Entre amour, vengeance et trahison

Sur écoute

Je rétablis l’électricité dans la maison, souvenez vous  j’avais baissé le compteur   parce que Aida prenait un mal en plaisir à faire du bruit avec sa musique.

En parlant de Aida, elle s’était enfermer dans sa chambre, elle savait qu’elle allait passer un sale quart d’heure avec moi.

Le lendemain je me réveille assez tôt… J’ai réussie à fermer l’œil grâce aux somnifères que j’avais pris.

 Apres avoir pris ma douche, je décide d’aller régler mes comptes avec Aida, ce qui c’était passer hier je l’ai toujours à travers la gorge et tant que je n’aurais pas mit deux bonnes gifles à Aida je ne serais pas bien, je ne pourrais pas réfléchir clairement et essayer de dissiper les doutes de Victor.

Toute cette rage que j’ai à l’intérieur de moi c’est un mélange de Aida, de Célia, de Victor… De tout les gens que j’ai autour de moi et je peux vous assurez que cela ne fait pas bon ménage. Le cocktail est dur à avaler !

-Aida ouvre cette porte ! Hurlais-je en frappant sur la porte de sa chambre

Elle ne me répond pas… Chose qui prouve qu’elle a un cerveau lent et parfois il y’a juste une toute petite lumière qui éclaire son absurdité instantanément. Parce qu’elle sait très bien que, si elle ouvre cette porte, je vais redessiner les traits de son visage avec ma propre méthode… Dites « la méthode Veronicaine ».

Je continue à frapper à sa porte mais silence radio…Si elle était morte ça ne m’aurait pas déranger mais je veux être sûre ou même la tuer de mes propres mains.

Elle ne veut pas sortir de sa chambre…Ok je vais utiliser les éléments de cette maison à bon escient. Apres avoir fermé toute les portes et les fenêtres, je décide de faire le maximum de fumer pour déclencher le détecteur de fumer.

Apres avoir brulé du papier et ainsi laisser la fumer se propager dans la maison, le détecteur de fumer s’est mis en route. Je me protège la fumée et j’attends Aida devant les escaliers.

Parce que si son intelligence instantané fonctionne toujours, elle saura que si elle entend le détecteur de fumer c’est qu’il y’a le feu. Vous savez ce qu’on dit « il n’y a pas de fumer sans feu ».

-Veronica il y’a le feu ! Intervient Aida en se précipitant dans les escaliers.

Je l’attrape par les bras et la pousse violement dans un fauteuil.

-Ferme là ! Dis-je en la giflant

-Mais je n’ai pas fais exprès… 

-Tu vois voilà, c’est ça le problème je t’ai demandé gentiment de rester dans ta putain de chambre mais tu es incapable de faire ce qu’on te demander ! Hurlais-je en renversant la table base. 

 Elle se tait et me regarde en tremblant de peur. Vous savez le problème avec Aida,  c’est qu’elle se mêle de mes affaires et elle va à l’encontre de ma volonté. Elle est tellement débile, je n’arrive pas à croire que John à confiance en elle.    

-Veronica arrête d’hurler, ce n’est pas de ma faute… C’est bon on a compris tu es énervé mais ne passe pas ta colère sur moi ! Rétorque Aida en haussant également le ton

-Je ne t’ai pas demandé de me répondre, tu es chez moi, tu la ferme une bonne fois pour toute ! Rajoutais-je en balançant sur elle tout ce que j’avais à porter de main.

C'est-à-dire les vases, la bouteille remplie de whiskey mais aussi les quelque bougies qui servaient juste décoration.

-Tu vas finir par me tuer… Réplique Aida