Mon voyage à Rio T1 (terminé)

15.

jours 10 du voyage

Ce matin je me réveil complètement nue dans le lit d'Enzo. D'ailleurs il dors toujours a point fermer. Hier soir, en arrivant dans la maison, il m'a conduite dans sa salle de bain ou il m'a déshabiller avant de faire couler un bain dans lequel il nous a tous les deux plongé. Ma conscience me hurle d'essayer de me sauver de cette maison, mais mon corps me conduit dans ses bras. Même si je réussis a sortir de cette maison sans son autorisation, je ne crois pas être capable de me rendre plus loin que le coin de la rue, il a été clair sur le fait que le quartier complet travaille pour lui. Je le sens bouger à coté de moi et il ouvre les yeux tranquillement.

"Déjà réveiller petit cœur, prête pour passer la journée complètement nue"

"Tu ne feras pas ça, je veux mes vêtements"

"Tu as eu la chance de les avoir avec toi, mais tu as choisi de ne pas faire ta valise, maintenant assume ton choix"

 je resserre le drap contre mon corps alors qu'il se lève pour aller mettre jogging avant de venir vers moi. Il monte sur le lit et se rapproche dangereusement. Il empoigne le bout du drap que je refuse de lâcher et vient caller sa tête dans le creux de mon cou

"La journée risque d'être une vrai torture pour moi, le simple fait de t'imaginer nu me fait durcir, Alors de savoir que d'ici quelques minutes tu vas te pavaner devant moi, tu n'imagine même pas ce que ça peut me faire"

"Je ne me promènerai pas nue dans ta maison Enzo."

il aborde un sourire en coin et retire la couverture de sur moi, je n'y crois pas, il a réussi à détourner mon attention si facilement. Il empoigne le derrière de me cuisse et me tire jusqu'au bord du lit avant de me soulever. Je m'accroche a son cou afin de ne pas tomber et il quitte la chambre tout en me portant jusqu'à la cuisine. Il m'assoit sur le comptoir de la cuisine et se place entre mes jambes. J'essaie de cacher mon corp comme je le peux avec mes bras, heureusement les rideaux sont tous tiré et personne à l'extérieur risque de me voir. 

"Tu es si belle et si vulnérables mon cœur"

Ses mains encadrent mon visage et il caresse mes joues avec ses pouce. Vulnérable. C'est exactement comment je me sens en ce moment. 

PDV Enzo

La voir dans cet état m'excite énormément. Je suis vraiment horrible de la faire se promener nue sachant que je pourrais lui prêter un de mes chandails afin qu'elle se sente plus à l'aise. Je m'éloigne d'elle, mais elle ne bouge pas si ce n'est qu'elle referme ses jambes l'une contre l'autre. C'est son anniversaire aujourd'hui et je ne suis pas certain qu'elle s'en souvienne. Je ne suis pas trop horrible non plus, j'ai demandé a Sophia d'aller faire sa valise hier soir et elle me l'a apporter. Je refuse seulement de la laissé gagner aussi facilement. Je lui sert un verre de jus d'orange et je sort les ingrédient pour faire des crêpes. Cuisiner dans cet état s'avère plus difficile que je le croyais mon membres est complètement dur et il en est presque douloureux. La savoir a ma merci assise sur le comptoir complètement nue derrière moi occupe l'entièreté de mes pensées. Après une vingtaine de minutes a cuisiner, je mets la table et regarde mon petit cœur qui est allé s'installer sur le canapé avec une couverture. Je n'ai pas pensé a retirer celles qui se trouvaient au salon. Je me dirige vers mon bureau ou je récupère mon sweat-shirt, si je tient a me débarrasser de cette érections, il vaut mieux qu'elle se cache un minimum, au moins le temps du repas. Je m'approche d'elle et lui donne mon sweat-shirt.

"Tu ne sais pas ou est l'autre d'ailleurs, je ne le trouve plus" je demande en désignant le vêtement.

"Quelque part, dans un lieux ou tu as mentionné que l'on ne retournerait pas"