Chapitre 3 : le test

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Elle me conduit dans un espace rempli de cordes, de bout de bois la salle en m'accrochant aux objets suspendus en haut sans tomber une seule fois et en choisissant l'itinéraire le plus court pour arriver à destination.
Il faut grimper un mur de bambou lisse et sans accroche puis escalader un très grande échelle de corde pour atteindre le plafond très haut, il faut toucher le lambris en bois dans un cercle délimité par un trait rouge. Je dois passer dans des anneaux assez étroits, l'angoisse me reprend : je n'ai jamais fait ça de ma vie, même si j'ai été préparée à un maximum d'épreuves. Je dois ensuite gravir un autre mur encore plus lisse que le premier, attraper un cordage, tirer sur un anneau d'Osmium lourd et tirer dessus pour le décrocher et pour le final me laisser tomber sur un gras tapis a plus de 10 mètres de hauteur.
Je réussi sans trop de difficultés les premières épreuves mais je peine un peu à franchir le deuxième mur.

La femme me montre mon temps; j'ai franchit le parcours en 7minutes 32secondes et 5dixièmes. Je ne savais pas que j'étais chronométrée sinon j'aurai sûrement bouclé le parcours plus vite.

La femme me ramène dans une autre salle où je peux prendre une douche. J'en profite car cest peut être la dernière douche agréable avant trois mois.

Quand j'ai fini, elle me conduit encore dans des couloirs plus tortueux qu'avant. Nous débouchons dans une petite chambre carrée, équipée d'un siège de docteur en position allongée. Mon sang ne fait qu'on tour dans mon corps.
La femme me dis de m'allonger sur le siège et de relever ma manche. J'obéis docilement. Elle s'approche de moi avec, en main, une énorme seringue. Je m'agite un peu sur mon siège mais elle me calme en m'assurant que ça ne me fera pas mal. J'acquiesce. Elle me plante l'aiguille dans le biceps et je ne sent rien. Ma tête commence à devenir lourde et je m'endors.

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