Harry : Je te promets que tu ne souffriras pas longtemps mon cœur
J'écartai un peu plus ses jambes et je pris place pour finalement commencer à rentrer dans une paroi assez étroite. Plus je m'avançai, plus je la sentais se raidir. Mais je ne savais pas quoi faire, c'était la toute première fois que je couchais avec quelqu'un qui ne l'avait jamais fait. Je ne savais pas ce que je devais faire pour qu'elle se détende. Une idée me vint alors en tête. Je ne m'arrêtai pas, car il fallait bien qu'un jour elle passe cette étape, tout stoppai ne servait à rien si c'était pour tout recommencer dans une quinzaine de jour. Je partis alors de l'avant et je m'emboîtai complètement lorsque la paroi s'élargit. Elle avait mal, elle pleurait, elle tenait les draps tellement forts qu'on aurait cru qu'elle allait les déchirer et elle avait même criée de douleur lorsque je m'étais avancé. Je n'avais pas fait ça sous une mauvaise intention, au contraire, c'était pour qu'elle ait mal plus vite mais moins longtemps. J'attendis qu'elle reprenne correctement ses esprits avant de faire quoi que ce soit. Pour essayer de lui faire penser à autre chose et pour essayer de la soulager, je déposai mes lèvres sur les siennes une énième fois de plus. Quelques secondes après, lorsque je compris que ça allait mieux, j'attrapai ses deux mains et je les plaçai à côté de son visage pour ensuite entrelacer ses doigts aux miens. Lentement, je commençai des vas et viens assez long pour ne pas trop lui faire mal et pour qu'elle s'y habitue. Petit à petit, mon envie se fit plus grande. Elle me fit en quelque sorte comprendre que je pouvais aller plus vite et je ne m'attardai pas à accélérer mes mouvements de bassins, sans pour autant allé à une vitesse extrême. Chez moi, les gémissements arrivèrent bien rapidement. Pour la première fois, mon désir était plus fort qu'avec n'importe quelle fille. Cette fois-ci, c'était encore mieux : c'était parce que j'étais amoureux de la fille qui se trouvait sous moi. C'était tellement bon et je prenais tellement mon pied que je n'avais pas de mots pour décrire tout ça. Malgré tout, nous n'avions pas cessé de nous embrasser et j'étais tellement en extase, qu'un gémissement roque passa de mes lèvres aux siennes. Pourtant, je faisais tout mon possible pour éviter de faire du bruit. Par manque de souffle, je posai ma tête sur l'oreiller et j'essayer en vain, de me contenir mais c'était difficile.
Ashley : Harry! Cria-t-elle.
L'entendre crier mon prénom me fit avoir un frisson et je ne pus alors me retenir. J'avais fini par moi aussi murmuré son prénom dans le creux de son oreille et des sons extrêmement rauque et fort passèrent mes lèvres. Plus les secondes passaient, plus j'allais vite et plus je m'enfonçais loin. Je n'arrivais pas à me contrôler, c'était plus fort que moi. Surtout qu'on aurait dit qu’Ashley m'inciter à aller toujours plus vite. Elle n'était pas censée être vierge ? Si, mais bon dieu, on pourrait croire qu'elle a fait ça toute sa vie. Je tremblais et j'avais des sueurs tellement j'aimais le faire avec elle. Mais je sentis que je n'allais pas tarder à atteindre mes limites elle aussi. Je lâchai alors ses mains et je saisis ses hanches pour pouvoir coller encore plus mon bassin au siens, ce qui sur le coup, nous provoqua à tous les deux un gémissement plus fort que les précédents car je m'étais élancé d'un coup et plus loin. J'accélérai alors encore mes mouvements pour pouvoir profiter des dernières minutes qu'il nous restait. Puis sur un coup de tête, je m'étais assis tout en gardant Ashley sur mes cuisses. J'entourai alors mes bras autour de ses hanches, pour pouvoir l'aider dans ses coups de bassin pour qu'ils soient plus forts et plus vigoureux. Elle ne comprit pas sur le moment même, mais elle ne s'en préoccupa pas plus que ça. Je la vis fermer les yeux et ouvrir la bouche car elle commençait à être en manque d'air. Et j'avoue que moi aussi.
Ashley : Harry j'en peux plus !
Harry : Hm ! Gémis-je
Sentant que c'était la fin, elle rouvrit les yeux et nous nous étions regardés droit dans les yeux, et c'est dans un dernier coup de rein que je me libérai en elle sous un râle assez puissant et c'est ainsi, que nous atteignîmes l'orgasme, en même temps. Je m'étais alors dégager d'elle puis j'avais retiré le préservatif. Etant épuisé l'un comme l'autre, je l'avais fait basculer en arrière et j'étais resté allongé sur elle sans pour autant m'étaler de tout mon poids. Avec beaucoup de mal, nous essayons de retrouver notre souffle. Elle tremblait encore tout en caressant mon dos, elle était complètement épuisée. Et moi aussi. J'étais à deux doigts de m'endormir sur elle, mon visage niché dans son cou. Quelques minutes plus tard, la tête toujours sur son épaule je réussis à retrouver une respiration régulière.
Harry : C'était la meilleure fois de ma vie... Dis-je en me caressant sa joue.
Ashley : N'importe quoi. Ria-t-elle, en caressant son dos. Je ne vois pas comment je pourrais surpasser toutes les filles avec qui tu l'as fait ...
Harry : C’est parce que c'était différent. Elles, je ne les aimaient pas. Toi, c'est tout le contraire, je t'aime comme un fou et je te promets que tout ce que je te dis est vrai. Dis-je, en embrassant sa joue.
Surement ravie et flatté par ma réponse qui était complètement vrai, je lui murmurai que je l'aimais et qu'elle était la femme de ma vie, elle me répondit qu'elle m'aimerait pour toujours et qu'à cette instant même ; elle était la fille la plus conquise sur cette planète. Et c'est comblé chacun de notre côté que nous nous étions endormis dans les bras de l'un de l'autre. Quand je pense qu’après sa nous serons plus vraiment très proche à cause que je vais partir à The X-Factor. Je suis vraiment très mal pour elle. Apres quelques minutes elle ce lève et ce rhabille.
