La Céleste Rencontre Dans un Amour Révolutionnaire [One Piece]

L'égalité N'est Jamais Acquise

Le soir même, Dragon se trouvait dans sa chambre, une pièce très rustique, car la maison était en bois, son lit se trouvait près de la fenêtre, où quelques nuit il passait par-là pour s'échapper à l'aide d'un arbre. Toute fois, dans cette pièce, il y avait aussi un bureau, où sur celui-ci il faisait ses recherches, ainsi que bibliothèque très petite, mais avec beaucoup d'ouvrage.

Le jeune homme se trouvait sur son lit, il était environ plus de trois heures du matin, il se tenait là, à lire précisément ce que lui avait donné Gold Roger, tout ce qu'il avait appris auparavant n'était pas grand chose, tandis que ce qui était divulguer dans la lettre le rendez de plus en plus perplexe, et parfois même apeuré.

Le monde était plus en danger qu'il ne le penser, il ne savait plus à quoi réfléchir, il se leva de son lit, et fit les cents pas, cherchant quoi faire pour créer la révolution qu'il souhaitait, troubler le gouvernement mondiale, c'était décidé, il deviendrait un révolutionnaire, quelqu'un qui donnera la paix dans tout les pays, mais pour le moment ce qu'il fallait faire, était un coup d'état.

Cependant, il était quelque peu perdu, il n'avait pas grand chose pour pouvoir se lancer, et il n'avait surtout pas d'argent, pour trouver un bateau, ainsi qu'un équipage, c'est alors quand regardant attentivement dehors, admirant les feuilles d'arbres s'entrechoquer les unes avec les autres, qu'il pensa alors à voler l'argent des habitants riches de Fushia, afin de rendre justice, puis, alors qu'il venait juste d'avoir cette idée, une autre apparut.

Il se toucha le menton en divulguant dans ses pensées que c'était une idée des plus absurdes qu'il avait eu, mais des plus bonnes, il observa sur son bureau une fameuse arme à feu, dont il s'en servait simplement pour tirer sur des animaux afin de pouvoir se nourrir lui et son père.

Dragon pensa donc à la fille des dragons célestes qu'il avait vu, et son idée prit forme, pour lancer son premier coup d'état, un révolutionnaire doit être aussi près à tuer, pour aboutir. Demain à la première heure, les dragons célestes doivent se rendre une nouvelle fois sur la place pour distribuer leur esclaves au village. Afin de pouvoir commencer les rénovations de l'île.

Dragon avait donc décidé de tirer sur Laysey, afin de pouvoir chambouler la famille, et d'être le premier à tuée un dragon céleste. Il se prépara dès qu'il avait établie son plan dans ses esprits, il était à ce moment-là cinq heures du matin, , il prit le nécessaire, et surtout il avait vérifié qu'il y avait suffisamment de balle pour achever cette femme.

Il partit donc de nouveau sur la grande place, il était vêtu cette fois-ci d'une capte noire, pour ne pas attirer l'attention sur lui, puis son sac bandoulière en cuir marron. Heureusement il était seul, Garp était partir dans la nuit en direction du quartier général de la marine, comme il était convenue.

Le jeune homme, courra vite, afin d'y être rapidement et de trouver un endroit convenable, sur les toits par exemple, pour tirait sur la jeune fille, il arriva où il souhaitait à environ cinq heures et demies du matin, puis il grimpa sur les murs, pour sauter de toit en toit, il prit le plan qui avait élaborer très vite, et une simple plume, il écrivit quelque petite notes qui exprimait son emplacement, et là où il devait tirer pour l'achever, il espérait au moins qu'elle serait présente, sinon il tirait sur l'épouse de du dragon céleste, où alors sur lui. Mais ce qui était sûr c'est qu'il tuerait quelqu'un pour la première fois aujourd'hui.

Il attendit patiemment sept heures et demi, Dragon avait piquer un somme, afin de récupérer en peu de temps la nuit blanche qu'il avait passé. Puis il se réveilla en sursaut en attendant le bruit de trompette d'un des gardes des dragons, il se redresse prit place, en s'installant, même si, il n'avait pas de grands talents de tireur d'élite, il ne fallait pas qu'il se loupe, il vit la jeune fille du nom de Laysey, descendre et monter sur la surface en bois d'hier, elle se rapprocha de son père, et elle avait le regard vide comme toujours.