HUMANIA

Chapitre 9

Chairoo s'allongea auprès de Louis encore couvert de sang et respirant difficilement. Certes, Louis était un humain et il les haïssait au plus au point, mais il voulait encore pouvoir jouer avec lui. Et puis, après tout, la Kitsune était toujours à l'entrée du manoir, évanoui. Il irait jouer avec elle, juste après.

Il entreprit d'appeler un médecin, et claqua sa langue de frustration quand celui-ci réussi facilement à le soigner, utilisant une des magies acquis lors des mutations.

Il regarda haineusement le médecin et le porta ensuite quelque seconde sur l'humain, qui, cette fois-ci, respirait normalement.

Il avait envie d'arracher ses membres, un par un, et doucement, en faisant durer la douleur. Mais ça le tuerai sûrement. Et ce n'est pas tout les jours qu'il avait un esclave de sang royale. Alors, il dirigea ses pas à l'entrée du manoir, la où gisait le corps de la Kitsune.

Ses sourcils se fronça, elle l'avait vraiment mis hors de lui. Alors il lui donna un violent coup de pied de façon à la retourner sur le ventre. Ce n'était qu'une traîtresse et une imposteur après tout. Pourquoi la traiter autrement qu'un humain ?

Il enleva une partie du Kimono de la jeune fille, laissant ainsi son dos et ses avants bras entièrement à la merci du chat. Des mots cicatrisés était dors et déjà inscrits sur les bras, il décida d'alors le marquer entièrement sur son dos.

Ses ongles se firent plus long, devenant de longue griffe acérées qu'il planta dans le dos de l'inconsciente, qui réagi et se tordit de douleur. Rapidement maîtrisé avec l'autre main, il grava sur ce dos ces mots:

« Payes en mourant, imposteur. »

Le sang coula alors sur le dos de la Kitsune hurlant dans son sommeil, et le chat se mit à rire. Contemplant la faiblesse de cette jeune femme de haut. Puis vint remettre parfaitement son kimono avant d'ordonner ses gardes de la jeter hors du territoire, dans les ordures de préférence.

Puis, il se rassit sur son trône. Caressant de nouveau le crâne laissé de côté, souriant comme un enfant heureux d'avoir obtenue ce qu'il voulait tant.

« Papa, Maman, j'espère que cette année on souffrira encore tous ensemble ! D'accord ? »

Était la dernière phrase qu'il avait dit, avant de s'endormir sur son siège, roulé en boule.

Hum... Hum... Je n'avais pas trop d'idée, et puis j'ai beaucoup de bouleau sur mon compte principal, enfin je l'ai déjà dis non ? Brefffff ! J'aime, bizarrement, bien ce chapitre... J'espère qu'il vous aura plu ? En tout cas à la prochaine !
-N