Chapitre 1 : la Décision

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Pour écrire cette histoire, je me suis inspirée du livre HUNGER GAMES de SUZANNE COLLINS. Je reprends des éléments du livres et les transforme un peu. J'ai aussi repris des idées d'autres livres mais ce serait trop long à les écrire tous.
Sachez aussi que je ne suis pas une machine, j'ai une vie donc je ne posterai pas un chapitre tout les je ne sais pas combien de temps. Il st possible que j'en publie plusieurs en quelques jours ou aucun en plusieurs mois.

Sur ce : bonne lecture !

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Je m'appelle Rue Hamilton.
Je vis dans le rayon H.
Les rayons d'habitations vont du B au Z.
Nous surnommons le rayon A le Consulat mais il se nomme en fait le Gouvernement. Il contrôle tout.

Depuis que l'ancien monde a déclenché la troisième guerre mondiale, le consul a fait enfermer tous les commandants responsables de cette crise mortelle pour l'humanité. Il a condamné les pays et les villes irrécupérables. Il a formé les rayons. Le Consulat a élit l'ensemble des rayons du A au Z comme le Terrain.

Depuis notre plus petite enfance, le Consulat nous fait passer des tests pour connaître notre capacité à réfléchir le plus vite possible, à développer des stratégies, avoir une idée sur nos pensées en une situation précise. Tous les trois mois nous avons un bilan de nos résultats. Le mien est toujours resté vierge. C'est comme ça. Il y a quelques personnes dans mon cas dans le monde. Il est impossible de prévoir quelles vont être nos réactions en simulations. Il est impossible de nous cerner.
Le Gouvernement a peur de nous, je crois.

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Suite à la troisième guerre mondiale, de très grandes villes ont été attaquées par le climat. Paris est sous l'eau, New York à été secouée plusieurs fois par des énormes séisme atteignant 10 sur l'échelle, Tokyo s'est faite entraînée par le plus grand ouragan connus à ce jour, le Royaume-Uni est réduit en cendres par le volcan Katla, le volcan islandais.

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J'ai quinze ans aujourd'hui. J'essai de ne pas y penser mais je n'y parviens pas. La décision va se passer aujourd'hui. Même si je n'ai jamais eu de bilan à la fin des mois, je vais la passer.
La Décision consiste à une piqure qu'un médecin nous introduit dans le biceps. Le sérum contenu dans la seringue se déversera alors et sur des ordinateurs nous décrirons notre force physique et notre endurance. Plus nos résultats sont élevés plus nous avons des chances de survivre. J'espère de tout mon cœur que quelque chose va s'afficher sur l'écran car ceux à qui il ne se passe rien disparaissent sans laisser de traces.

Je suis dans mon lit a penser à tout ça quand j'entends un léger toc toc sur ma porte. C'est ma mère et Maëlys ma petite soeur de 3ans. Elles m'apportent mon petit déjeuner préféré sur un plateau : un croissant chaud et croustillant remplis de chocolat fondant, un sachets de chouquettes chaudes aussi et un bol de cacao mélangé a du lait chaud.
Je les remercie et m'assoit dans mon lit. Ma mère prend la parole avec un grand sourire :

-Cest le grand jour. Avec Maëlys nous allons t'aider à choisir tes vêtements. Ils ne faut pas qu'ils soient trop serrés ni trop voyants. Tu sais bien qu'il te faudra les garder pendant trois mois... Si tu es choisie. Ajoute-t-elle dépitée.

Si l'ordinateur montre des résultats positifs dépassant 82%, je serai sélectionnée pour participer à l'entraînement des futurs soldats et je devrais donc garder les mêmes affaires pendant les trois mois de la formation. C'est un honneur de faire parti de l'élite.
Ma mère et ma soeur choisissent donc un pantalon de treillis moulant sans pour autant être trop serré, un T-shirt noir coupé court au niveau des manches, un sweat à capuche gris et une veste en cuir noire avec les fermetures et les coutures blanches que j'ai eu pour mon anniversaire. Il ne me reste plus que les chaussures à choisir. Je voudrais emporter mes Vans mais elles ne seront pas adaptées. Nous portons notre choix sur les converses hautes noires et blanches assorties à ma veste.

C'est l'heure de partir. J'embrasse mon pere très fort. Il me sourit. Je suis une fille, c'est donc à ma
mère de m'accompagner. Le père de mon ami James est mort, il doit donc y aller tout seul.

Nous arrivons devant la Tour. Elle est gigantesque. C'est là que je dois quitter ma mère. Je l'embrasse comme mon père et ma soeur. Je ne les reverrais peut être plus pendant 3 mois.

J'entre dans la Tour avec une légère appréhension. Je suis soulagée, je ne suis pas la seule à etre arrivée en avance. Je serai même en retard par rapport à la masse de personnes se tenant devant moi, en bas dans la fosse. Mon nom sera appeler vers le milieu.

-Rue! Me cri-t- on.
Je me retourne, c'est James qui a crié mon nom dans toute la salle. Tour le monde me regarde. Je ne rougis pas. Nous aimons bien faire ça avec lui. Nous nous rejoignons mais nous n'avons pas le temps d'échanger quelques phrases qu'une dame prends la parole dans un micro. Elle nous annonce qu'elle ne veut entendre aucun bruit pendant qu'elle fera l'appel... À l'envers! Je suis chamboulée. L'appel risque d'être plus long que prévu. Et James va partir avant moi.
Elle commence. James et moi ne parlons pas. Je sens la pression monter rapidement en moi. Je vois James partir pour décider du sort de sa vie. Le temps semble s'écouler plus lentement dans la Tour. J'ai chaud. J'ai soif aussi. Je commence à avoir mal aux jambes. Je ne suis pas faible, ni grosse mais il faut dire que je suis là depuis plusieurs heures en essayant de soulager mon poids tantôt sur un pied tantôt sur l'autre.

J'entends mon nom être appelé.
-Rue Hamilton.
Mon univers bascule tout à coup. J'ai une boule au ventre qui grossit, grossit, grossit.
Je me fraie un passage dans la foule agitée. Je sens les regards qu'on me porte.

Attention, derrière toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant