Imaginez un univers vide , vaste , vaseux, ombreux ... Sans aucune visite . Sans bruit , sans mots , c'est lui. Il est là , il attend , il adhère a cette vue affluant du néant. Il fait froid , humide , blanc. L'hiver est là , pourtant il pleut. Il vente aussi un peu. La vie vit deux filles voyantes comme une ville voguant sur une vilaine montagne venteuse. Vouant toutes les deux un voeux a une veuve velue , vivante et vivace.
Abrorant des arbres abattus , une arbalète azure comme les eaux dont on avalait la tasse il y a des années de cela. Alors qu'Alain le pingouin se retrouvait seul il alla dans l'allée des abris. Allongeant ses arrosoirs glacés .
L'eau se faisant rare on osait plus hocher la tête quand une rose s'offrait .
Ho , alors on enrobait une robe de roses fausses. On s'innondait de ce liquide chaud et on s'endormait.
Les souvenirs s'étaient tisser sans sécher. Les souches suçaient la moelle de la vie et s'assouplissaient pour s'alourdir et s'envoler
Dans ce monde inimaginé , la seule personne vivante était Rica et Frederica ... Scindée en deux depuis des mois... Le sel des larmes et la chaleur fiévreuse d'une coupure net les avaient changées. Ce monde vide , sans vie était un jeu , un lieu d'expérience et de patience .
Pourtant tout le monde était là... De la plus jeune au plus vieux en passant par les plus proches. Alors pourquoi se sentait elle si seule ?
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L'illusion du réel
FantasiaUne apocalypse en tête et des oiseaux chantant en dehors. Un monde a part pour une personnalité des plus vastes .
