Sombre, lugubre et seule
Ton âme égarer, molester et solitaire
Cherchant la route, la raison, la lumière
Fuyant la peur, le mal être, le deuil.
Sauras-tu voir au-delà des nuages noirs ?
Verras-tu la véritable source devant ton miroir ?
Quand le soleil s'en va, loin dans l'horizon
Tu cours, oubliant ce funeste oraison
N'oublie pas l'espoir dans ta course folle
Regarde encore la vie avec des yeux d'enfant
Car les ténèbres s'enfoncent dans le sol
Et voilà tes craintes balayer par le vent.