouppement inexplicable devant les autobus.

les gens me poussait de tout bord et de coté. Je me sentais prit au piège durant une guerre civil , s'en étais à ne rien comprendre. Je sentis quelqu'un me toucher, non m'agripper par la main. Je me senti propulser vers l'arrière en effet, quelqu'un m'avais éloigner de la bande de gars qui s'était sauté dessus.

Je vis scoot se donner un élan pour lui envoyer un crochet de droit en plein visage au beau bastard mais celui-ci le bloqua pour lui faire une prise en mode police.

les deux garcons se frappait, j'interviens.

des garcons à capuche apparait.

Il m'on enlever.

** Fin du flashbak **

Oh merde.

Il faut que je me sorte de cette situation sinon je vais pourrir dans ce trou à rat.

- Point de vue de Jack -

Je stationne ma moto devant un vieux pieu qui est en mauvaise état, ça ressemblais à un vieux ranch. j'enlève mon casque et appuis ma bécaque sur l'appui pour enfin me diriger vers l'endroit en question. Deux grands mecs baraqués en ressort, celui de droit cache un arme dans sa ceinture du côté gauche ce qui veux dire qu'il est droitier alors il faudrait que je lui casse sa droite. Celui de gauche cachait un point américain dans sa pairs de gants, il fait de la boxe. La manière dont il ce tiens et qu'il brandit ces points, c'est une evidence flagrante alors on peut en déduire qu'il va me métriser au sol en premier lieu. Trop prévisible. 1- je casse la main du gars a ma droite de façon à l'empecher de tirer mais aussi me permettre de prendre possesion de son arme pour limité ces ésu. Ensuite, il celui de droite tentera une approche de front pour me décocher une droite si je lui tire une balle il va etre destabilisé ce qui me permettera de l'abbatre. Avoir un plan ✅. Les deux hommes avancent vers moi puis croisent leur bras sur leur " chest" . Face à moi ils ce positionme de façon à utilisé leur grandeur pour que je me sente inférieur à eu pour ensuite m'intimider de leur regard sévère. Vous savez quoi? Des hommes dans ce genre là, j'en n'est rien à foutre. la plupart sont sur de la sauce ou dans les stéroïdes alors leur muscles son plus utile à faire peur qu'a être utilisé. De toute manière, sauce ou pas tant que je sais ses points faible le tours est joué. D'ailleurs, ils doivent être recemment recruté car le discrection et leur plan de match est.... Ouais, bon vous avez compris.

Dit à Marck que c'est moi.

T'es qui. Dit le plus vieux à ma droite.

Les deux nouveaux semblaient rétisant par rapport à ma demande.

Dit lui de venir.

Qui est-tu?

Puutainnn, fait juste me l'amener, vous est con ou quoi c'est simple à comprendre !! Rugis-je

Les hommes bombent  leur torse de façon à se donner un air menançant. Ils  se dressent, l'un à coté de l'autre. De sa main la plus habile ( sa droite ) du côté gauche de sa ceinture de manière à favoriser l'accesibilité à son arme de point ( NDA : arme de point c'est un revolver ou un pistolet c'est dans la même cathégorie et puis ça ce tiens à une mains contrairement à la majorité tels qu'aux armes épaules et puis celle-ci tire à de petite distance qui en plus possede de plus petite munition que les autres guns donc moins puissante. ) tandis qu son " patner" à droite prépare sa defense.

Ils veulent ce bagarrer, ils vont l'avoir.

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 02, 2015 ⏰

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