Chapitre trois

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Sofia: Pourquoi rentres-tu si tard Anna ?! Répond moi bon sang !! Je m'inquiétais beaucoup, j'étais pètre à appeler la police pour enlèvement ! Cesse de te comporter ainsi et pour l'amour du ciel répond moi !
Dans l'impossibilité de parlé, les yeux remplis de larmes et la gorge nouée je ne répond pas. Je veux parlé a personne. Je veux entendre personne. Je sais que ma mère n'y ai pour rien mais je veux juste m'enfermer dans ma chambre et ne plus jamais ressortir.
Anna: Je...je...je sais pas... désolé sa n'arrivera plus...

Me voilà dans ma chambre, dans mon lit, dans la peine hombre. Les larmes ne cesse de couler, ma mère est venu plusieurs fois mais en vain. Je ne peux pas lui dir que mon père est revenue. Je ne peux pas lui dire qu'il veux juste gâché ma vie. Je ne peux pas lui dire que suis je lui en parle il me tuera... je ne peux pas, non je ne veux pas !! Je veux que tout sa s'arrête ! Pourquoi décide t-il de revenir comme sa dû jours au lendemain ! Je le connais pas mais je le déteste déjà ... L'homme qui me sers de père était qu'un alcoolique toxicomane ! Il empestait le bière mélanger à du whisky. Il étais grand et baraqué, veste noir et pantalon gris. Pourquoi veut-il sens prendre à ma mère ?! Pourquoi s'en prendre à moi? Qu'ai-je fait? Oui je sais....j'ai trouvé... L'erreur est simple...je suis née.
Je me réfugie sous ma couettes, toujours en pleure, des idées noires me viennent en tête... Horrifiée de penser à ça, refusant toute idées de scarification je ferme les yeux et essaye de dormir... Impossible. Ces idées me tentent beaucoup trop. Après tout rien ne peux m'arriver. Je ferai qu'un seul trait, promis.
Me voilà avec mon compas à la main. Je sais, c'est mal. Mais tant pis. Tremblante, je le pose délicatement sur la peau de mon avant bras intérieur juste en dessous de mon poignet. Descend vers mon coude en appuyant de plus en plus. Le sang coule. C'est chaud, apaisant, une sensation de brûlure vient après. J'aime cette sensation. C'est ridicule mais j'aime voir mon sans couler. Sa m'apaise. Je pose cette engin qui me servira maintenant pour me torturée. J'éteins mon téléphone, m'allonge et m'endors.

Un destin tracé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant