Chapitre quatre

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J'ouvre les yeux, allume mon téléphone et constate qu'il est seulement 4h48. Je repose mon téléphone et décide de m'aérer les esprits. Me voilà à mettre mes chaussures et une veste. La manche frôle ma blessure faire il y 7h plus tôt, sa pique. Sa me brûle dans tout le bras mais c'est une douleur agréable. C'est agréable car j'ai eu le courage de le faire. Je suis aller jusqu'au bout de mes actes et je suis contente. Il me tarde de recommencé et d'aller plus loin. Je veux teste jusqu'où je peux aller. Je veux vois on son les limite du possible. Et pourquoi pas franchir l'impossible... Pourquoi pas faire l'irréparable...
Une fois descendu à pâte de velours me voilà sur le seuil de la porte, je l'ouvre et un vent glacial rentre dans mes poumons. Sa fait du bien. Le nuit est sombre. La lune est un croissant toujours apparent. Le vent souffle légèrement, on peux entendre son sifflement. Je décide d'aller dans la petite forêt derrière chez moi afin de faire le plein d'oxygène.
•••
Sofia: Anna réveil toi !!! Il est bientôt 10h ! Tu n'aura même pas profité de ta mâtiné!
Anna: mmh... laisse moi dormir...
Ma mère vois alors mon bras avec la coupure d'hier soir. Elle m'attrape le bras, j'essaye alors de lui en empêcher et le cache sous ma couette.
Anna: oui oui c'est bon je me lève.
Sofia: C'est quoi sa?! Sa y es tu es folle ma parole !! Non seulement tu rentre en furie et en pleur et maintenant tu t'ouvre les veine ? Dieux sois loué, ma fille est tarés !! J'appelle tout de suite l'hôpital psychiatrique ! Tu vas te faire interne ma petite et tu vas vite arrêter c'est connerie tu m'entends?!
Anna: Ce n'est rien maman, c'est la première fois et je ne recommencerai pas !
Bien sûr que je comptais recommencé mais il étais or de question qu'elle en parle a qui que se sois ! Et encore moins que je me face interner chez les fous ! J'suis pas folle !
Sofia: C'est une fois de trop jeune fille.
Elle sort en claquant la porte et se dirigea directement sur la téléphone et compose le numéro de l'hôpital psychiatrique la plus proche.
Ma mère me prenais pour une folle.
Et si je l'étais?

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