Chapitre 1 : La nostalgie de mon enfance

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Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Pourquoi moi ? Tant de questions qui m'ont et qui me font toujours autant sourire, même si aujourd'hui, tout le monde me connait pour mes nombreux exploits, mes magnifiques créations, mes plus belles œuvres d'arts, certains diront que mon style est proche de celui du grand Picasso, car, si un jour vous êtes témoin de ce que j'accomplis, vous allez rester un moment devant tout en vous demandant à quoi cela peut-il bien ressembler. Au premier abord, vous n'allez voir qu'une simple meule de foin, vous allez, dans un premier temps chercher de quoi cette meule est-elle bien constituée puisque vous vous serez rendu compte que ce n'était pas du foin, et, lorsque vous aurez compris, il sera alors trop tard, vous allez paniquer et chercher à m'éviter à tout prix, car cette œuvre, sera composée à cent pour cent de chair humaine battue, broyée, et expulsée en meule. Vous aurez sans nul doute remarqués quelques os à l'intérieur, et ce sera normal, puisque, vous savez maintenant que mon pinceau n'est nul autre qu'une moissonneuse batteuse. Vous devez sûrement rigoler, mais à votre place je resterais sur mes gardes, même si en ce moment précis, je suis certain que vous vous dite : « Une moissonneuse batteuse, mais voyons la machine vas à quarante kilomètre par heure au maximum et il essaye de nous faire croire qu'il tue des personnes avec, encore une histoire qui commence bien. » Ne sous-estimer jamais les moissonneuses batteuses et leurs dons de répandre la terreur, surtout pas la mienne, JAMAIS.

Rassurez-vous, pour le moment, je suis sous l'hôpital psychiatrique de Soraynal, dans une cellule hautement sécurisée, avec nul moyen de m'en échapper. Il y a quatre caméras aux angles de cette cellule faite de verre trempé, située au fond d'un long couloir, à l'entrée de ce long couloir, ce trouve une grille, fermée à double tours m'empêchent de sortir, et comme si cela ne suffisait pas, celle-ci est suivit du bureau du gardien, qui surveille chacun de mes faits et gestes 24h/24, 7j/7, à travers les caméras. Evidemment, le gardien a besoins de se reposer, alors, il se fait remplacer par un autre garde, toutes les douze heures, ils alternent ainsi afin de ne pas me quitter une minute des yeux. Enfin, pour sortir de cette pièce il faut faire face à un porte blindé, bloqué par un code, une fois celle-ci déverrouillée, finalement, un ascenseur attend derrière cette porte, ascenseur qui monte quatre étages afin d'accéder à l'accueil, et si par, je ne sais quelle moyen, j'arriverais à passer à travers tous cela, il faudrait que je fasse sortir mon frère, Adam, qui est dans le même pétrin que moi mais à l'étage supérieur.

Les médecins nous gavent constamment de médicaments, un peu à la manière d'une oie que l'on gaverait pour en faire du magret, du pâté de foie ou encore du confît, tous cela afin de me faire passer mes envies de meurtre, seulement voilà, on ne me fait pas oublier une tel sensation, j'adore tuer, c'est une vrai fureur écrite jusqu'au plus profond de mon ADN et qui stimule tous mon organisme, je ne vie qu'à travers les meurtres, cependant, j'ai l'intime impression que ses psychiatres sont sur le bon chemin, je sens cette envie ce dissiper de jours en jours, mes idées et mes plans machiavéliques disparaissent de mon esprit. Vous devez sans doute vous demandez : « Qu'est-ce qu'ils ont fait pour mériter tous cela ? » Laissez-moi vous racontez les origines du trio machiavélique.

