Chapitre III

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«Si le remords est souvent un châtiment, il est parfois une réparation ; après nous avoir inspiré de l'horreur pour les mauvaises actions dont il fait passer de temps à autre l'image impitoyable devant nos yeux, il nous provoque au bien en expiation du mal. »

Mon cœur battait la chamade. Il était revenu, et s'avança brusquement vers nous, je reculai, mais il était trop tard, il m'attacha mes bras, ainsi que ceux de l'autre prisonnier, et il nous emmena avec lui. Je pus voir l'horizon, enfin après deux jours, les arbres étaient nues, et le parterre blanc «Deux jours ? » dis-je tout bas. 
Cela ne peut faire deux jours, se seraient au moins trois mois que je suis là, mais pas deux jours, m'a-t-il drogué ? On n'est en hiver maintenant alors que pour moi, on n'était en printemps quand il m'a emmené ici, les arbres étaient verts, et le sol aussi. Que s'est-il passé ? Pourquoi n'ai-je pas vu le temps passer !?

Je suis perdu. Je vixais le sol, me demandant plus où allait-il m'emmener. On descenda les escaliers, qu'il nous y poussa, on tomba tousdeux sur un parterre de bois aux planches mal placés et aux clous dépassants, cela était très dangereux. Je tombai sur le dos sur une blanche de bois mal fixée, je criai de souffrance en me retournant rapidement, j'avais tellement mal, je ne sentis plus mon dos, mais une douleur atroces. L'autre prisonnier, se releva en vitesse, quand je le regardai, je vis qui tenait son œil, et sa bouche grande ouverte, je n'arrivais plus l'entendre. 
Il commença à s'approcher de moi, et s'abaissa, il me regarda souffrir, avec un regard mesquin, mon regard se fit noir envers lui. Il m'aida à me lever puis me mit sur une chaise, il me bloqua mes poignets et mes chevilles. J'essayais de me défaire mais je n'arrivais pas, je me calmai en regarda l'autre prisonnier qui se faisait aussi attacher, et là je vis son œil saigner abondamment, il s'était pris un clou dans son œil, je n'arrivais pas à changer de direction, mon regard était hypnotisé vers le sang, je regardai le sang couler sur sa joue, puis tomba sur sa main et par terre.

Mon cœur battait très vite quand je vis l'inconnu s'approcher de moi, il me tint avec sa main ma tête puis me dit dans mes oreilles « Ne trouves-tu pas ça jolie ? » Ce fut-il de moi ! Il saigne, il va mourir et il me demande si ça c'est joli !? Je voulais lui foutre un coup de tête, mais mon dos me faisait trop mal. Il se détacha de moi et s'approcha de l'autre qui souffrait plus que moi.

«Arrête de crier, tu me donne mal à la tête.  » dit l'inconnu. Il étira sa bouche puis lui enleva le clou de son œil, ce qui fis encore plus souffrir l'autre, il criait tellement, que mes oreilles seraient surment sourd avant qu'il me tue à mon tours.

Il se pencha sur lui et mit son doigt dans l'œil de l'inconnu qui cria encore plus, quand il retira son doigt de son orbite, il était tout rouge. 
Puis il se retourna vers moi et ma Souria, je me retourne et vis des armes de torture. 
Enfin, il va me tuer, je pourrais rejoindre ma famille, ma famille que j'allais boire, je me mise à tousser, et quand je me retournai vers lui, il lui mettait un quelque chose sans description, c'était un métro métallique, il le mit sur la victime me dit « Tu vois ça, c'est un de mes joujoux préférés, c'est avec ça que je m'amuse le plus, tu en as marre aussi de secries ? Voilà qui le feront taire. Quand je vais appuyer pour une première fois sur cebouton, des piques s'enfonceront au niveau de ses joues et sa bouche. Trouves-tu pas ça magnifique ? » 
Je ne le réponda par , pourquoi fait-il ça ? 
Il appuya sur le bouton, et comme il dit, les pique s'enfonça dans sa peau s'est crié de douleurs s'apaisa de plus en plus, son souffle aussi, je le voyais respirer de moins en moins. 
Il rapuya une deuxième fois et là, un manche qui était sur le masque se souleva, et explosa sa tête, des morceaux de chair éclatèrentpartout, le sang finit une partie sur la moitié de mon visage, je criai, puis pleurai, tendit que lui, riait. Comment peut-t-il faire ça ! C'est horrible ! Le garçon était mort...et maintenant, c'est à mon tour.

Face à lui. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant