-Chapitre 1-
«Maman !!!» Le cri de terreur me parcouru, il faisait froid, le ciel grondait et pleurait. Je seras mes bras contre moi, je senti mon cœur sous ma poitrine et des larmes couler sur mes joues.
Je ne trouvais plus la sortie des bois, pourtant, mère m'avait dit de ne pas trop m'éloigner de la maison, je voulais juste lui cueillir le plus beau bouquet de fleurs qu'elle puisse avoir. Des fleurs de toute couleurs, mère en serait éblouie. Mais le chemin de fleurs m'a emmène dans un endroit totalement inconnu où les arbres sont plus grands et les herbes se faisaient hautes.
Je ne savais pas où j'étais, j'étais perdu, seule, dans les bois sombre où régner les démons les plus terribles.
Je ne senti plus mon cœur et m'effondra sur le sol boueux en laissant les larmes s'échapper de mes yeux.
« Sœur avait raison, je suis qu'une foimenteor, une baronnet, je suis une coquebert. »
Je m'étouffa dans mes mots, et m'endormi dans ma colère et ma tristesse.
Je me réveilla, le ciel avait cessé de pleurer et de gronder. Je regarda autour de moi en frottant mes yeux encore fatigués. Quand j'entendis un bruit étrange qui me fit tout de suite relever.
«Mère? Sœur? Père ? Est-ce vous ? » Ma voie tramblait de panique, j'avais toujours cette peur.
« Sœur, tu avais raison. Dis-je face à la peur. Je suis qu'une vulgaire boursemolle. Maitenant arrête de me faire peur. » Je me remise à pleurer.
Le bruit, s'approchant de moi, je pus les identifier, des bruits de pas lourd.
J'ouvrit mes yeux et vit un jeune garçon de mon âge, le sourire aux lèvres qui me tendit sa main.
Je le regarda terrifié de terreur puis il prononça amicalement. « Tes affublement sont défroques, laisse moi t'aider. »
Je pris sa main qui tendait toujours, puis lui souri et sécha mes larmes avec mon autre main.
Il m'amména dans un vieux manoir, sombres. Je voulu m'arrêter mais il me tira de force en me rassurant grossièrement « allez, paillarde, je ne vais pas te faire du mal. » je ne pouvais plus rien faire, il était bien plus fort que moi.
Arrivé, il me jetta vulgairement dans une chambre où les meubles n'étaient pas présents. Juste un couche. Il me fit un sourire sadique et ferma la porte en la claquant.
Je ne savais plus quoi faire, je ne pouvais plus rien faire, je ne savais pas qui était-il, il m'avait l'air si bon pourtant, un jeune homme bon. Mais il m'a trahit.
Je me coucha sur la couche étant bloqué dans la chambre, je regarda les alentours où les murs étaient vieux et déchirée, et la fenêtre recouvert de planche de bois qui ne laissaient entrer que peu de lumière.
« J'ai peur du noir, j'ai peur mère, regard mes affublement.»
Je resta silencieuse pendant des heures, et quand je l'entendis revenir, je me serra sur le coin du lit et le vit entré.
Il entra dans ma chambre, les vêtement tâché de rouge, le sourire au lèvres il m'apporta à manger.
« Je t'ai préparé la bonne soupe de mère, veux-tu y goûter ? »
Il me tendit le bol et je le pris, il me regarda assis sur le lit, avec toujours le même sourire, je regarda le liquide rouge au morceau flottant je le jetta et mis mes mains devant ma bouche pur ne pas vomir.
«Tu n'aime pas ?» me dit t-il déçu.
« Je... QUESQUE SAIS!?»
Il me regarda déçu, puis sorta de la chambre, mais prononça des derniers mots.
«Ma création, fait avec les membres de ta très chère famille. »
[À suivre...]
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Face à lui.
TerrorPerdue dans les bois profonds, Mes yeux en larmes. Il était là. Il me voyait, mais pas moi. Il m'entendait mais pas moi. Je m'étais perdue, dans les bois, sans savoir où j'étais. Sans savoir où étaient ma famille. Pourquoi est-il fini par venir...