Tout d'abord, on commence par une magnifique maison que le couple lèvent avait décidé d'acquérir au 11 rue Henry Hawking, juste après l'annonce du plus merveilleux évènement que l'on peut dévoiler à un couple, la venue de leur premier enfant. Cette maison avait tout de suite plu à ce jeune couple. Lorsque vous entrez, vous avez un escalier en colimaçon sur votre droite qui donne accès au deuxième étage, sur votre gauche, ce trouve la cuisine, une belle cuisine recouvert d'un papier peint avec des motifs de pierres qui donnent l'illusion de sortir des quatre mûres qui encerclent cette cuisine, en son centre il y avait une grande table noire entourée par six chaises blanches, sur la table, reposait une nappe avec des motifs de coquelicot sur un fond blanc, le frigidaire ce tenait à droite de la table. Un lustre en forme de S composé de quatre ampoules était accroché juste au-dessus de la table et à gauche de celle-ci, était fixé un plan de travail qui faisait toute la largeur du mur avec l'évier tout à gauche, suivis du lave-vaisselle, puis d'un micro-ondes posé à côté du four, cinq meubles était accrochés au-dessus de ce plan de travail afin d'y ranger d'innombrables ustensiles de cuisine que ma mère avait certainement en sa possession, enfin, un meubles avec trois tiroirs rentrait à la perfection dans l'espace entre le lave-vaisselle et le mur donnant sur le salon, il y a, d'ailleurs, une porte qui permet d'accéder de la cuisine au salon et vice versa. En s'enfonçant encore plus chez les Lèvent, vous avez, à votre droite, sous les escaliers, les premières toilettes, puis, devant vous, vous atterrissez sur le salon, avec un canapé d'angle en cuir noir, devant celui-ci, sur un tapis à fourrure rouge, ce trouvait une petite table, petite certes, mais qui avait la particularité de s'ouvrir pour laisser découvrir un minibars remplis de différents alcools fort, en face du canapé, ce trouvait un petit fauteuil semblable à un fauteuil datant de l'époque de Louis XIV, Une télévision reposait sur un meuble juste à droite lorsque vous rentrez par le couloir. Une fois dans le salon, vous allez sans doute remarquer une pièce en dessous du deuxième étage, derrière la télévision, cette pièce est une salle de bain composé d'une simple douche à l'Italienne. Il y avait différentes fenêtre disposés de part et d'autres de la maison, mais juste en face du couloir ce trouvait une grande porte fenêtre coulissante, elle donnait accès au jardin qui était délimité par des thuyas formant un rectangle presque parfait. Á présent, vous êtes de retours dans le couloir principal, vous apercevez avec amusement qu'un porte mentaux en bois est fixé sur la porte d'entrée, l'escalier est à présent sur votre gauche et vous vous décidez à monter. Une fois au-dessus, vous vous retrouvez face à un véritable corridor, à droite vous trouverez ma chambre, vous pourrez contempler mon magnifique lit couvert d'une couverture garnie de motifs de galaxie, ma bibliothèque vous attirera l'œil car il n'y a aucun livre d'enfant, aucun conte, seulement des romans policier racontant les péripéties d'un petit homme moustachu, au chapeau melon, natif de Belgique, et même ce grand détective londonien, fumant sa pipe à longueur de journée, et toujours accompagné de son acolyte médecin. Parmi ces deux grand détectives, ce cache aussi des romans horrifique, mes préférer, l'histoire du clown qui terrorise tous les enfants, ou cette adolescente maltraitée, succombant sous une pluie de moquerie qui se découvre des pouvoirs machiavélique, ils m'ont tous hantés dans mes rêves les plus beau, je rêvais de les rencontrés et tous reposaient dans ma bibliothèques. Si vous levez la tête, vous aller apercevoir un ciel étoilée, un cadeau de ma chère maman, maintenant, vous sortez de ma chambre et allez directement en face, vous accédez à ce qui sera la chambre de mes frères. A gauche du corridor, ce trouve la chambre du couple Lèvent, où l'on y retrouve un simple lit double, une armoire et deux tables de chevets de part et d'autres du lit, à l'intérieur de la chambre, à côté de l'armoire, sur votre droite, ce trouve une salle de bain muni d'une baignoire et d'une toilette.

Le Trio Machiavélique-Les OriginesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant