Début du pardon

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Yoon Gi se pencha pour souffler espièglement sur le visage de l'homme maintenu sous lui par sa poigne qui, malgré sa petite taille, était puissante. Les barrières que Namjoon avait instaurées pour le bien de ses révisions et donc de sa réussite aux examens fondirent comme neige au soleil face au corps et au regard prédateur de l'homme maintenant assis à califourchon sur son bassin.

Yoon Gi posa ses mains en un geste possessif sur le torse de Namjoon pour se redresser.

- Je sais pas si tu es au courant, mais tu es carrément baisable quand tu essayes de te concentrer, avec ta petite langue qui pointe le bout de son nez entre tes petites lèvres. Si seulement tu savais combien de fois je me suis retenu de te sauter dessus, sussura le rosé en passant sa langue sur ses lèvres en un geste gourmand. J'espère que ça va valoir la peine d'avoir attendu tout ce temps continua-t-il en promenant son regard sur le corps de l'homme sous lui

Le regard du rosé remonta pour le dévisager tandis qu'il imaginait les meilleurs façons de lui arracher ses vêtements. Tout à ses pensées, il commença a onduler du bassin s'appuyant des ses paumes sur la poitrine du blond, anticipant le plaisirs à venir. Son caleçon avait du mal à contenir son érection, et, peu à peu, il sentait celle de Namjoon pointer entre ses fesses.

Sous lui, Namjoon était au supplice et, quand son petit ami c'était mis a onduler du bassin, son sexe s'était dressé petit à petit contre sa volonté. Il se noyait dans son regard, fasciné par son bassin qui se frottait au sien et par l'érection qui se dressait face à lui. Sentant le désir monter, il calqua ses mouvements sur ceux de son amant.

Yoon Gi plongeât vers la nuque de Namjoon et inspira son parfum musqué et indubitablement viril qu'il aimait tant. Enivrant, attirant, masculin, puissant. Un parfum qui lui correspondait. Il posa ses lèvres dans son cou et le sentit frissonner. Il revint vers son visage et l'embrassa avec avidité, retranscrivant toute son excitation dans son baiser, lui suçotant la lèvre inférieur, la léchant, puis, enfin, fit passer sa langue sur la sienne qui ne demandait que ça. Il approfondit le baiser, les faisant jouer l'une avec l'autre avec ardeur, et sentit des mains prendre possession de son dos. Il se cambrât contre celles-ci, les sentant passer sur sa colonne vertébrale, le caresser lentement puis avec force. Penché en avant, Yoon Gi laissa ses mains s'échouer dans les cheveux et la poitrine de son homme.

Ils s'embrassaient maintenant avec avidité, redécouvrant le corps de l'autre avec passion et empressement. Leur souffle se faisait saccadé. Ils manquaient tout deux d'air, mais pour rien au monde ils n'auraient décoller leur lèvres de celles de l'autre quitte à en mourir. Surtout pour le rosé qui en avait été depuis longtemps privé contre son grès.

Se relevant légèrement, Yoon Gi passa ses mains sous le tee-shirt de Namjoon, le contemplant d'un regard espiègle. Tout en en profitant pour toucher son ventre, il fit passer le tee-shirt par dessus sa tête se penchant dans le même temps pour lui voler un baiser.

Se relevant, il se lécha les lèvres.

- Je te préfère comme ça, souffla-t-il.

Namjoon se sentait de plus en plus à l'étroit dans son pantalon. Il promena son regard sur le torse finement musclé de son petit copain qui se léchait les lèvres en le fixant. Il le voyait se soulever au rythme de sa respiration légèrement saccadé, des petites perles de sueurs commençant à y apparaître. Il remonta le regard vers sa gorge, pour la voir palpiter puis, redescendit lentement pour contempler ses épaules étroites et musclées, ses tétons roses pâles, son ventre légèrement musclé. Il suivit des yeux la ligne de poils sombre sur son aine, ses hanches étroites pour finir sur son sexe qui déformait son boxer. Il posa les mains sur ses hanches, les agrippa et prit plaisir à sentir ses fesses rebondit trésallir sous ses mains. Remontant ses paumes le long de sa colonne vertébrale, il releva le regard pour regarder ses lèvres qu'il était en train de faire rougir en les mordant et ses yeux qu'il avait fermé, ses hanches recommençant leur lent balancement près de son sexe.

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