Partie sans titre 4

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Le réveil se déroule dans la confusion. Anne ne s'est pas endormi volontairement. Elle s'est évanouie dans un  fauteuil cabossé ce qui a endommagé son dos . Elle n'a que des vagues  souvenir incohérents de ce qui c'était passé . Il est  lui impossible de savoir pourquoi elle à fini là, dans ce vieux fauteuil pourris, la tête qui tombe dans le vide.  En se relevant, son cou lui tire sur tout le côté droit, le simple fait de  tourner la tête lui fait atrocement  mal.  Sa vision est trouble , elle  ne discerne que quelques masses  noires. Des élans de maux de tête l'agressent. Son regard se dirige  en direction de l'horloge. Un certains temps se passe avant qu'elle parvienne à déchiffré l'heure.  Etant donné qu'il fait sombre  dehors, elle s'est  imaginé que la nuit est tombé .  En réalité, il est très tôt, c'est déjà le matin. L'hiver arrive et les journée sont de plus en plus courtes.  D'ailleurs le froid règne progressivement dans l'appartement à mesure que le temps défile. 

Anne se redresse avec beaucoup de difficulté, son corps entier l'a torture. Elle se rend en direction de l'entrée en palpant les alentours  avec ses mains pour ne pas trébuché. Elle ouvre la porte  doucement afin de ne pas réveiller les enfants qui semblent dormir.  En la refermant,  un courant d'air se faufile  et un claquement brusque se fait entendre. Le bruit résonne dans toute la cage d'escalier.  Dans une dynamique molle, rythmé par des mouvements saccadés , les marches de l'escalier sont franchies les unes après les autres. 

Une fois au rez de chaussé , elle hésite un moment avant d'ouvrir la porte qui mène sur la rue. Dehors le temps est pluvieux, les goutte de pluie éclatent par terre dans un vacarme absolue. Une fois sa crainte  vaincu, elle se livre à l'environnement extérieure.

Les premiers pas témoignent déjà d'une violence considérable.  Le vent hurle et transperce les tympans au point de devenir sourd ou de n'entendre qu'un sifflement continue. Les gouttes de pluies  viennent frappé au visage comme des mitraillettes.   D'ailleurs il est très compliqué de maintenir les yeux ouverts. Le moindre  bruits des volets qui se fracasse contre les façades surprend Anne qui sursaute à chaque reprises. Au bout de la  rue étroite et mal éclairé dans laquelle elle s'est aventuré, une silhouette  se distingue. C'est inévitable, elle finira tôt ou tard par croiser son chemin, elle l' appréhende. L'homme  s'avance dangereusement, à une allure folle. L'angoisse qu'il  a pu provoqué est soudainement étouffé par un rire narquois qu'Anne ne parvient pas à retenir.  

L'argent, l'argent. C'est bien beau l'argent! Tout le monde le suce cet argent! Ils courent après, c'est tout ce qu'ils savent faire .Je voudrai bien l'aimer, moi. Sauf que l'argent qu'en tu l' as pas, c'est la raison suffisante pour se faire traité comme de la merde. Pour ceux qui se gavent c'est facile oui.  Ils nous bouffent tout entier! Et à la chaîne en plus! Les uns après les autres.  

Vêtu de sa tenue  de sécurité, elle en a déduit qu'il se précipite à son lieu de travail. Au moins, il sera à l'abri à l'intérieure.  Anne, elle préfère être condamner dehors plutôt que  de se livrer aux machines. Au moins, elle n'as pas à courir. 







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⏰ Last updated: Feb 14, 2018 ⏰

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