OUPS!

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L'entretien s'est comment dire...très bien passé.

Je lui ai posé de ces questions que même il en a eu chaud. Il a même ôté sa cravate tellement c'était muy caliente. Ça l'apprendra de me prendre pour une merde.

Je sortis du bureau du petit patron, avec le sourire aux lèvres.

Comme je le pressentais ma collègue accourut pour plus de détails.

-Alors...vas-y raconte!

-c'était...bien.

Elle me regardait avec de gros yeux. Je venais de la mettre sur le cul.

-Tu te fous de moi? Tu as passé près de deux heures dans le bureau du petit patron et tu me dis seulement "bien"

-ouais c'était ça pas plus.

-OK c'est comme tu veux. Ne me dis rien.

Je ris sous cape et m'en vais m'asseoir. Je sens que quelque chose va se passer maintenant.

Ouais dans exactement...

-mademoiselle Kennedy, dans mon bureau immédiatement.

Qu'est-ce que je vous avais dit...

Je partis dans le bureau de moi moche et ventru. A ma grande surprise je trouvai le petit patron assis avec un air furax. Je me demande bien pourquoi ?

_mademoiselle Kennedy Alexia. Le boulot que je vous avais demandé de faire, était-ce celui que vous aviez fait?

Tu demande?

_ Exactement monsieur et à la perfection.

Le directeur moi moche et ventru et son connard de fils me regardaient avec de gros yeux.

_ Je ne pense pas que la question '' qu'elle est la taille de votre pénis ? '' ou '' combien de fois vous êtes vous branlé  cette semaine ? '' soit en rapport avec sa biographie.

_ Par contre moi je vois le rapport. Vous vouliez que tout le monde le connaisse et sache des choses sur lui non? Bah je vous en donne l'occasion.

Le petit patron n'était pas du tout content à en voir sa respiration saccadée j'allais avoir des problèmes.

_ Papa est-ce que je peux t'emprunter cette...

_ Cette quoi? Allez dites le cette quoi ?

_ Papa...

L'AMOUR EST UN TUEUR À GAGEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant