''Amnésia ''

Chapitre 12 : Electricité dans l'air (Partie 2)

 - « Et bien Aaron,ma chère meilleure amie ne croit pas que tu est couché avec quelqu'un,ce n'est pas vrais Aaron ? » Demanda Adéna sèchement.

« Aaron,ne me dit pas que tu est couché avec cette 'Margeaux' » Demanda aussi Anaïs ayant peur de la réponse. La lumière teinté de plus belle,mais personnes ne s'en préoccupé à part Allan. D'ailleurs il essayer de parler pour prévenir les autres,mais personnes ne l'écoutait.

« Hum,je vou... »

« Et Alors? Qu'est ce que vous en avez a faire?Sa ne regarde que moi si j'ai couché avec cette fille ou non. » S'exclama Aaron.

« On en a à faire quelque chose,figure toi ! » Dit Adéna en haussant le ton.

« Excusez m... » Essaya Allan.

« Tu veut plutôt dire se que tu en a à faire,je croit. Parce que franchement,je vois pas du tout. Si tu ressentait réellement quelque chose pour moi je comprendrais que tu ressente quelque chose,mais là je ne pense pas que tu est le droit de piquer une crise. » Dit Aaron remontée.

Adéna fit les yeux rond,puis quelque instants plus tard ses yeux devinrent vitreux. Elle s’apprêtait a pleurer. Les plombs sautèrent. La pièce était plonger dans le noir. Puis soudains on entendit un cris perçant et une lumière blanche apparut se qui éclaira un peu la pièce. On y voyait une Adéna entourait d'éclair et d'électricité qui se tenait la tête dans les bras. Elle criait toujours. Le bruit faisait l'effet d'une alarme qui se propagée dans le corps entier. Puis la lumière revint dans la pièce. Mais Adéna n'était plus debout mais écroulé sur le sol. A cette vue Aaron se précipita vers elle. Anaïs crier son nom et pleurer a chaudes larmes. Allan était choquée par ce qu'il venait de voir. C'était arriver et c'était encore plus époustouflant que dans les descriptions qu'on lui avait fait. Sa mission aller devenir de plus en plus difficile à cacher et a mener. Il alla vers Adéna et Aaron,qui la tenait fermement par les épaules en criant son nom.

« Aaron porte la et suis moi. » Demanda Allan. Mais Aaron ne réagissait pas et avait maintenant Adéna dans ses bras et ne semblait pas vouloir la relâcher. « Aaron...tu veut l'aider? J'ai un moyens. Alors fait se que je te dis,d'accord ? » Aaron réfléchit quelque seconde puis la souleva du sol.

Allan l'emmena dehors. Il ouvrit la porte à l’opposé de celle qui menait au salon,sur le grand escalier à l'entrée. Il y avait exactement le même salon que dans la salle opposée,mais le parquet était remplacé par du carrelage. Allan mena Aaron dans un couloir,ouvrit la porte et lui demanda de déposée Adéna sur un lit. Cette salle était littéralement une infirmerie. Il y avait deux lit d'infirmerie des deux cotés de la pièce. Il y avait affichait partout des tableaux représentant des personnes. La tapisserie du mur donnée l'effet d'être dans une forêt avec des arbres. Le sol était en parquet. Aaron déposa Adéna qui était toujours inconsciente. Allan ouvrit un placard et en pris une fiole et une seringue. Aaron faisait les cent pas dans la pièce,il était très inquiet pour Adéna. Allan se rapprocha de la patiente et prépara sa seringue,Aaron le remarqua et n'aimait pas trop l'idée qu'il lui injecte quelque chose alors qu'il n'était même pas médecins ou docteur.

« Hé,hé . Qu'est ce que tu fait là ? C'est quoi sa ? » Demanda t il avec inquiétude en se rapprochant de lit où était posée Adéna.

« Un truc qui la calmera et qui lui fera du bien,maintenant si tu veut bien te pousser pour que je la soigne se serait très gentil de ta part » Répondit Allan. Aaron obéit sans hésiter. Le liquide dans le flacons était bleu électrique,il prit la seringue,pompa le liquide du flacons et injecta le contenu dans les veines de son poignet droit. « Ne t'inquiète pas elle ira beaucoup mieux,mais par précautions il vaut mieux la laissé dormir ici,comme sa on sera prés des soins si elle refait une crise. On peut y aller. »

« Non,je reste ici avec elle. Comme sa si elle fait une crise je serais là »

« Je comprend. Les couvertures sont dans cette armoires et tu peut rapprocher les deux lits si tu veut...» Dit Allan en s'en allant.

« Allan...tu peut prendre soins d’Anaïs s'il te plaît ? »

« Oui... » Accepta Allan en souriant légèrement.

« Merci...Allan »

Puis il partit par la même porte par laquelle ils étaient entrer. Aaron regardait Adéna qui dormait. Elle avait l'air de faire un beau rêve. Il alla vers le placard pour prendre les couvertures. Elles étaient douce et semblait être faite pour tenir chaud pendant les longues et froides nuits d'hiver. Soudains il se rappela les paroles d'Allan : ''et tu peut rapprocher les deux lits si tu veut...'' Sa lui avait fait sourire sur le coup. Il alla couvrir Adéna et rapprocha son lit du siens. Elle était dos au mur,et lui mis son mit lit en face. Au début il avait un peu hésité mais la prit dans ses bras. Elle avait sa tête dans son cou et sans le savoir inconsciemment elle souriait. Lui aussi était heureux,il pouvait enfin sentir le parfum de ses cheveux et ils s'entait la vanille. Ils étaient heureux tout les deux en même temps. C'était un peu comme si la dispute,la crise d'Adéna,et tout leurs problèmes avait disparus. La fin du monde pouvait venir a ce moment là,ils s'enfichait,ils étaient tout les deux dans les bras de l'autre et c'est tous se qu'il comptait...

Pour quelqu’un d'autre aussi c'était un bon moment. Allan réconfortait Anaïs qui avait continuer à pleurer même après qu'Adéna soit partis avec Aaron. Elle ne comprenait pas du tout cette situations. Et elle s’en voulait aussi un peu...Ce matin elle avait eu une vision. Dans un autres sens elle savait que cela aller arriver mais pas quand. Elle ne l'avait bien sur pas dit à Allan,pour qu'il la prenne pour une folle ? Et puis quoi encore ?

C'est vrais que cette situations était assez bizarre,mais tout de même acceptable. En même temps c'est une filles qui a des visions qui dit sa,pensa t elle. Mais elle se sentait tout de même bien dans les bras d'Allan,même si elle savait que ce n'était que de courte durée. Depuis qu'il lui avait tenue la main à la plage et qu'ils avait rigoler pour une raisons qu'elle ignore toujours dans la voiture,elle sentait comme une connexion entre elle et lui,mais se dit de tout de suite arrêter son délire. Les rares histoires d'amours qu’Anaïs eu furent toutes ou très compliquée ou de très courte durée. Sa plus longue avait durée 2 ou 3 semaine et avait toujours souffert en amour. Donc il ne valait mieux pas qu'elle se fasse des films maintenant,s'ordonna t elle. Quand on y pense,l'amour est aussi fragile et aussi dur à trouver qu'un diamant,non ?