L'histoire de la sainte-patate

Le commencement

Au début, il n'y avait rien, rien à part une grande étendu de terre graveleuse empêchant toute vie d'exister. Le vent n'était rien et la nuit était éternelle.

Alors, du fond de ces terres désolées et infinie, une plante fit son apparition entre les graviers. Cette plante (dit la plante première) était si belle à la vue et si douce au touché dit-on, qu'elle donna naissance au premier être, lui aussi doux et bon dans son âme: Potato dit "le vivant".

Potato, dit le vivant, avait gagné son surnom grâce au fait qu'il sois le premier être doué de conscience à être apparu. Hélas, après ce miraculeux événement, la plante première mourut car elle avait donné toute sa puissance vitale en Potato.

Celui-ci, déjà née avec une conscience de tubercule évolué, donna naissance au premier territoire saint: le Patadis. Un endroit crée pour que chaque patate qui a vécu une vie respectable puisse profiter de l'éternité. Un seul problème s'y opposa, Potato était seul. La seule pomme de terre vivant sur cette terre encore inconnue hors des frontières du Patadis.

Potato ne savait donner la vie, alors la tristesse l'envahit: peu importe le Patadis si c'est pour y être seul. Un endroit parfait avec des arbres, des plaines et des fleur chérient par le soleil ne servais à rien s'il ne pouvait le partager. Il décida donc de créer une plante, à l'endroit où la plante première avait pris racine.

Mais, après des jours, des semaines, des mois voire des années d'attentes, aucun compagnon ne poussa. Aigris par la solitude, il décida de s'enterrer lui-même vivant, en ayant pris soin d'écrire ses mémoires pour qu'un jour, une patate puisse comprendre pourquoi elle est ici, dans ce qu'on appelle le Patadis.

Ainsi, Potato le vivant était enterré pour l'éternité. Mais de sa tombe, sortit un grand potager siégeant au centre du Patadis. Ce potager (plus tard qui deviendra le Potager des Dieux Tuberculiens) donna naissance à deux nouveaux arrivant: Pitacle, la patate des éléments et Paclateäs, la patate douce de la vie.